Albin Lebland - Je pourrais faire de la pub pour une marque de lessive.

Anonymous
Invité
Invité
Dim 22 Fév - 14:58

Albin Lebland



Appellation : Albin Lebland. Ca faisait beaucoup rire ses élèves, qui le surnommaient « Le Chat », comme la lessive.
Anniversaire/Âge : Né un 3 janvier (paraît que le temps qu'il faisait dehors a influencé le choix de son nom), il a aujourd'hui 35 ans.
Nationalité : Français.
Occupation : Avant, il était prof de SVT. Maintenant qu’il est dans l’Esquisse, il n’a plus qu’à revoir tous ses cours à zéro.
Arrivée dans l'Esquisse : Au jour 13, en plein dans la ville en ruines.
Goûts : La philosophie, les romans de SF, les pommes de terre à la poêle, l’air de la nuit à la campagne, son chat, la couleur du ciel en hiver, peindre à l’aquarelle et, bien sûr, les sciences en tout genre.



Description


Albin Lebland était professeur de SVT au lycée Charles Baudelaire à Paris. Sa vie était faite de bonheurs simples, et de malheurs tout aussi simples. Le matin, il se levait et trébuchait sur son chat. Il partait travailler et n’arrivait jamais en retard. Il passait ses journées dans le bâtiment de sciences de son lycée, buvait du café lors des pauses, s’amusait à terroriser les élèves à coup d’anecdotes glauquissimes. Le week-end, il préparait ses cours de la semaine suivante. Lorsqu’il avait le temps, il peignait un peu. Il aimait peindre.
Lebland était ce genre de prof que les élèves craignent et admirent en même temps. Le genre de prof qui apparaît comme par magie dans votre dos lorsque vous le critiquez dans les couloirs. Qui vous met des notes vaches, mais vous rassure par derrière, parce que « le bac c’pas aussi dur que mes contrôles hein, manquerait plus que ça ». Le genre de prof dont les élèves écoutaient les cours, à moitié pour ne pas risquer la colle, et à moitié pour entendre les conneries qu’il leur sortait parfois. « Les personnes atteintes de trisomie 21 présentent des signes physiques reconnaissables : un cou court et épais, une implantation des cheveux basse … Dis-moi Teissier, les cheveux sur ton front, là, c’est bien une frange ? » Lebland adorait les cours, surtout ceux de dissections, non pas parce qu’il était un dangereux psychopathe qui aimait torturer des animaux morts, mais parce qu’il s’amusait toujours beaucoup de l’air dégoûté des élèves qui attrapaient avec répugnance leur cœur de bœuf par le bout des doigts malgré leur gants, et poussaient des petits cris affolés lorsque lui-même en prenait un à pleines mains puis essuyait ses doigts pleins de sang sur sa blouse impeccable.
Pas de femme, encore moins d’enfants. Juste un chat, Jean-Jacques, surnommé Jiji. Lebland critiquait souvent son boulot, ses élèves fainéants, les locaux pourris et la cantine dégueulasse, mais au fond, il aurait bien voulu se marier à son lycée.


***********


Albin Lebland dormait tranquillement dans son lit. Dans un demi-sommeil, il sentit une forme chaude monter sur sa poitrine. Emergeant lentement du sommeil, il grogna quelque chose contre « ce crétin de chat », à qui il lança diverse menaces, allant du coup de pied au derrière jusqu’au rôti de chat à la broche. Il ouvrit les yeux et tenta de se redresser. Et se retrouva nez-à-nez avec un tyrannosaure. De 30 centimètres de haut. Il poussa un cri et se leva d’un coup, lorsque la bestiole tenta de lui mordre le bras avec appétit. Il s’écarta prestement, et saisit une chaise pour se défendre bravement contre l’envahisseur. Il voulut la brandir, mais celle-ci se tortilla dans ses mains. Lorsqu’il la lâcha de surprise, elle tenta, elle aussi, de le mordre. Car oui, la chaise avait une bouche remplie de dents pointues. Lebland poussa un autre cri et décida finalement de prendre la fuite. Mais dignement, hein. Ce faisant, il eut largement le temps de se rendre compte de plusieurs choses, essentielles. Premièrement, il n’était pas dans sa chambre. Ni dans sa maison. Ni dans son lycée. Ni nulle part qu’il connaissait en fait. Deuxièmement, il était habillé. Chemise, pantalon, et blouse. Comme lorsqu’il faisait une dissection. D’ailleurs, après réflexion, il ne se souvenait pas de s’être couché. En fait, il n’avait aucun souvenir de s’être endormi, et aucune explication rationnelle pour expliquer comment il avait atterri ici. Et troisièmement, ici, justement. Cet endroit, si c’était bien un endroit, était un vrai foutoir.

