[Portail fermé] Base militaire ▬ Entrée
Dim 9 Mar - 7:22
Devant vous, de la barbapapa.
Une immense muraille sucrée, compulsée en un gigantesque cercle, dont l'épaisseur en ferait pâlir les stands de fête foraine. Derrière, vous pouviez apercevoir un imposant bâtiment, presque effrayant de par son apparente normalité. Il ne présentait en tout cas aucune caractéristique de toute autre demeure esquisséenne, se rapprochant plus des dispositifs terriens. Toit voûté, observatoires semblables à deux boules discos éteintes, baies vitrées.
Une chose paraissait évidente ; ce complexe n'avait pas été inventé par l'Esquisse. Trop normal, trop droit, trop classique. Sans doute créé par d’autres individus qui l’avaient laissé là avant de disparaître, sans laisser de traces ni le moindre signe de vie.
Ce qui avait jadis été la porte du paradis pour les premiers rescapés était désormais un portail fermé. La clôture, qui avait semblé délicieuse et enfantine aux dessinateurs se montrait désormais terrifiante pour ce qui arrivait.
Oui.
Les objets étaient là, à votre porte.
Et il ne valait mieux pas traîner, avant qu'une nouvelle boulette de viande explose.
Rapides explications
Une horde d'objet entame le combat dehors, en lançant des trucs tout d'abord, et sans chercher à savoir si quelqu'un est là ou pas. Quelque chose me dit que vous devriez vous dépêcher o:
Si vous voulez entrer dans la base, vous devrez rapidement passer par ici (pas besoin de faire un grand RP lyrique, mais on a besoin de ce sujet pour savoir qui rajouter au bon groupe, bref) ; n'oubliez pas que si le portail est fermé, à moins d'être arrivé à dos de kangourous, vous n'allez pas sauter par dessus et il va bien falloir que l'on vous ouvre ♫
Pour plus d'infos sur la base, par ici les enfants !!
PS : Étant donné qu'il s'agit d'un sujet commun, n'oubliez pas de résumer vite fait, à la fin de vos posts, les actions de votre personnage!
Invité
Invité
Ven 14 Mar - 19:45
Des fois en sait d’où l'on vient mais on ne sait pas on l'on va, et c'est assez problématique. Doll's regarda pour la énième fois ses mains, blanches, articulée, une mains de poupée. Elle était devenu une poupée, jolie certes mais elle n'était plus humaine, plus tout à fait. Un énorme bruit la fit sortir de ses pensées. Elle sursauta. Doll's ne s'était toujours pas habitué à ce monde, si rose bonbon en apparence, mais avec des cupcakes qui essaye de vous manger.
Elle resta un moment bouche bée quand elle vit ce qui avait provoquée le bruit. C'était une boulette géante, oui, une boulette. Et non ce n'étais pas un basouka ou autre mais juste de la nourriture qui semblait leur vouloir du mal, beaucoup de mal. Doll's resta un moment sans bouger et sans dire un mot, ce ne fut qu’après un long moment qu'elle se remit à bouger.
Il fallait qu'elle se mette en sécurité et vite ! La deuxième chose urgente à faire c'est de trouver une arme ou un truc du genre. Ha oui et de trouver la raison de cet énorme fouillis.
Doll's n'était pas rassurée, elle se mit alors à chantonnée, sa voix seule ressembler encore à quelque chose d'humain. Elle suivait un grand mur de barapapa et finti par arriver à une porte.
Oui, une porte protégée par un mur d’enceinte de barpapa. Elle soupira, décidément, elle allait devoir s'habituer à ce monde. Elle se mit à courir jurqu'à la porte et tenta de l'ouvrir, évidement c'était fermée. La poupée regarda autour d'elle, au loin elle voyait les boulettes géantes qui risquaient de retomber à tout moment. Il fallait qu'elle entre ! Elle toqua d'abord timidement, puis voyant l'urgence de la situation se mit à frapper violemment.
-Hé ho ! Y'a quelqu'un ? Ouvrez moi ! Je suis pas une ennemi ouvrez moi s'il vous plaît ! Ouvrez !
Elle resta un moment bouche bée quand elle vit ce qui avait provoquée le bruit. C'était une boulette géante, oui, une boulette. Et non ce n'étais pas un basouka ou autre mais juste de la nourriture qui semblait leur vouloir du mal, beaucoup de mal. Doll's resta un moment sans bouger et sans dire un mot, ce ne fut qu’après un long moment qu'elle se remit à bouger.
Il fallait qu'elle se mette en sécurité et vite ! La deuxième chose urgente à faire c'est de trouver une arme ou un truc du genre. Ha oui et de trouver la raison de cet énorme fouillis.
Doll's n'était pas rassurée, elle se mit alors à chantonnée, sa voix seule ressembler encore à quelque chose d'humain. Elle suivait un grand mur de barapapa et finti par arriver à une porte.
Oui, une porte protégée par un mur d’enceinte de barpapa. Elle soupira, décidément, elle allait devoir s'habituer à ce monde. Elle se mit à courir jurqu'à la porte et tenta de l'ouvrir, évidement c'était fermée. La poupée regarda autour d'elle, au loin elle voyait les boulettes géantes qui risquaient de retomber à tout moment. Il fallait qu'elle entre ! Elle toqua d'abord timidement, puis voyant l'urgence de la situation se mit à frapper violemment.
-Hé ho ! Y'a quelqu'un ? Ouvrez moi ! Je suis pas une ennemi ouvrez moi s'il vous plaît ! Ouvrez !
résumée a écrit: Doll's découvre la base et tambourine à la porte tout en hurlant pour qu'on lui ouvre.
Invité
Invité
Dim 16 Mar - 21:58
(pardon pour cette intervention totalement naze mais je voulais pas laisser Doll's se faire manger D8)
Il était plus ou moins arrivé directement à l'entrée, après avoir gambadé dans les couloirs et tenté de négocier un passage avec les escaliers sans succès. Quelque chose avait méchamment explosé, mais sa "situation" ne lui permettait pas vraiment de définir l'origine du bruit. L'extérieur ne lui avait pas semblé plus logique que ça au premier abord, et son apparition devant la porte de la base était un pur hasard.
Et Ambros avait cru comprendre que le hasard lui voulait toujours du mal. Impression confirmée lorsqu'il leva les yeux pour apercevoir une masse très inquiétante juste devant le bâtiment. Flûte alors, il y en avait un sacré paquet ! Et même plusieurs sacrés paquets ! Malgré ses tendances à l'audace démesurées, le jeune homme n'était plus assez stupide pour se jeter dans le tas en espérant que les pouvoirs du dieu truite lui viennent en aide. Quoi que, d'un autre côté, il n'allait pas rester là à regarder le paysage jusqu'à ce que Pyjaman - enfin, Striky - débarque avec ses beaux discours d'entraide pour la survie ou que l'algue verte vienne faire son intéressante.
Une voix inconnue se chargea de mettre fin à cet embryon de réflexion en criant un « Hé ho ! Y'a quelqu'un ? Ouvrez moi ! Je suis pas une ennemi ouvrez moi s'il vous plaît ! Ouvrez ! » qui laissait vaguement entendre que quelqu'un avait plutôt intérêt à se magner assez rapidement. Il allait décidément leur montrer, à tous ces gens, qu'il était beaucoup plus utile qu'eux : oui, hein, heureusement qu'il était là pour ouvrir à cette pauvre personne qui implorait de l'aide.
C'est ainsi qu'Ambros entreprit de tirer vers lui ce fichu portail sans trop se demander s'il n'ouvrait pas aussi le chemin aux ennemis. Lorsque ce fut accompli aux trois quarts, il estima quand même que c'était largement suffisant pour faire passer une personne et cessa le mouvement, pour venir se poster à côté. La voix appartenait donc à un jeune fille sur laquelle il crut discerner quelque chose d'étrange (mais il n'était pas profiler ni créateur de poupées alors l'étrangeté en question lui échappa au bout de quelques secondes). Il se retrouvait pour la première fois seul avec quelqu'un qui n'était ni blanc ni noir, quelqu'un qu'il ne pouvait ranger immédiatement dans aucune catégorie et que personne ne pouvait placer pour lui.
Alors qu'il y avait mille choses à dire, que ce soit à propos de l'attaque à quelques mètres seulement ou bien du paysage relativement peu conventionnel (puis, si on voulait encore, au sujet de la protection des castors dans la plaine à vagues), il fit preuve d'une immense originalité en commençant par la phrase la plus stupide du monde.
« Heu.. Il fait froid. »
Il demeura ainsi, planté là, comme une sardine. Fort heureusement, le bon dieu (truite ?) semblait avoir pitié de lui pour cette fois, puisqu'il lui insuffla une seconde phrase un poil plus intelligente que la première.
« Il faudrait pas rester ici. » remarqua-t-il tandis qu'un rasoir à six pattes d'ours s'infiltrait déjà dans l'ouverture béante du portail. « .. vraiment pas. »
Dans toute sa vaillance, il se précipita sur le portail et le poussa de toutes ses forces jusqu'à ce qu'il apparaisse plus ou moins fermé, juste avant de constater qu'un objet était tranquillement en train de se promener jusqu'à la porte en sautillant, tronçonneuse à la main. Il s'agissait d'un gros chinchilla verdâtre et bipède, vêtu d'un chapeau de magicien. Oh, rien de dangereux. On ne remarquerait sûrement rien, avec un tout petit peu de chance ?
(précision : ambros est actuellement dans un sale état, il commence à avoir des cloques/peler sur la moitié gauche du visage, sa brûlure passée commence à cicatriser mais c'est moche. il a pas d'oreille gauche d'ailleurs, ça fait une grosse croûte encore rouge et laide. ils porte des vêtements déchirés, avec des traces de sang qui tournent sérieusement vers le marron, bref il est très accueillant.)
Il était plus ou moins arrivé directement à l'entrée, après avoir gambadé dans les couloirs et tenté de négocier un passage avec les escaliers sans succès. Quelque chose avait méchamment explosé, mais sa "situation" ne lui permettait pas vraiment de définir l'origine du bruit. L'extérieur ne lui avait pas semblé plus logique que ça au premier abord, et son apparition devant la porte de la base était un pur hasard.
Et Ambros avait cru comprendre que le hasard lui voulait toujours du mal. Impression confirmée lorsqu'il leva les yeux pour apercevoir une masse très inquiétante juste devant le bâtiment. Flûte alors, il y en avait un sacré paquet ! Et même plusieurs sacrés paquets ! Malgré ses tendances à l'audace démesurées, le jeune homme n'était plus assez stupide pour se jeter dans le tas en espérant que les pouvoirs du dieu truite lui viennent en aide. Quoi que, d'un autre côté, il n'allait pas rester là à regarder le paysage jusqu'à ce que Pyjaman - enfin, Striky - débarque avec ses beaux discours d'entraide pour la survie ou que l'algue verte vienne faire son intéressante.
Une voix inconnue se chargea de mettre fin à cet embryon de réflexion en criant un « Hé ho ! Y'a quelqu'un ? Ouvrez moi ! Je suis pas une ennemi ouvrez moi s'il vous plaît ! Ouvrez ! » qui laissait vaguement entendre que quelqu'un avait plutôt intérêt à se magner assez rapidement. Il allait décidément leur montrer, à tous ces gens, qu'il était beaucoup plus utile qu'eux : oui, hein, heureusement qu'il était là pour ouvrir à cette pauvre personne qui implorait de l'aide.
C'est ainsi qu'Ambros entreprit de tirer vers lui ce fichu portail sans trop se demander s'il n'ouvrait pas aussi le chemin aux ennemis. Lorsque ce fut accompli aux trois quarts, il estima quand même que c'était largement suffisant pour faire passer une personne et cessa le mouvement, pour venir se poster à côté. La voix appartenait donc à un jeune fille sur laquelle il crut discerner quelque chose d'étrange (mais il n'était pas profiler ni créateur de poupées alors l'étrangeté en question lui échappa au bout de quelques secondes). Il se retrouvait pour la première fois seul avec quelqu'un qui n'était ni blanc ni noir, quelqu'un qu'il ne pouvait ranger immédiatement dans aucune catégorie et que personne ne pouvait placer pour lui.
Alors qu'il y avait mille choses à dire, que ce soit à propos de l'attaque à quelques mètres seulement ou bien du paysage relativement peu conventionnel (puis, si on voulait encore, au sujet de la protection des castors dans la plaine à vagues), il fit preuve d'une immense originalité en commençant par la phrase la plus stupide du monde.
« Heu.. Il fait froid. »
Il demeura ainsi, planté là, comme une sardine. Fort heureusement, le bon dieu (truite ?) semblait avoir pitié de lui pour cette fois, puisqu'il lui insuffla une seconde phrase un poil plus intelligente que la première.
« Il faudrait pas rester ici. » remarqua-t-il tandis qu'un rasoir à six pattes d'ours s'infiltrait déjà dans l'ouverture béante du portail. « .. vraiment pas. »
Dans toute sa vaillance, il se précipita sur le portail et le poussa de toutes ses forces jusqu'à ce qu'il apparaisse plus ou moins fermé, juste avant de constater qu'un objet était tranquillement en train de se promener jusqu'à la porte en sautillant, tronçonneuse à la main. Il s'agissait d'un gros chinchilla verdâtre et bipède, vêtu d'un chapeau de magicien. Oh, rien de dangereux. On ne remarquerait sûrement rien, avec un tout petit peu de chance ?
(à toi de voir si tu veux lui faire un câlin ou l'arrêter avant qu'il découpe tout le monde dans la base Doll's ♥)(puis les autres n'hésitez pas à vous incruster, le portail est plus ou moins fermé donc il risque de se rouvrir..)Résumé a écrit:
Après être sorti de la salle de bain et avoir gambadé à l'intérieur de la Base, Ambros arrive au niveau de l'entrée. Il entend Doll's et pense qu'il serait bon de la laisser rentrer ; il ouvre le portail aux trois quarts, patiente un petit peu (j'ai supposé qu'elle rentrait ? é_è) en sortant une phrase stupide et suggère que rester ici pourrait potentiellement être une mauvaise idée. Voyant que les objets en profitent pour tenter une percée, il ferme illico le portail. Mais un grand chinchilla vert, bipède, avec un chapeau et une tronçonneuse dans la main a réussi à entrer.
(précision : ambros est actuellement dans un sale état, il commence à avoir des cloques/peler sur la moitié gauche du visage, sa brûlure passée commence à cicatriser mais c'est moche. il a pas d'oreille gauche d'ailleurs, ça fait une grosse croûte encore rouge et laide. ils porte des vêtements déchirés, avec des traces de sang qui tournent sérieusement vers le marron, bref il est très accueillant.)
Invité
Invité
Ven 21 Mar - 18:49
Doll's eut un moment de solitude ( encore un). Personne ne semblait venir à sa rescousse, et un moment donnée elle se posa la question si il ne valait pas mieux partir rapidement. Elle se posa contre la porte, son visage sur le fer froid, du moins elle supposait que c'était du fer. Elle entendit un déclic mais avant qu'elle ne puisse réagir, la porte s'ouvrit au trois-quarts. C'est tout simplement qu'elle bascula vers l'avant, tombant littéralement dans les bras de quelqu'un. Elle laissa échapper un cris de surprise, puis sauta en arrière.
-Je, quoi, euh, désolé, je ne....
Elle le regarda enfin. C'était un homme plutôt grand, mais son aspect était tout sauf accueillant. Son visage avait tout un côté brûlé où des cloques faisait peu à peu surface. Il lui manquait même un oreille gauche, il y avait à la place un ramassis de sang. Doll's eut un haut le cœur, les vêtements de celui qui lui avait ouvert la porte étaient déchirés, on voyait des traînées de sang. Elle recula encore en peu.
Ce n'était plus un monde que de barpapa et de boulette de viande. C'était une douche froide.
« Heu.. Il fait froid. »
Elle le regarda avec méfiance. Il était dans cet état pour quels raisons ? Doll's était tout à fait perplexe.
« Il faudrait pas rester ici. »
Ils regardaient la porte tout deux dans le même élan.
« .. vraiment pas. »
Il sauta sur la porte et la poussa. Tout ce qui les séparés de cette folie était cette porte ! Elle poussa elle aussi la porte, et s'acharna sur la poignet pour être sûr et archi sûr que c'était fermée. Non, pour rien au monde elle ne voudrait être à cette heure à l'extérieur. Ils n'étaient pas tout à fait à côté, un bon mètre les séparés.
-Merci...pour la porte.
Elle ouvrit la bouche et voulu dire autre chose avant que le bruit d'une tronçonneuse se mis en route. Doll's se retourna et vit un truc verdâtre, bipède, avec bel et bien une tronçonneuse à la main. Celui-ci se jeta sur elle et voulut la couper en deux, elle eut juste le temps de sauter sur le côté. Un sifflement raisonna dans ses oreilles. L'animal, si on peut appeler ça un animal, se tourna alors de l'autre côté. Il avait visiblement très envie de découper en morceaux, tous petits morceaux, la personne qui avait Doll's à entrer.
Devait elle intervenir maintenant ? Le fait d'être dans cet endroit lui donnait une nouvelle assurance. Avant elle se serait rouler dans un coin et se serait mise à pleurer, si il lui restait des larmes... Elle croisa le regard de l'homme, et elle su.
Sans hésitation elle sauta sur le dos de la bête au chapeau magique. Il était bien plus grand qu'elle, si bien que comme elle se tenait à son coup ses pieds se balançaient dans le vide. Elle se raccrochait désespérément, et le fait de se pendre à con coup l'étrangler au fur et a mesure.
-Je, quoi, euh, désolé, je ne....
Elle le regarda enfin. C'était un homme plutôt grand, mais son aspect était tout sauf accueillant. Son visage avait tout un côté brûlé où des cloques faisait peu à peu surface. Il lui manquait même un oreille gauche, il y avait à la place un ramassis de sang. Doll's eut un haut le cœur, les vêtements de celui qui lui avait ouvert la porte étaient déchirés, on voyait des traînées de sang. Elle recula encore en peu.
Ce n'était plus un monde que de barpapa et de boulette de viande. C'était une douche froide.
« Heu.. Il fait froid. »
Elle le regarda avec méfiance. Il était dans cet état pour quels raisons ? Doll's était tout à fait perplexe.
« Il faudrait pas rester ici. »
Ils regardaient la porte tout deux dans le même élan.
« .. vraiment pas. »
Il sauta sur la porte et la poussa. Tout ce qui les séparés de cette folie était cette porte ! Elle poussa elle aussi la porte, et s'acharna sur la poignet pour être sûr et archi sûr que c'était fermée. Non, pour rien au monde elle ne voudrait être à cette heure à l'extérieur. Ils n'étaient pas tout à fait à côté, un bon mètre les séparés.
-Merci...pour la porte.
Elle ouvrit la bouche et voulu dire autre chose avant que le bruit d'une tronçonneuse se mis en route. Doll's se retourna et vit un truc verdâtre, bipède, avec bel et bien une tronçonneuse à la main. Celui-ci se jeta sur elle et voulut la couper en deux, elle eut juste le temps de sauter sur le côté. Un sifflement raisonna dans ses oreilles. L'animal, si on peut appeler ça un animal, se tourna alors de l'autre côté. Il avait visiblement très envie de découper en morceaux, tous petits morceaux, la personne qui avait Doll's à entrer.
Devait elle intervenir maintenant ? Le fait d'être dans cet endroit lui donnait une nouvelle assurance. Avant elle se serait rouler dans un coin et se serait mise à pleurer, si il lui restait des larmes... Elle croisa le regard de l'homme, et elle su.
Sans hésitation elle sauta sur le dos de la bête au chapeau magique. Il était bien plus grand qu'elle, si bien que comme elle se tenait à son coup ses pieds se balançaient dans le vide. Elle se raccrochait désespérément, et le fait de se pendre à con coup l'étrangler au fur et a mesure.
Résumé a écrit:
Doll's rentre dans la base en tombant dans les bras d'Andros. Elle le regarde. Ils ferment la porte. Ils se font attaquer par l'animal à tronçonneuse. Doll's réagit alors, après avoir faillit se faire couper en deux, en se jetant sur lui. Elle finit sur le dos de la bête en se tenant à son coup, ce qui commence l'étouffer.
Invité
Invité
Ven 21 Mar - 23:10
Alors, euh, j'ai essayé d'être claire dans les actions donc j'espère que tu arriveras à peu près à capter, sinon je peux tenter un dessin pour expliquer !
(Doll's est trop mignonne ♥♥)
(pardon donc d'avance d'envenimer la situation)
L'ironie du sort, c'est qu'Ambros ne pouvait rougir que d'une seule joue. Il n'avait pas vraiment l'habitude que quelqu'un lui dise merci, en fait, et surtout pas les filles avec qui il avait eu une très mauvaise expérience, que ce soit en torturant Mimi avec de la menthe à l'eau ou en précipitant l'autre aux cheveux verts dans les pommes. En clair, il se sentait un peu démuni quand il ne fallait cogner personne.
Et puis un combat commença. La demoiselle, qu'il fixait de ses yeux d'anguille, semblait avoir choisi de réparer les erreurs de son vis-à-vis en agressant furieusement le pauvre chinchilla - ou plutôt était-ce le pauvre chinchilla qui avait agressé furieusement a demoiselle, il n'avait pas tout à fait suivi. Pour montrer son désir de donner un coup de main, il gesticula dans tous les sens ; n'importe quel terrien peu avisé aurait cherché des sables mouvants sous ses pieds, tandis qu'il était seulement en pleine quête d'armement. (et non, ce n'était pas une danse tribale pour invoquer un pistolet à salade, pour ceux qui essayeraient de donner un sens à cette action)
Il trouva cependant l'inspiration lorsque la jeune femme commença à étrangler l'animal. Il s'approcha de la clôture - pas pour l'enjamber - et la gratta comme s'il avait soudainement découvert qu'il n'avait pas mangé depuis 30 jours. Lorsqu'il eut de quoi ouvrir un stand à la prochaine fête foraine, c'est-à-dire assez pour occuper tout l'espace de ses bras, il se précipita bêtement sur la tronçonneuse du chinchilla.
De sa main gauche, il colla la totalité de son chargement à l'extrémité de la tronçonneuse, et ce de façon totalement suicidaire. Fallait-il rappeler qu'il en avait vu des bien pires ? Tandis que la matière rose succombait peu à peu au sciage, il déglutit et précipita son poing droit sur la gorge du mammifère, qu'il tenta d'écraser sans la moindre pitié. Lui-même ne savait pas vraiment ce qu'il était en train de fabriquer, mais il voulait juste. Essayer. Même s'il passait carrément pour un crétin, et qu'il y avait clairement meilleure stratégie que celle de l'attaque frontale, il était trop longtemps passé par derrière.
Rien n'y faisait pourtant. La bête avait un cou très large et semblait tout aussi déterminée que ses adversaires. Réfléchissant encore moins que d'habitude, Ambros échangea ses deux mains ; celle de droite poussait désormais la tronçonneuse loin de lui - mais pas à plus d'un mètre -, tandis que celle de gauche - encore maigrement recouverte de barbapapa - fonça jusqu'à l'intérieur de la bouche ennemie. Instantanément, elle se fit mordre par des canines bien entraînées qui l'empêchèrent d'avancer… et de reculer.
« C'est pas tout à fait ça. »
Bref, il avait à nouveau des ennuis.
Et pas des moindres, parce qu'il n'allait pas retenir cette fichue tronçonneuse très longtemps.
Le suspens de la survie du chinchilla (il peut avoir succombé à l'étrangement ou être toujours en vie) est laissé au prochain qui répond, héhéhé
(Doll's est trop mignonne ♥♥)
(pardon donc d'avance d'envenimer la situation)
L'ironie du sort, c'est qu'Ambros ne pouvait rougir que d'une seule joue. Il n'avait pas vraiment l'habitude que quelqu'un lui dise merci, en fait, et surtout pas les filles avec qui il avait eu une très mauvaise expérience, que ce soit en torturant Mimi avec de la menthe à l'eau ou en précipitant l'autre aux cheveux verts dans les pommes. En clair, il se sentait un peu démuni quand il ne fallait cogner personne.
Et puis un combat commença. La demoiselle, qu'il fixait de ses yeux d'anguille, semblait avoir choisi de réparer les erreurs de son vis-à-vis en agressant furieusement le pauvre chinchilla - ou plutôt était-ce le pauvre chinchilla qui avait agressé furieusement a demoiselle, il n'avait pas tout à fait suivi. Pour montrer son désir de donner un coup de main, il gesticula dans tous les sens ; n'importe quel terrien peu avisé aurait cherché des sables mouvants sous ses pieds, tandis qu'il était seulement en pleine quête d'armement. (et non, ce n'était pas une danse tribale pour invoquer un pistolet à salade, pour ceux qui essayeraient de donner un sens à cette action)
Il trouva cependant l'inspiration lorsque la jeune femme commença à étrangler l'animal. Il s'approcha de la clôture - pas pour l'enjamber - et la gratta comme s'il avait soudainement découvert qu'il n'avait pas mangé depuis 30 jours. Lorsqu'il eut de quoi ouvrir un stand à la prochaine fête foraine, c'est-à-dire assez pour occuper tout l'espace de ses bras, il se précipita bêtement sur la tronçonneuse du chinchilla.
De sa main gauche, il colla la totalité de son chargement à l'extrémité de la tronçonneuse, et ce de façon totalement suicidaire. Fallait-il rappeler qu'il en avait vu des bien pires ? Tandis que la matière rose succombait peu à peu au sciage, il déglutit et précipita son poing droit sur la gorge du mammifère, qu'il tenta d'écraser sans la moindre pitié. Lui-même ne savait pas vraiment ce qu'il était en train de fabriquer, mais il voulait juste. Essayer. Même s'il passait carrément pour un crétin, et qu'il y avait clairement meilleure stratégie que celle de l'attaque frontale, il était trop longtemps passé par derrière.
Rien n'y faisait pourtant. La bête avait un cou très large et semblait tout aussi déterminée que ses adversaires. Réfléchissant encore moins que d'habitude, Ambros échangea ses deux mains ; celle de droite poussait désormais la tronçonneuse loin de lui - mais pas à plus d'un mètre -, tandis que celle de gauche - encore maigrement recouverte de barbapapa - fonça jusqu'à l'intérieur de la bouche ennemie. Instantanément, elle se fit mordre par des canines bien entraînées qui l'empêchèrent d'avancer… et de reculer.
« C'est pas tout à fait ça. »
Bref, il avait à nouveau des ennuis.
Et pas des moindres, parce qu'il n'allait pas retenir cette fichue tronçonneuse très longtemps.
Résumé a écrit:
Ambros (et pas Andros, le pauvre é_è) ne sait d'abord pas comment réagir et gesticule quand Doll's commence à attaquer la bestiole. Puis, il se ressaisit, il va arracher un peu de barbapapa à la clôture (elle est épaisse donc ça ne fait pas un trou) et la colle d'abord sur la tronçonneuse tandis qu'il essaie d'écraser la gorge du chinchilla. ça ne marche pas, donc il échange, il pousse la tronçonneuse (en appuyant sur la partir qui déchiquette pas) et précipite la barbapapa dans la bouche du chinchilla, mais se rend compte qu'il est coincé.
Le suspens de la survie du chinchilla (il peut avoir succombé à l'étrangement ou être toujours en vie) est laissé au prochain qui répond, héhéhé
Invité
Invité
Dim 23 Mar - 22:36
Raaah, pas moyen d'dormir dans l'coin, ou quoi ?! D'jà qu'le coin est pas vraiment joyeux, faut qu'les gens fassent du bruit jusque dans l'couloir ! ...j'rais pas dû manger tous ces machins, là, qu'le snob m'a filé... ça ballonne, ces trucs ! En plus c'tait épicé à un point...beh, l'en faut pour tous les goûts, d'façon. Au fait, l'est où le snob ? ...Ah, oui, s'est barré avec les gens, là, d'taleur. J'les ai suivi, j'crois. Et pis j'en ai eu marre. Et... j'me suis posé dans l'couloir, et, euh... 'chier, j'la mémoire qui s'barre. Ah, oui, j'me suis endormie. Forc'ment, à force de penser...
Et maintenant, y a des crétins qui foutent le bordel à l'entrée ! Ca m'énerve ! C'est qui, au moins... Oooké... Un type, euh... un type, et, er... c'est une poupée. Une poupée qui marche. 'Faudra vraiment qu'je m'renseigne sur c'te coin. C'pas normal, c'qui s'passe ici. Alors, pourquoi ils font du bruits, hein ? Que j'puisse les engueuler et aller m'cou-... C'quoi c'truc ?! Un rat géant ?! Avec, euh...une arme. Et il essaie de bouffer le... type. Quelqu'un a une aspirine ? Ou, euh... une explication sur c'qui s'passe dans l'coin ? Définitivement ? Non ? Bon, beh, j'pense que j'vais d'voir aider... 'chier. J'tape sur qui, alors ?
J'pense que le type est pas trop méchant. Il est juste... euh. Pas mon type. Ahah. Type, pas mon type. Blague. Hrm. Pas question que j'm'approche de la poupée. 'fait trop peur, c'truc. Reste le, er... rat. Qu'Est-ce qu'il est moche, c'te bestiau, quand même... euh. Faudrait p'tet que j'bouge, nan ? Ca commence à avoir l'air dang'reux, c't'histoire ! 'z'inquiétez pas, maman Amé vient pour vous sauver ! Enfin, pour essayer d'vous sauver ! J'garantis rien.
"RAAAAH !" Faudra qu'je m'trouve un cri d'guerre potable. "RAAAAH" c'pas vraiment classieux, j'trouve. Pas grave, euh... bouge toi, machin, t'm'empêches de passer ! ...l'est encore plus moche vu d'près... c'est vraiment un rat, c'te bête ? Ah, euh... taper taper taper !
...j'ai mal à la main, maint'nant ! 'fin, bon, l'bestiau a l'air dans les vapes, donc j'pense que j'ai fini l'boulot. C'moi ou c'était une tronçonneuse ? D'puis quand les rats ont des tronçonneuses ? J'ai pas eu vach'ment d'pot qu'l'autre type soit là pour la ret'nir ? ...Alors,
ordre des priorités... le type. Il faut que j'parle au type. Là.
"Dites, z'auriez pas des explications sur c'qui s'passe dans l'coin ? Z'êtes qui ? S'appelle comment, le snob avec les oreilles de chat ? Et l'aut' vieux blond ? Pourquoi les rats portent des tronçonneuses ? C'qui, la poupée flippante, là derrière ? Pourquoi l'ciel est zarb' ?"
C'est pas un peu beaucoup d'questions ? Beh, j'chuis sûre qu'y s'débrouillera.
Et maintenant, y a des crétins qui foutent le bordel à l'entrée ! Ca m'énerve ! C'est qui, au moins... Oooké... Un type, euh... un type, et, er... c'est une poupée. Une poupée qui marche. 'Faudra vraiment qu'je m'renseigne sur c'te coin. C'pas normal, c'qui s'passe ici. Alors, pourquoi ils font du bruits, hein ? Que j'puisse les engueuler et aller m'cou-... C'quoi c'truc ?! Un rat géant ?! Avec, euh...une arme. Et il essaie de bouffer le... type. Quelqu'un a une aspirine ? Ou, euh... une explication sur c'qui s'passe dans l'coin ? Définitivement ? Non ? Bon, beh, j'pense que j'vais d'voir aider... 'chier. J'tape sur qui, alors ?
J'pense que le type est pas trop méchant. Il est juste... euh. Pas mon type. Ahah. Type, pas mon type. Blague. Hrm. Pas question que j'm'approche de la poupée. 'fait trop peur, c'truc. Reste le, er... rat. Qu'Est-ce qu'il est moche, c'te bestiau, quand même... euh. Faudrait p'tet que j'bouge, nan ? Ca commence à avoir l'air dang'reux, c't'histoire ! 'z'inquiétez pas, maman Amé vient pour vous sauver ! Enfin, pour essayer d'vous sauver ! J'garantis rien.
"RAAAAH !" Faudra qu'je m'trouve un cri d'guerre potable. "RAAAAH" c'pas vraiment classieux, j'trouve. Pas grave, euh... bouge toi, machin, t'm'empêches de passer ! ...l'est encore plus moche vu d'près... c'est vraiment un rat, c'te bête ? Ah, euh... taper taper taper !
...j'ai mal à la main, maint'nant ! 'fin, bon, l'bestiau a l'air dans les vapes, donc j'pense que j'ai fini l'boulot. C'moi ou c'était une tronçonneuse ? D'puis quand les rats ont des tronçonneuses ? J'ai pas eu vach'ment d'pot qu'l'autre type soit là pour la ret'nir ? ...Alors,
ordre des priorités... le type. Il faut que j'parle au type. Là.
"Dites, z'auriez pas des explications sur c'qui s'passe dans l'coin ? Z'êtes qui ? S'appelle comment, le snob avec les oreilles de chat ? Et l'aut' vieux blond ? Pourquoi les rats portent des tronçonneuses ? C'qui, la poupée flippante, là derrière ? Pourquoi l'ciel est zarb' ?"
C'est pas un peu beaucoup d'questions ? Beh, j'chuis sûre qu'y s'débrouillera.
- Résumé:
- Amélia est réveillée dans le couloir de l'entrée par les bruits près du portail. Après avoir "réfléchi" un peu, elle décide d'aller frapper le chinchilla. La bestiole vaincue, elle assaille Ambros de questions.
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Sam 29 Mar - 21:26
Doll's se cramponnait désespérément au coup de la bête quand son allier eut une la merveilleuse idée d'essayer de faire quelque chose, il eut un moment de flottement. Elle ne comprit pas du tout ce qu'il voulait aire sur le coup, et même si la vu d'un chincjilla géant vert pouvait donner faim ( chacun ces goûts), elle ne voyait tout simplement l'intérêt de chercher de la barpe à papa pour arrêter un fou comme ce lui là. Enfin si on peut considérer que les animaux peuvent avoir une maladie mentale, mais un chinchilla vert bipède avec une tronçonneuse et un chapeau magique n'est sûrement pas classable dans cette catégorie. C'est sur cette pensé tout à fait illogique dans ce monde illogique que Doll's comprit enfin ce que faisait son allier.
Celui ci était intelligent, car au lieu de se faire couper en petits bouts il mit de la barbe à papa dans la tronçonneuse, puis il essaya de d'étrangler le chinchilla vert bipède avec une bonne dose de barbe à papa... Mais Doll's n’eu pas le temps d'en voir plus, l'animal ( ou plutôt le truc) se cabra et la fit tomber en arrière.
Son corps fit un drôle de bruit en tombant, c'était un bruit de plastique. Cela n'avait rien d'humain. Elle eu le réflexe de fermer les yeux, et c'est à ce moment là que déboula une nouvelle personne. Quand elle les rouvrit ( assez rapidement tout de même) il y avait une femme à la peau noire, mais vraiment noire, ce n'était une expression, c'était une peau noire comme la nuit. De plus, pour rajouter à son étrangeté, elle avait des oreilles particulièrement grandes, avec des tatouages rouges en triangle sous ses yeux. C'était un démon.
Un démon invoqué pour lutter contre des boulettes géantes ? Peut être, en tout cas ce truc était du même style que du chinchilla. Et Doll's n'avait pas envie, mais pas du tout envie de se rapprocher de ce truc.
Avant qu'elle ne puisse continuer cette réflexion, l'être démoniaque se jeta sur le chinchilla et le frappa. C’était assez... violent. L'animal verdâtre, avec les deux assauts, tomba à terre et ne se releva pas. Il était peut être mort, et Doll's l'espérait, car même quand vous aimez l'écologie on veut sauver sa peau.
Le diable comment ça à parler à l'homme qui lui avait ouvert la porte, mais Doll's ne retient alors qu'une seule chose de cette série de question. Une poupée flippante ?
La réflexion la blessa en plain cœur. Une poupée... Condamne, voilà comment elle se sentait, condamnée à être enfermée dans ce corps de plastique articulée. Une immense tristesse teinté de désespoir l'envahie.
Était elle condamnée à être continuellement rejetée ?
Elle lui lança un regard noir, et s'en rien dire d'autre, elle s'avança pour ramasser la tronçonneuse...
ça peut toujours servir...
Celui ci était intelligent, car au lieu de se faire couper en petits bouts il mit de la barbe à papa dans la tronçonneuse, puis il essaya de d'étrangler le chinchilla vert bipède avec une bonne dose de barbe à papa... Mais Doll's n’eu pas le temps d'en voir plus, l'animal ( ou plutôt le truc) se cabra et la fit tomber en arrière.
Son corps fit un drôle de bruit en tombant, c'était un bruit de plastique. Cela n'avait rien d'humain. Elle eu le réflexe de fermer les yeux, et c'est à ce moment là que déboula une nouvelle personne. Quand elle les rouvrit ( assez rapidement tout de même) il y avait une femme à la peau noire, mais vraiment noire, ce n'était une expression, c'était une peau noire comme la nuit. De plus, pour rajouter à son étrangeté, elle avait des oreilles particulièrement grandes, avec des tatouages rouges en triangle sous ses yeux. C'était un démon.
Un démon invoqué pour lutter contre des boulettes géantes ? Peut être, en tout cas ce truc était du même style que du chinchilla. Et Doll's n'avait pas envie, mais pas du tout envie de se rapprocher de ce truc.
Avant qu'elle ne puisse continuer cette réflexion, l'être démoniaque se jeta sur le chinchilla et le frappa. C’était assez... violent. L'animal verdâtre, avec les deux assauts, tomba à terre et ne se releva pas. Il était peut être mort, et Doll's l'espérait, car même quand vous aimez l'écologie on veut sauver sa peau.
Le diable comment ça à parler à l'homme qui lui avait ouvert la porte, mais Doll's ne retient alors qu'une seule chose de cette série de question. Une poupée flippante ?
La réflexion la blessa en plain cœur. Une poupée... Condamne, voilà comment elle se sentait, condamnée à être enfermée dans ce corps de plastique articulée. Une immense tristesse teinté de désespoir l'envahie.
Était elle condamnée à être continuellement rejetée ?
Elle lui lança un regard noir, et s'en rien dire d'autre, elle s'avança pour ramasser la tronçonneuse...
ça peut toujours servir...
Résumé a écrit: Doll's voir Amelia débarquée et trouve qu'elle ressemble à un diable. Elle tombe, se relève, se sent blesser pas les réflexion de la diablesse ( amélia je n'ai rien contre toi <3 ) et ramasse la tronçonneuse.
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Dim 30 Mar - 15:30
Heureusement, il existait en ce monde des gens légèrement plus intelligents, futés et réactifs qu'Ambros. Tandis que ce dernier était plus ou moins paisiblement en train de réfléchir à la vie qu'il pourrait avoir avec un seul bras, et d'autres trucs existentiels dans ce genre, une ombre apparut dans son champ de vision sur un cri qu'il trouva presque monstrueux (c'est ce qui s'appelle être impressionnable) et s'acharna sur le pauvre chinchilla vert ennemi. Beaucoup plus rapide lorsqu'il s'agissait de fuir, il se recula de ce qui était en bonne voie d'adhérer au sol : en clair, il quitta le navire tandis que la bête s'écrasait.
Il se tourna vers l'ombre en question et constata qu'il s'agissait d'un être humain tout à fait ordinaire (oreilles, yeux et tatouages exceptés). Encore une fille, n'y avait-il vraiment que de ça par ici ? Les seuls hommes qui avaient croisé sa route étaient un adolescent déguisé en super-héros et un travesti. Que l'Oeuvre s'estime heureuse d'avoir quelqu'un pour redonner un peu de virilité à tout ça ! Il allait abandonner ses nobles préoccupations pour voir si la jeune blonde n'avait rien de cassé, des fois, lorsque leur sauveuse parla d'une façon relativement peu commune.
« Dites, z'auriez pas des explications sur c'qui s'passe dans l'coin ? Z'êtes qui ? S'appelle comment, le snob avec les oreilles de chat ? Et l'aut' vieux blond ? Pourquoi les rats portent des tronçonneuses ? C'qui, la poupée flippante, là derrière ? Pourquoi l'ciel est zarb' ? »
Manger la bouche pleine, ce n'est pas bien, et elle devait assurément avoir encore quelque chose à l'intérieur. Ambros ne comprenait que la moitié de ces paroles hachées, auxquelles il s'apprêtait à répondre de manière confuse jusqu'à ce qu'il aperçoive le regard de ce qu'il n'avait toujours pas identifié comme étant une poupée. Elle n'avait pas l'air très joyeuse. Et pas très amicale - cela ne venait-il pas par hasard de la tronçonneuse qu'elle était en train de saisir ?
En tant normal, il aurait trouvé ça tout à fait normal de ramasser une arme potentiellement mortelle juste après avoir regardé quelqu'un d'autre de façon assez rancunière, mais quelque chose lui souffla que ce n'était. Vraiment. Pas le moment. Il ne voulait pas qu'on le laisse tout seul avec les trucs de dehors et ce chinchilla à moitié mort. Avant cet endroit, combien de fois avait-il lutté seul contre des ennemis cent fois plus puissants et intelligents que lui ? Et combien de fois avait-il failli y perdre la vie ?
« Aucune idée. » répondit-il tout d'abord à l'ombre gourmande. Et c'était vrai ; il n'avait jamais essayé de réfléchir à pourquoi cet endroit était comme ça maintenant. Heureux sont les esprits simples. Si Max n'avait pas les réponses, alors il n'y avait sans doute personne d'autre pour les connaître, c'était la seule pensée qu'il avait. Peut-être qu'ils avaient juste tous voulu arriver jusqu'ici, comme ça, et que ça leur était sorti de la tête en arrivant.
D'ailleurs, la question "Z'êtes qui ?" lui était aussi sortie de la tête, mais elle était plus ou moins revenue au dernier moment par des sentiers synaptiques relativement complexes. Il réussit à articuler un « [url=colordarkturquoise]Et.. Ambros[/color] » en désignant son propre corps avec sa main gauche. La dernière fois qu'il avait donné son nom à quelqu'un, le quelqu'un en question avait fini par le cogner.
Détendre l'atmophère, ce n'était pas son truc, surtout quand le contexte.. géographique ne s'y prêtait pas vraiment. Ils n'avaient pas le temps de s'asseoir autour d'un feu pour se raconter leurs vies respectives. Il s'approcha plutôt de l'animal à moitié étouffé qui gisait juste à côté, sans trop savoir s'il avait affaire à un cadavre ou à un monstre inconscient.
Dans le doute.
« Il faudrait lui trancher la gorge » notifia-t-il comme s'il avait bêtement remarqué la présence d'un grumeau dans la pâte à crêpes. Il avait vu tellement de trucs étranges et gores que tout cela ne lui semblait qu'une formalité, mais il s'avisa que tout le monde n'avait peut-être pas pour habitude le fait de désosser des poissons, avant.
Il tendit la main à la demoiselle blonde et à la tronçonneuse dans ses mains.
« Si tu ne veux pas l'achever, prête-la moi. »
Au même instant, trois poireaux vinrent se planter dans le mur du bâtiment voisin. Ce n'était vraiment pas le moment de débattre, et quoi qu'Ambros eût été du genre à penser à sa propre vie avant tout, il n'avait pas encore pensé à questionner ces deux-là sur Max et sur Williams (dont il avait très fortement envie de cogner le visage histoire de se défouler). Puis, au fond, sans doute qu'il était en train d'espérer que quelqu'un ait une astuce pour ne pas se faire tuer.
Une sacré bonne astuce.
Il se tourna vers l'ombre en question et constata qu'il s'agissait d'un être humain tout à fait ordinaire (oreilles, yeux et tatouages exceptés). Encore une fille, n'y avait-il vraiment que de ça par ici ? Les seuls hommes qui avaient croisé sa route étaient un adolescent déguisé en super-héros et un travesti. Que l'Oeuvre s'estime heureuse d'avoir quelqu'un pour redonner un peu de virilité à tout ça ! Il allait abandonner ses nobles préoccupations pour voir si la jeune blonde n'avait rien de cassé, des fois, lorsque leur sauveuse parla d'une façon relativement peu commune.
