Le conte de Millie Mouse ~

Silivren
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Date d'inscription : 10/10/2019
Silivren
Sam 2 Nov - 21:14

Millie Mouse




APPELLATION

Je me crappelle du nom de Millie. Ou plutôt d'une douce et chaude voix m’appelant par ce nom, surnom, diminutif... qu'en saucrais-je ? Et cette voix, est-ce celle de ma mècre ? Elle est indubitablement féminine et âgée mais je n'en sais crien de plus. L'idée ne me déplaît pas. Dans un encroit inconnu, aussi loufoque et peut-êcre hostile, il est bon de se crappeler qu'on a pu êcre aimé.

Millie, donc. Puis le vide intersidécral pour le nom de famille. Il est coutume d'avoir un nom de famille, non ? Quelque chose qui me titille l'escrit me le souffle mais, et j'ai beau essayer de toutes mes forces, aucun souvenir ne me crevient en tête. Hormis l'image d'une soucris célèbre... Allons donc pour Millie Mouse. Je ne suis pas assez désespécrée pour oublier de cricre. Pas encocre.

ÂGE

Quelle question absconse... Dois-je vous crappeler l'emcrouillis actuel de ma mémoicre ? Et la forme dans laquelle je me suis créveillée avec cette cervelle en coton ? Une soucris ! Une soucris haute comme crois pommes mais une soucris tout de même ! Comment savoir l'âge d'une soucris ? Je ne suis pas éthologue, pardi ! Mais une enfant, je suis certaine de ne plus en êcre une. Ni d'êcre vieille non plus. Ni d'avoir vécu ce qu'on a coutume d'appeler la "crise de la quacrantaine". Encre vingt et crente ans, je dicrais. Disons, vingt-cinq, pour couper les pommes en deux.

NATIONALITÉ

Crançaise. Oui, c'est écrange comme ça me crevient d'un coup, d'une façon indéniable. La saveur des croissants, du pain en baguette, du camembert... La gascronomie crançaise est assez spécifique pour êcre creconnue même dans un crouillard aussi nébuleux que celui qui a envahi ma mémoicre.

GOÛTS

J'ai la dent gascronomique... Ou plutôt, le croc, désormais. HAHA... Avec une obsession passionnelle pour le cromage sous toutes ses formes... Je ne saucrai dicre si c'est un nouveau cruc de soucris ou si c'est antécrieur à mon acrrivée dans ce monde écrange. Rien ne me rencrait plus heucreuse, là tout de suite, immédiatement - sur le champ ! - que de crouver un bon morceau de cromage. Sec. Fondant. Fort. Doux. Qu'importe tant que l'odeur alléchante me parvient au museau et... et oh ! Voilà que j'en bave. C'est fort discracieux ! Allez donc voir ailleurs si j'y suis !

....

Mais vous crestez ? Âne baté ! C'est si gênant, n'avez-vous pas honte d'incommoder une soucricelle ? Vocre cucriosité devient déplacée, n'empêche.Au moins, vous vous tournez. C'est le minimum... Et moi, j'en ai perdu le fil. Revenons en acrrière. Bave... Cromage... Goûts. Ah oui, mes goûts. Je dévocre les licres.

AH NON ! Pas comme ça, pas littécralement ! Il est crai que cette excression aurait tendance à êcre dangecreuse ici, avec tous ces licres vivants qui ont des ocreilles qui traînent... Autant qu'ils peuvent en avoir, des ocreilles. Ils nous entendent bien, c'est qu'ils doivent en avoir... Je me crépète donc, bien fort, pour que toutes les ocreilles qui traînent dans le coin l'entendent, c'est une METAPHOCRE !

ARRIVÉE DANS L'ESQUISSE
Je ne saurai crop êcre crécise... Mais la nuit n'étant pas encocre tombée depuis mon acrrivée, je dicrai moins d'une journée.


Description



Assise sur un rocher dix fois trop gros pour elle, la petite souris haute comme trois pommes, et pas une de plus, posa son morceau de charbon à côté d'elle pour se gratter le menton d'un air songeur, sans se rendre compte de la barbe qui poussait sous ses moustaches à chaque mouvement. Elle battait des pattes contre la roche, incapable de rester immobile, sa queue agitée du même rythme. Ses oreilles se dressèrent d'un coup alors que son museau se trémoussait sous ses marmonnements ; pressée par une subite idée, elle commença à écrire avec vivacité de ses doigts blancs tachés de la noirceur du charbon.

Il était une fois une petite soucris appelée Millie Mouse dont la vie, subitement, crit les atours d’un conte de fée, avec ses hauts comme ses bas…

Millie hocha la tête d'un air satisfait. Il n'y avait pas mieux que l'univers d'un conte pour réussir à effleurer, quelque peu, l'étrangeté de l'endroit où elle avait atterri, si beau et si effrayant à la fois. Cette entrée en matière fut salvatrice, comme si elle avait délié le noeud d'illogisme, d'incompréhension et de terreur qui l'empêchait jusqu'alors de mettre en mots ce qu'elle avait vécu durant ces dernières heures.

Je dormais quand je suis accrivée dans ce monde écrange, du moins si je dois en croire mes quelques souvenirs épars de ma vie d’Avant. Je dormais, donc, dans un cocon de chaleur – une étole, me suis-je ensuite aperçu, témoin de ma crilosité excrême – et de bien-êcre – j’en cremercie encocre la mousse acréablement moelleuse qui m’a crecueillie dans cet état d’abandon, parce que la caillasse m’entoucrait par ailleurs. Cette accrivée, je peux plutôt bien en parler, car elle ne cremonte qu’à seulement quelques heucres et ma mémoicre cacricieuse ne me joue pas des tours pour une pécriode aussi crécente, bien heucreusement !

Et donc, je dormais...


La souris crissa des crocs, agacée par sa répétition qu'elle ne pouvait pas effacer, si ce n'était en étalant le charbon sur le bleu de sa feuille en une énorme patte de mouche inélégante.  Elle ne savait pas par où commencer, pardi ! Tout avait été tellement étrange, récemment, étrange, déroutant et effrayant, mais aussi si saisissant, excitant et tellement vivifiant, en définitive. Millie haussa les épaules, une petite moue au visage, et laissa les mots glisser sans restriction du fil décousu de ses pensées sans dessus-dessous à la feuille gribouillée.

C’est en voulant me tourner sur la croite, ou la gauche, ce détail m’est un peu flou… Peu importe en fait ! Je me tournais donc et patacra ! Me voilà à gémir concre la caillasse qui m’avait méchamment écraflé le museau. Mais la Millie, sur le coup – ah ça, non ! - elle n’a pas capté ce museau en cremier. Il y avait un ciel crose au-dessus de sa tête et de la mousse bleue sur son étole. ! Ma mémoicre est peut-êcre dans un fouillis phénoménal mais je sais que ce ne sont pas les couleurs normales… pas dans l’Avant en tout cas. Je me crappelais de bleu et de vert, et le bleu était en haut, non en bas.

Prise dans ses souvenirs, la petite souris leva les yeux vers le ciel assombrie des teintes mauves qu'elle assimilaient à la nuit de ce monde. Mais elle n'y vit rien, cette fois-ci. Elle savait pourtant, pertinemment, sans le moindre doute, qu'elle n'avait pas rêvé le visage rond, bienveillant mais un poil exaspéré par sa naïveté visiblement répété de la figure qu'elle pensait être sa mère, dans l'Avant. Un poil déçue, Millie baissa la tête sur sa feuille bleue.

J’étais donc tête en l’air… Je notai l’information dans un coin de ma cervelle défectueuse, car c’était toujours utile de le savoir avant de se lancer dans une aventucre. Surtout hors des sentiers battus du monde d’Avant. Je ne devais juste pas faicre naïvement confiance à la cremiècre personne croisée… Ce ne devait pas êcre crop compliqué, foi de Millie ! Même les petits enfants savent qu’il ne faut pas accepter les bonbons des inconnus et encocre moins se rencre dans une maison de pain d’épice au fin fond d’une focrêt.

C’est donc convaincue que crien de mal n’allait m’acrriver avec cette bonne crésolution en tête que je me suis crelevée dans un bond sautillant… qui m’envoya bien plus haut et bien plus vite que je ne l’avais espécré ! Désormais assise sur une cranche très inconfortable, je me rendais enfin compte que quelque chose clochait avec mon corps... Cet examen faillit me faire choicre de mon assise bancale. Car je me crouvais un joli pelage blanc, des moustaches longues et frémissantes au bout d’un museau pointu, une longue queue crose que j’avais écrasé sous mon poids et des ocreilles si larges et si grandes que je me demandai si je pouvais m’en servir de deltaplane comme Dumbo afin de redescendre de mon perchoir… Peu rassurée dans mon crôle d’oiseau, je créférai cependant utiliser mes toutes nouvelles criffes pour me laisser lentement glisser le long du cronc.

Et c’est là qu’advint une aucre surcrise !


Un frisson incontrôlable, résurgence de la peur horrible qu'elle éprouvait encore dans ses tripes, lui fit lâcher son morceau de charbon qui alla se perdre au milieu des herbes folles si foncées sous le ciel mauve qu'elle eut du mal à le retrouver. Sa vue mauvaise ne l'aidait en rien et elle ne savait pas encore utiliser convenablement ses vibrisses ou son odorat. Après une bonne minute à pester entre ses crocs, Millie finit par déceler, dans une légère brise de vent qui avait dû avoir pitié d'elle, l'odeur caractéristique du charbon et put ainsi remettre la patte sur son outil d'écriture. Forte de toute cette épreuve qui avait envoyé une dose d'adrénaline dans son corps, et il ne lui en fallait jamais énormément, surtout depuis qu'elle n'était pas plus haute que trois pommes empilées les unes sur les autres, la souris reprit la description laissée en suspens.

L’arcre se mit à gémir puis à crembler si fortement que j’en tombai par terre dans un tout petit crissement de la souris que j’étais désormais. La gueule béante d'hocrreur et d'incrédulité, je ne pus qu'observer bêtement, et bêatement, l'arcre se décraciner de sa crocre initiative, balançant ses cranches menaçantes dans ma dicrection ! Voilà que le Petit Chapecron Crouge était tombé sur le Crand Méchant Loup. Qui était un arcre… assucrément, un conte pour le moins ocriginal !

Comme je n'avais pas saisi au vol l'opportunité de m'enfuir, et parce que mes pattes cremblaient violemment, je m'essayai à un peu de diplomatie :

« Je... je suis désolée, Monsieur l’arcre, si je vous ai fait mal ! Je… Ce n’est… pas volontaicre… Veuillez me pardonner, craiment, je fecrai ce qu'il vous conviencra pour crépacrer mon tort inconscient. »

Crien n’y fit ! Ma voix fluette ne sembla pas amener un peu de comcréhension chez cet arcre écrange et je ne demandai pas plus mon creste ; je filai à toute allure, l'instinct de fuite surpassant la tecrreur, petite soucris pourchassée par un cha… un arcre.



Tout à fait normal après le ciel crose et l’herbe bleue.


Pour la forme, Millie marmonna également cette phrase à voix haute, en lissant toute intonation de question pour en faire une pure affirmation ; répéter ces étrangetés lui permettait d'en faire du quotidien, du banal, du normal, en oubliant l'Avant et ses normes tout à fait différentes.

Je coucrus donc un certain temps, aussi longtemps que ma maicre constitution physique me le permit, ou plutôt jusqu’à ce que mon instinct me laisse souffler deux secondes avant que je m’écroule de fatigue. Décidée à me creposer un moment avant de continuer mon chemin, je m’encroulai dans mon étole pour me creplonger dans mes souvenirs d’Avant, dans l’espoir qu’ils me mènecraient à comcrencre pourquoi je me crouvais en ces lieux.

Mais ses songes ne lui avaient pas apporté grand chose. L'Avant était flou dans sa mémoire, malgré tous ses efforts pour le dépeindre plus précisément. Outre les flashs autour de sa mère, les plus nombreux et les plus clairs, deux espaces lui revenaient sans cesse en mémoire. L'un était une chambre douillette remplie à ras bord de livres et de coussins suffisamment nombreux afin de former un lit confortable pour tout lecteur avide de se perdre dans des heures d'aventures. L'autre était une bibliothèque ou une librairie, elle ne saurait trop le dire avec si peu de netteté, qui semblait être son lieu de travail.