« Y’a pas de soleil. »

C’est tout ce qu’il avait trouvé à dire. Le reste le choquait trop. Le ciel d’une couleur indéfinissable, peut-être mauve, et rempli d’image insolites et hétéroclites. Les … choses –car il ne pouvait pas se résoudre à considérer ça comme des animaux- autour de lui, qui, jusque là, n’avaient cherché qu’à l’attaquer. Et le décor en lui-même. Une ville en ruines, rien que ça.
Il venait de trouver refuge dans une des maisons lorsque, passant la mains dans ses cheveux, il poussa un gémissement. Il ne les avait vus que du coin de l’œil, mais ses cheveux lui avaient clairement paru blancs ! Tout en se mettant en quête d’une surface réfléchissante, il élaborait déjà malgré lui tous les scénarios possibles. Peut-être qu’il avait simplement perdu la mémoire. Peut-être qu’il avait a présent 80 ans, et qu’il avait perdu plus de 40 ans de souvenirs. Peut-être que pendant ces 40 ans de souvenirs perdus, une guerre avait éclaté. Cela expliquerait l’état de la ville.
Il trouva finalement une fenêtre. Son visage, dans la glace, donnait toujours l’impression qu’il avait 35 ans. Il n’avait pas vieilli d’un poil. Mais Lebland n’eut pas le temps d’être content.

« Putain, je suis albinos. »

Il ne s’en étonnait même plus. Il avait passé le cap du choc.
Son premier réflexe aurait été de s’éloigner de la fenêtre pour ne pas bêtement choper un cancer, mais son cerveau, en bon petit soldat, lui renvoya l’information :

« Ah oui, merde. Y’a pas de soleil. »

Bon. Il ne crèverait pas d’un cancer au moins.
Et il eut une deuxième pensée absurde.

« Je m’appelle Albin et je suis albinos. Je m’appelle Albin LEBLAND même. Et je suis albinos. Putain quoi. »


Qui tient le pinceau ?


Bonjour.
C’est encore moi. Désolée. /lance une banane fuchsia et fuit/


Code:

<!--- Code nécessaire au registre des avatars, ne pas enlever la balise code et remplir impérativement sous peine de finir carabiné ♥ -->
<div class="registre1">
<div class="pseudoreg">Albin Lebland</div>
<div class="featreg">Gintama - Sakata Gintoki</div>
<div class="descreg"><p>35 ans - Prof de SVT - pète un câble tous les trois pas dans ce monde de fou - commence à être blasé quand même - son chat lui manque - albinos </p></div>
<div class="fichereg"><a href="http://www.esquisse-rp.com/t1524-albin-lebland-je-pourrais-faire-de-la-pub-pour-une-marque-de-lessive#15782" target="_blank">Fiche</a></div>
<div class="avareg"><img src="http://i.imgur.com/oEI7Hk5.jpg"/></div></div>
Anonymous
Invité
Invité
Dim 22 Fév - 20:58
Un prof, fusillez-le !

Hem hem. Plus sérieusement. Re-bienvenue parmi nous, Castor ♥ Tu sais déjà que j'aime fort Albin (il est drôle mais dans le début de sa fiche il est attachant aussi, je sais pas, je l'aime c'est tout), et qu'Al va l'adorer aussi, que ce soit pour le nom trollesque ou pour son intérêt pour les sciences. (Bien qu'il ait dû dire plusieurs fois dans sa jeunesse que la biologie de toute façon c'était un truc de filles. Tout en essayant de trouver des arguments pour faire le moins de dissections possibles.)(Oh et Albin est français, ça par cont---)

J'ai hâte de voir ce que ton petit va devenir, j'exige de le voir RP avec Rashid un jour ! Bon jeu ♥
Anonymous
Invité
Invité
Mar 24 Fév - 11:42
Merciii ♥

Faisons un rp Al/Albin *w* (même les noms collent)
Anonymous
Invité
Invité
Mar 24 Fév - 12:30
Tellement, quand tu veux **
(Enfin. Actuellement, vu qu'Al est dans le phare c'est pas possible, mais un songe ou après, je veux)
Voir le sujet précédentRevenir en hautVoir le sujet suivant
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum