L'araignée ne connaît que le monde de sa toile - Latrodectus [Terminée]

Alev
Allez râlez pas, racontez-moi plutôt vos complexes !
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Date d'inscription : 22/01/2015
Alev
Sam 8 Déc - 16:22

Latrodectus




APPELLATION
Elle se souvient parfaitement de son identité. Anna Maria Cortès. Cependant, à son arrivée dans l'Esquisse, elle a choisi de changer de nom. Elle se reconnait désormais dans Latrodectus. Comme son animal favori, la Latrodectus mactans. Autrement dit, la veuve noire.

ÂGE
13 ans.

NATIONALITÉ
Elle se souvient encore de son enfance et de son début d'adolescence, au Portugal.

GOÛTS
Elle déteste les personnes naïves, les poupées de petites filles, tout ce qui est associé aux jeunes filles en général. En opposition au premier type de personne, elle apprécie plutôt celles qui sont réalistes face aux épreuves. En ce qui concerne les goûts alimentaires, elle a un faible pour ce qui est épicé, sucré, mais surtout elle raffole des bonbons (au citron, ce serait bonus). Sa couleur favorite reste le noir, et son animal préféré est l'araignée. Elle apprécie l'action, et ne supporterait pas de rester immobile longtemps. Elle aime en général les musiques rock, même si les autres genres ne la dérangent pas particulièrement. Elle apprécie être entourée,  car plus que tout elle déteste la solitude.

ARRIVÉE DANS L'ESQUISSE
Elle est arrivée avant que l'on ne commence à compter les Jours dans l'Esquisse. Elle a vécu la plupart de ses aventures dans la Base, avant de rejoindre les autres dans leur fuite jusqu'au Laboratoire.


Caractéristiques


Pour chaque caractéristique/compétence, indiquez l'échelon où vous pensez situer à peu près votre personnage, ainsi que la raison qui vous fait le placer là.

♦ CONSTITUTION PHYSIQUE : Intermédiaire. Ceci dit, il s'agit d'une enfant en bonne santé, qui effectue des efforts physiques réguliers. Sa robustesse et sa résistance sont donc relatives à son âge et à sa corpulence.
♦ HABILETÉ : Plutôt élevé. Sans être dénuée de modestie, Latro a vécu de nombreuses épreuves, de sorte à se servir correctement de ses dix doigts. Elle arrive à improviser quelque chose avec des objets autour d'elle, sans pour autant avoir les talents d'un inventeur. En bref, elle sait se montrer débrouillarde.
♦ FACULTÉS MENTALES : Plutôt élevé. A force d'affronter les tempêtes et l'Esquisse en général, la jeune fille semble plutôt bien en connaître les subtilités. Elle en connaît donc les mécanismes, et sait distinguer la sécurité du danger selon les situations.

(Rappel de l'échelle : Particulièrement bas / Très bas / Plutôt bas / Intermédiaire / Plutôt élevé / Très élevé / Particulièrement élevé. N'oubliez pas que les facultés mentales dépendent aussi de la connaissance de l'Esquisse, et que votre personnage vient généralement de débarquer.)

♦ MÉDECINE : Adepte. Il lui est déjà arrivé d'assister les adultes à l'infirmerie, dans la Base.
♦ BRICOLAGE : Inconnue. Quelques notions, selon les objets présentés devant elle (pas assez pour Adepte cependant).
♦ MAÎTRISE DES ARMES BLANCHES : Inconnue
♦ MAÎTRISE DES ARTS MARTIAUX ET DU COMBAT À MAINS NUES : Inconnue
♦ MAÎTRISE DES ARMES À DISTANCE (arc, pistolet, lance-pierre..) Inconnue
♦ CUISINE : Adepte. Tout comme en médecine, elle a déjà aidé en cuisine.
♦ SCIENCES APPLIQUÉES (chimie, biologie, géologie, etc) Inconnue
♦ CONDUITE DE VÉHICULES : Inconnue
(Rappel de l'échelle : Inconnue, Adepte, Expert. Vous pouvez rajouter une ou deux compétence(s) que vous pensez pouvoir être utiles et où votre personnage est au moins Adepte).

♦ PARTICULARITÉS : Ses cheveux, autrefois longs et noirs, sont devenus courts, comme découpés par un coiffeur aveugle. Ses yeux marrons sont maintenant dorés, et son front est orné de croix ébènes.

♦ NIVEAU DE DIFFICULTÉ SOUHAITÉ : Normal.
(Rappel des niveaux : Facile / Normal / Difficile / Suicide.)

Description



Toute vie a un commencement. Celle de cette enfant débute quelque part au Portugal, dans une ville quelconque. Une famille moyenne dans une cité moyenne, un couple aimants qui avaient une fille unique. La famille Cortès était tout ce qu'il y avait de plus banal, l'exemple même de la famille moyenne européenne. Mais qui cela intéressait-il ? Personne, exceptée celle qui se sentait la plus concernée. Elle s'appelait Anna Maria, fille unique du couple Cortès.

Famille incroyable ou banale, peu lui importait. Car ce qui comptait, c'était que sa famille lui donnait l'amour qu'elle recherchait, et même plus. La présence de ses parents près d'elle était synonyme de sûreté, leurs étreintes n'étaient que tendresse. Ils étaient incroyablement patients, pour des parents ordinaires. En même temps, Anna Maria n'était pas une fillette à problèmes. À l'école maternelle, la maîtresse répétait qu'elle était une enfant très sage, quoi que un peu solitaire. Il fallait dire que très tôt les enfants ne la comprirent pas, surtout depuis qu'elle leur avait dit qu'elle détestait Barbie et préférait passer la récréation à regarder une petite araignée tisser sa toile dans un coin de la cour.

Mais peu importait ses parents. Quel que soit ce qu'elle préférait, ils l'aimaient sans condition. Après un moment seule à l'école, elle retrouvait la douce compagnie de ses parents. Ils allaient régulièrement au parc près de chez eux, en été ils se promenaient ensemble de longues heures durant. Mais la compagnie de ses parents et ces doux moments furent courts dans la vie d'Anna Maria Cortès. Tout disparut du jour au lendemain, lorsqu'un jour, alors qu'elle attendait ses parents après l'école, sa maîtresse lui annonça le décès de ses parents. Un accident de voiture, disait-elle. Plutôt un abandon, songeait la petite.

Ce traumatisme laissa en elle la plus grande de ses peurs. Celle de se retrouver seule, abandonner. Après cet événement tragique, elle fut vite prise en charge par un orphelinat, éloigné de sa ville natale. Ici, elle n'avait plus aucune attache, et Anna Maria se sentait vraiment seule. Les soeurs du couvent étaient gentilles et patientes, mais cela ne valait pas tout l'amour de ses parents. L'enfant se réfugiait dans des silences mortels, ponctués des moments où elle devait rester avec les autres filles. Noiraude, Anna Maria ne parvenait pas à se faire des amies, et comme la plupart des filles de son âge, elle préférait les fleurs, le rose et les papillons à la nuit, à l'obscurité et aux araignées.

Un jour, une soeur lui avait parlé et lui avait conseillé de faire de même que les autres filles. Peut-être s'entendrait-elle mieux avec elles ensuite ? À contre coeur, elle s'exécutait, écoutant les histoires de poupées de l'une et les lobbies féeriques de l'autre. Anna se retenait tant bien que mal d'ajouter des détails macabres aux histoires, au risque de les faire fuir. À sa grande surprise, son manège avait fonctionné. Les jeunes filles l'appréciaient, et pensaient qu'elles étaient de grandes amies... Mais cela ne lui ressemblait pas. Elle n'était pas comme elles, mais elle ne voulait pas le montrer au risque de se retrouver de nouveau seule.

Soit. Elle fit le choix de mettre ses goûts au service de sa soif de compagnie. Une fille qui avait la phobie des araignées ? Quelques jours plus tard, elle découvrait des araignées dans son lit. Mais, heureusement pour elle, la courageuse Anna Maria Cortès venait la tirer de son désarroi. Avant de soigneusement cacher les dites araignées qui portaient chacune un nom dans le bocal qu'elle entretenait régulièrement. C'était malsain. C'était pêcher de mentir et manipuler. Mais c'était ainsi que tous l'aimaient. Comment entretenir ce lien autrement ?

Ce n'était pas des pensées de petite fille, mais celle d'une âme tourmentée qui ne trouvait plus de point d'ancrage. Mais c'était là le seul moyen d'attirer l'attention des autres, sinon Anna serait à nouveau mise de côté, seule face au monde, à sa solitude et au trou béant qu'avait laissé la disparition soudaine de ses parents. Alors elle continua, inventa des jeux dont elle seule en avait les connaissances, afin de gagner la confiance et l'affection de toutes les filles. Au bout de quelques années, on parlait de mademoiselle Cortès comme d'une enfant exemplaire, gentille, généreuse et courageuse. Pourtant, personne ne voulait l'adopter.


Une nuit, aux dortoirs de l'orphelinat, Anna Maria s'était assoupie en croisant les doigts pour faire de doux rêves...
Elle ne pensait pas que son souhait allait se réaliser d'une manière un peu trop réaliste.


Elle se retrouvait bientôt dans un monde parallèle, où le ciel était mauve, où les objets parlaient, et où des personnes, tout comme elle, ne s'y retrouvaient plus. D'abord, Anna Maria eut un peu peur, tout en étant fascinée par ce nouveau monde. Les formes, les couleurs, tout cet ensemble autour d'elle était tellement attirant, attrayant à ses yeux d'enfants. Elle voulait jouer, et en même temps, elle appréhendait. Puis, sans qu'elle ne s'en rende compte, des personnes s'approchaient d'elles et lui demandaient comment elle se portait... Puis elle comprit qu'ici, personne ne se connaissait, et que certains même ne se souvenaient plus d'eux mêmes. Alors elle se mit à pleurer. Et, entre quelques sanglots, les lèvres tremblantes, elle confessa qu'elle ne se souvenait de rien. Et, dans un murmure, elle acheva son immense mensonge en se désignant d'une toute nouvelle identité.

Latrodectus.

Bien plus original qu'Anna Maria. Elle pouvait enfin se défaire de son statut d'enfant d'orphelinat. Elle pouvait enfin se montrer comme elle le souhaitait, dans un monde qui deviendrait son nouveau terrain de jeu. Tous se laissaient entraîner dans cette nouvelle dance, alors qu'à nouveau elle tissait sa toile. Les enfants comme les adultes l'appréciaient, pensaient que Latrodectus était une enfant gentille, courageuse, prête à aider quiconque se trouvant en mauvaise situation. En cours de route, elle avait aussi fait la connaissance des cyantifiques. D'une manière personnelle, elle avait tout de suite pensé qu'il leur manquait une case, mais ils avaient beaucoup de bonbons, et avaient besoin d'effectuer quelques tests...

Alors, elle eut l'idée de se prêter à leur jeu. Plonger dans des Tempêtes en échange de sucreries ? Pourquoi pas. Ce n'était pas mortel, disaient-ils. La première fois, sa coupe de cheveux avait entièrement changé. Une seconde fois, ils étaient devenus violets, et ses yeux dorés. Encore une fois, et elle terminait avec des croix sur le front, comme des cicatrices d'une guerre qu'elle n'avait jamais livré. Mais. Seigneur. Ce qu'elles étaient bonnes, les sucettes au citron !

Ils disaient aussi qu'ils étaient intéressés par les faits et gestes des dessinateurs. Pourquoi ? Aucune idée, et elle s'en fichait. Mais ils lui disaient qu'elle aurait plus de bonbons si elle coopérait et révélait les informations qu'ils souhaitaient. Ils étaient louches, mais elle aimait beaucoup trop leurs gourmandises pour les laisser en plan. Elle allait régulièrement les rejoindre en douce, quand les dessinateurs étaient occupés, et relayait les informations.

Puis les dessinateurs se mirent à compter les jours. Le premier était celui de l'arrivée dans la Base. Bâtisse plutôt sécurisée, elle offrait un refuge aux dessinateurs. Latrodectus aimait cet endroit uniquement parce qu'elle pouvait y croiser les mêmes personnes durant plusieurs jours consécutifs. Ce qui était pas mal lorsqu'on voulait entretenir ses "liens" avec des "amis". Il y avait des endroits où dormir, des pièces à vivre, dans des agencements et une architecture toujours égale à la logique esquisséenne... En d'autres termes, un parc de jeux dans le grand terrain de jeux.

Puis vint un second jour. Celui où les Objets décidèrent de devenir cinglés. L'attaque fut sévère, des dessinateurs périrent en luttant contre les créatures animées de l'Esquisse. Etrangement, la jeune fille ne s'était pas sentie proche d'eux, ni de ceux qui partirent définitivement. Non, elle avait privilégié la survie en laissant les autres se battre, laisser le destin se charger d'eux. De toute façon, toutes ses relations étaient factices, n'est-ce pas ? Il n'y avait que sa survie qui comptait, et cela lui suffisait amplement.

Après cet événement, Latrodectus avait choisi de rester dans la Base, auprès de ceux qui n'osaient pas s'aventurer au delà de ce cocon de sécurité. C'était ainsi qu'elle avait la connaissance d'un groupe d'enfants qui tournaient aux alentours de son âge. Le Club des Etoiles de Mer. Le concept était écoeurant, la bonté et la naïveté des enfants l'auraient fait fuir dans une autre vie... Pourtant elle avait fait le choix de sourire jusqu'aux oreilles et de se joindre au club. Parce que cela lui faisait de la compagnie, mais surtout de nouveaux "amis". Même si elle les détestait, chacun d'entre eux, d'une façon différente, selon le profil.

Ainsi les jours s'écoulaient au sein de la Base, refuge des dangers de l'Esquisse, mais aussi comme une bulle qui isolant les dessinateurs de la réalité. Latrodectus s'ennuyait, et passait la plupart de ses journées à échafauder des plans pour les mettre en oeuvre sur les dessinateurs présents. Bientôt on la considérait comme une fille courageuse et utile à la vie commune. Intérieurement, elle en riait, au fond d'elle, elle s'en moquait. Et bien qu'entourée,  au fond d'elle, Latrodectus se sentait bien plus seule qu'un naufragé sur une île inhabitée.

Puis arrivèrent les cyantifiques. Des rebelles qui voulaient prêter main forte aux dessinateurs. Comme tous les cyantifiques qu'elle avait croisé, Latrodectus ne leur prêtait pas attention. Mais ils prenaient plaisir à jouer les chefs, et il y avait du travail à faire. Cela tombait bien, parce que la jeune fille était à court d'idée pour jouer avec ses "amis". C'était ainsi qu'elle s'était mise à la tâche, entre les divers objectifs fixés - comme de mettre fin aux pleurs d'une alarme incendie - et les divers aléas de la vie des dessinateurs dans la Base.

Toutefois, le temps passait et la jeune fille se demandait quel était le vrai sens de ce jeu dont elle avait inventé les règles. Si elle s'amusait toujours, toujours se sentait-elle affreusement seule et sans amis. N'avait-elle pas été dans une perpétuelle errance, sur Terre comme sur l'Esquisse ? Latrodectus avait en elle cette sensation de vide, essayait de comprendre. Mais l'Esquisse, c'était connu, ne laissait à personne le temps de vraiment se poser pour aller à la réflexion.

Dans la nuit précédant le dix huitième jour, les objets devinrent fous pour une raison inconnue. Dans leur accès de violence, ils s'en étaient pris à la Ville et à la Base. Latrodectus s'en était sortie, mais à quel prix ? Elle sentait un vide profond en s'apercevant que peu avaient échappé à la mort. Parmi les survivants, peu de visages familiers. Mais aucun de ceux avec qui elle restait le plus. Et pas de signe de vie des membres du club des étoiles de mers. De peur de finir entièrement seule, elle suivit les cyantifiques et les derniers survivants dans leur exil.