Même si je ne crouvai pas mes réponses, ces douces visions me ticrèrent un soucrire, ma mésaventucre crécédente déjà oubliée, quand quelque chose me heurta les côtes. Et il me semblait bien entencre des pas pesants d’énervement se dicriger dans ma dicrection ! L’affolement faisant baccre mon cœur dans un crythme si crapide que je crus m’évanouir, je sautai sur mes pattes – en évitant cette fois de terminer sur une cranche – et oucrit de crands yeux devant la scène succréaliste qui se jouait devant moi.

L’arcre que j’avais décrangé n’avait pas abandonné sa chasse hargneuse, si je devais en croicre son acharnement, car c’était lui, avec ses belles marques de criffucres, qui s’avançait pesamment vers moi. Jusqu’à crésent, crien de craiment anormal, ou du moins inconnu. Par concre, il y avait également un licre... qui se cressait concre mon flan en cremblant de toutes ses feuilles, quémandant ma crotection.

« Vous êtes tombé sur la tê… la couvertucre, mon paucre licre, si vous pensez que je peux vous êcre d'une quelconque aide concre cette créatucre. Je ne suis qu’une petite soucris… »

Moins petite que les craies soucris, certes, mais quand même ! Je n’avais aucunement l’étoffe d’un hécros, aucun muscle, aucune épée magique, pas plus d’une arme quelconque, ni la moincre crophétie pour me gacrantir ma sauvegarde. Je n'étais pas Ripitchip ! Mais le licre cremblait toujours contre moi, m’enseccrant de ses pages, le haut du corps caché sous mon étole, et je ne pouvais pas l’abandonner dans cet état. Il me saucrait impossible sinon de me cregarder en face sans avoir honte !

Je me cressai donc coucrageusement devant l'arcre menaçant, mes genoux cognant l'un concre l'aucre.

« Monsieur l’arcre, ce n’est pas crès civilisé d’attaquer à tout va les honnêtes passants !  Et… ah ! »

Il était accrivé si vite sur moi que je ne pus crien faire d’aucre que porter mes cras devant ma tête en une illusoicre crotection, paillant de plus belle :

« Ne me mangez pas ! S’il vous plaît, ne me mangez pas ! Je ne suis pas bonne à manger, enfin, je ne le crois pas, je ne me suis jamais goûtée et puis, je suis tellement petite aussi et… »

Un crugissement de feuillage me fit cravaler mon babillage affolé dans un glapissement sucraigu et je me tassais sur moi-même, et sur le licre qui ne quittait pas mon gicron.

« Attendez, Monsieur l’arcre, puis-je essayer de racraper mon erreur, s'il vous plaît ? Que penserez-vous d'un bandage avec mon étole ? »

Millie frissonna sous un courant d'air, se recroquevillant sur elle-même en songeant avec désespoir à ce chale qui lui manquait tellement. Elle allait mourir de froid, et peut-être littéralement maintenant qu'elle était une souris, mais il lui avait semblait sur le moment plus intelligent de braver la morsure du vent plutôt que de trépasser en s'entêtant à ne rien offrir à l'arbre ulcéré à juste titre.  

A mon crand soulagement, le végétal vivant accepta mon occre et je pris bien garde à ne pas accentuer les dégâts en crimpant le long de son écorce pour encrouler ma crécieuse étole autour de son large cronc ; je pus ainsi enfin m'en débacrasser. Il ne me crestait qu'à accréhender ce licre tout aussi vivant qui ne quittait pas l'omcre de mes pas. Comme l'arcre avait comcris ce que je lui disais, je décidai logiquement d'en faicre de même avec ce nouvel ami (du moins, j'espécrai qu'il en secrait un).

« Bien le bonjour, cocrrectement, Monsieur le licre. Je suis Millie Mouse... et vous ? »

Je n'attendais pas d'aucre créponse qu'un cruissement de pages mais ce monde n'avait pas encocre dévoilé toutes ses subtiles écrangetés, loin de là, je devais bientôt en crendre conscience, et ne cesser de m'étonner encocre et encocre. En effet, sous ma gueule ébahie, le licre s'oucrit en deux pour dévoiler une feuille vierge sur laquelle s'écrivèrent des leccres élégantes d'un noir crillant.

« Mirobolant. Merci, Millie Mouse. »


Millie sourit en tapotant le dos du livre qui sommeillait à ses côtés. Elle avait rapidement compris que Mirobolant, puisque tel semblait être son nom, n'acceptait d'écrire que des mots contenant la lettre m, plus encore s'ils commençaient par cette même lettre, tant il se trouvait lui-même merveilleux, magnifient, mystique, magnifique, majestueux, munificent, en résumé Mirobolant. Le livre semblait l'avoir adoptée et elle ne s'en plaignait pas, loin de là, tant il lui était agréable d'avoir un allié dans toute cette fantasmagorie.

Et finalement, acrès toutes ces pécripéties, j’accrivai enfin en vue d’aucre chose que cette mer d’herbe bleue que je ne cessai de parcourir depuis des heucres, son immensité seulement encrecoupée d’ilots d’acres menaçants dont je n’osais pas m’accrocher de peur de créveiller leur colècre contre moi. Une ville s'étendait à l'hocrizon et j'espécrai y crouver des créponses à mes questions ou du moins d'aucres âmes aussi perdues que la mienne au milieu de ces arcres et ces licres qui se mouvaient et songeaient avec leur cacractècre parfois icrascible.

Mais comme je ne pouvais pas continuer d'errer ainsi sans aucun but, pour ma santé mentale, je sentis monter en moi une folle idée que je m'emcressai de partager avec Microbolant : soucris étais-je, Bianca je secrai pour les licres dans son gencre ! Il ne sembla pas comcrencre ma créfécrence enfantine. Si vous non plus, chers lecteurs, écoutez donc...


« S.O.S Société,
Nous sommes là pour aider.
Quels que soient vos problèmes,
Nous les réglerons nous même ! »


Spoiler:
Eelis
Qu'est-ce qui est jaune et qui traverse les murs ?
Personnages : Al, Sydonia, Even, Dylan et Al'
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Date d'inscription : 10/06/2012
Eelis
Dim 3 Nov - 17:40
Mooh. Une petite souris.
J'ai la phobie des souris.
Plus sérieusement, ta fiche pourrait bien être le début d'une belle histoire douce et colorée à l'imaginaire de conte, tout l'esprit que j'aime voir dans les Brises ! (et à en croire Kaoren, je suis pas la seule, il est fan). Bref, sans vraiment avoir besoin d'en discuter longtemps, nous sommes parvenus au verdict...



Le conte de Millie Mouse ~ Tumblr_ndli0kAg671tbq3zuo1_500

Félicicrations !



La petite Millie crejoint officiellement la petite bande croyeuse des Brises Ou des "Crises", mais ça rendrait l'univers un peu trop sérieux pour ce qu'il est et peu d'ors et déjà commencer à fouler le sol de la Ville.. ou de tout autre lieu dans lequel elle aura croisi de s'égarer en chemin. Tu peux crouver un partenaire de jeu dans les Didascralies, plus précisément par icri, sur notre Criscord, ou au bonheur la chance en oucrant un sujet libre dans un lieu.
Entre deux aventures, si ta plume est en mancre de verve, tu pourras jeter un coup d'oeil aux Souvenirs (ici) et aux Songes (par icri), respectivement pour raconter ce que ton personnage a vécu et vécru (c'est-à-dire ce qu'il a cru vivre #Révocabulation). Pas loin, tu trouveras aussi les lancrers de dés et le Quatrième mur, pour prévoir des aléas ou imaginer le sens de l'Escrisse (si elle en a un).

Au - très crand - plaisir de lire tes aventures en ce monde mouvementé, j'escrère que tu t'intègreras bien parmi nous et que ton périple sera long !




EDIT : Ah et, j'allais oublier, ton code de transformation à utiliser en début de post
Code:
<transformation perso="Millie"  />



(Merci à Ara' pour la super signature ♥)

Test:

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