Durant le trajet, elle ressentait encore cette sensation de vide et de manque, ce sentiment étrange qui l'habitait maintenant depuis plusieurs jours.
Peut-être que la mort ne l'indifférait pas tant que ça. Peut-être que la solitude allait vraiment finir par la dévorer, un jour ou l'autre. A l'arrivée, face au Laboratoire, Latrodectus se demanda si cet endroit allait être un autre terrain de jeu, ou si au contraire quelque chose de bien plus sérieux l'attendrait.
En attendant, elle se sentait encore seule. Peut-être avait-elle besoin d'un véritable ami, pour cette fois.



Spoiler:


Alev cherche vos complexes en #b590db.
Canvas désire vous tuer en #8dbe6b.
Latrodectus tisse sa toile en #e04fc9.
Code:
<transformation perso="Alev" />

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Kaoren
Non, non, c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !
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Kaoren
Jeu 20 Déc - 16:08
Tiens, elle tombe bien, cette Latrodectus. J'ai justement un personnage qui vient de développer une arachnophobie dans le Laboratoire.

Sa fiche étant parfaitement conforme à nos normes (et accessoirement très chouette à lire dans la lente descente aux enfers de l'ego de cette petite sadique qui parvient finalement à gagner un peu d'empathie) (encore qu'elle s'en sortait déjà pas mal dans son dernier RP avant la refonte), nous avons l'honneur de t'annoncer que, non contente d'être la première et seule personne à cumuler deux personnages validés dans les Sables, tu es désormais également la première à en cumuler trois, ce non seulement dans les Sables, mais aussi dans les deux univers confondus.
Succès débloqué : Jamais deux sans trois !

On s'occupe d'ajouter cette petite choupette *ahem* dans le registre, et tu peux dès maintenant partir en quête d'un partenaire de RP pour lui trouver de nouveaux copains ! Nul doute qu'ils préféreront la petite gamine égarée et remettant en cause son passé malveillant au fanatique sanguinaire qui cherchera à les faire dévorer par un Objet au détour du premier couloir.

Et bien sûr, ta petite balise de transformation :
Code:
<transformation perso ="Latrodectus">

Bon jeu, et bonne chance pour ta petite dernière ! o/


Distinctions:
Eelis
Qu'est-ce qui est jaune et qui traverse les murs ?
Personnages : Al, Sydonia, Even, Dylan et Al'
Messages : 3148
Date d'inscription : 10/06/2012
Eelis
Dim 23 Déc - 16:40
Bon retour parmi nous, petite Latrodectus ! C'était le message de Folie

Cette fiche était vraiment sympathique à lire. Pour paraphraser Kaoren, on suit bien la descente aux enfers, le cheminement qui amène une petite comme les autres à ressentir le vide et à le combler comme elle le peut, si bien qu'on sait que malgré les crasses qu'elle fera à nos personnages on ne pourra pas vraiment lui en vouloir (ou en lui en voudra, mais en même temps on dira "Moooooh"). J'ai hâte de voir comment tout ça va évoluer en RP, et si elle trouvera l'ami qu'elle cherche Je parie sur l'araignée des toilettes, à condition que Latro la sauve avant que Soraya puisse en faire un barbecue et quels sales coups elle va faire aux dessinateurs. ~
Aussi, les cyantifiques qui incitent les enfants à se jeter dans une Tempête pour avoir des bonbons, c'est euh. Digne d'eux dans un sens. Peut-être les rebelles avaient-ils rejoint les dessinateurs pour manipuler le club des étoiles de mer, et peut-être a-t-il réussi en prétextant une attaque pour faire disparaître les traces... (Je suis en train de partir dans tout un complot où les cyantifiques créent systématiquement les problèmes en se présentant comme la seule solution, et vont continuer à le faire pour que les dessinateurs les suivent sous la pression. Et s'ils laissent Alev et autres contestataires vivants, c'est pour les presser jusqu'à ce qu'ils acceptent d'eux-mêmes. Le pire c'est que ça fait sens, vous trouvez pas ?)

Quoi qu'il en soit je me dépêche de t'ajouter au registre, au plaisir de RP ensemble à l'occasion ♥️



(Merci à Ara' pour la super signature ♥)

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