« Dites, z'auriez pas des explications sur c'qui s'passe dans l'coin ? Z'êtes qui ? S'appelle comment, le snob avec les oreilles de chat ? Et l'aut' vieux blond ? Pourquoi les rats portent des tronçonneuses ? C'qui, la poupée flippante, là derrière ? Pourquoi l'ciel est zarb' ? »
Manger la bouche pleine, ce n'est pas bien, et elle devait assurément avoir encore quelque chose à l'intérieur. Ambros ne comprenait que la moitié de ces paroles hachées, auxquelles il s'apprêtait à répondre de manière confuse jusqu'à ce qu'il aperçoive le regard de ce qu'il n'avait toujours pas identifié comme étant une poupée. Elle n'avait pas l'air très joyeuse. Et pas très amicale - cela ne venait-il pas par hasard de la tronçonneuse qu'elle était en train de saisir ?
En tant normal, il aurait trouvé ça tout à fait normal de ramasser une arme potentiellement mortelle juste après avoir regardé quelqu'un d'autre de façon assez rancunière, mais quelque chose lui souffla que ce n'était. Vraiment. Pas le moment. Il ne voulait pas qu'on le laisse tout seul avec les trucs de dehors et ce chinchilla à moitié mort. Avant cet endroit, combien de fois avait-il lutté seul contre des ennemis cent fois plus puissants et intelligents que lui ? Et combien de fois avait-il failli y perdre la vie ?
« Aucune idée. » répondit-il tout d'abord à l'ombre gourmande. Et c'était vrai ; il n'avait jamais essayé de réfléchir à pourquoi cet endroit était comme ça maintenant. Heureux sont les esprits simples. Si Max n'avait pas les réponses, alors il n'y avait sans doute personne d'autre pour les connaître, c'était la seule pensée qu'il avait. Peut-être qu'ils avaient juste tous voulu arriver jusqu'ici, comme ça, et que ça leur était sorti de la tête en arrivant.
D'ailleurs, la question "Z'êtes qui ?" lui était aussi sortie de la tête, mais elle était plus ou moins revenue au dernier moment par des sentiers synaptiques relativement complexes. Il réussit à articuler un « [url=colordarkturquoise]Et.. Ambros[/color] » en désignant son propre corps avec sa main gauche. La dernière fois qu'il avait donné son nom à quelqu'un, le quelqu'un en question avait fini par le cogner.
Détendre l'atmophère, ce n'était pas son truc, surtout quand le contexte.. géographique ne s'y prêtait pas vraiment. Ils n'avaient pas le temps de s'asseoir autour d'un feu pour se raconter leurs vies respectives. Il s'approcha plutôt de l'animal à moitié étouffé qui gisait juste à côté, sans trop savoir s'il avait affaire à un cadavre ou à un monstre inconscient.
Dans le doute.
« Il faudrait lui trancher la gorge » notifia-t-il comme s'il avait bêtement remarqué la présence d'un grumeau dans la pâte à crêpes. Il avait vu tellement de trucs étranges et gores que tout cela ne lui semblait qu'une formalité, mais il s'avisa que tout le monde n'avait peut-être pas pour habitude le fait de désosser des poissons, avant.
Il tendit la main à la demoiselle blonde et à la tronçonneuse dans ses mains.
« Si tu ne veux pas l'achever, prête-la moi. »
Au même instant, trois poireaux vinrent se planter dans le mur du bâtiment voisin. Ce n'était vraiment pas le moment de débattre, et quoi qu'Ambros eût été du genre à penser à sa propre vie avant tout, il n'avait pas encore pensé à questionner ces deux-là sur Max et sur Williams (dont il avait très fortement envie de cogner le visage histoire de se défouler). Puis, au fond, sans doute qu'il était en train d'espérer que quelqu'un ait une astuce pour ne pas se faire tuer.
Une sacré bonne astuce.
Résumé a écrit:
Ambros dit à Amélia qu'il ne sait rien, et croit qu'Amé et Doll's vont s'entretuer à coup de tronçonneuse donc il suggère plutôt d'égorger le chinchilla. Il propose à Doll's de se salir les mains à sa place et se dit qu'il ne vaut mieux pas rester ici du tout car des poireaux semblables aux flèches d'un arc viennent de se planter dans le mur.
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Mer 2 Avr - 21:14
Alors, alors, alors. Ce con s'moque de moi ! J'pose, euh, quoi, sept, huit questions, et il répond qu'à deux ! Et même pas c'rrectement ! Ca m'énerve ! Mais, mais ! En plus il m'ignore ! Eh ! C'est par là ! Ehoh ! Qu'Est-ce qu'on s'en fiche du rat ?! Il a clamsé, il a clamsé, c'bon ! D'façon j'chuis sûre que même si il l'était, il se r'lèverait. C'comme ça partout, ici ! Les trucs que t'as buté pour bouffer se r'lèvent ! Ca fiche un bordel sans nom quand t'essaie de bouffer une orange, j'vous jure ! Daaah ! J'en ai marre !
Oulah. Il veut faire quoi avec la tron'ç'neuse ? Ahouais, en fait l'était sérieux. Mais. Mais. Il est complèt'ment con ! On tue pas des trucs morts avec une tronçonneuse ! En plus 'chuis sûre qu'y va s'blesser avec ! C'est super dur à utiliser, ces machins ! Et l'aut' poupée, là, qui m'regarde b'zar'ment... Méch'mment ?! Et c'quoi ces trucs qu'sont plantés dans l'mur ?! 'Sont tous contr' moi aujourd'hui, ou quoi ?!
'Savez quoi ? J'me barre. Y aura bien un mec pour me dire c'qui s'passe. Genre, le snob. Ou l'vieux ? Le snob. L'est plus beau. J'me barre.
Ah, et en fait, non. J'me barre pas. J'ai un truc à faire avant.
"Eh, Ambros, c'ça ? Cadeau."
...j'me suis r'fait mal à la main, tiens. C'con. Et toi, là, la poupée, file moi ton joujou, là, qu'vous vous tuiez pas 'vec ! Sérieux, 'sont pas p'ssibles ! J'me barre.
"Qui m'aime m'suive pas !"
J'me barre.
Oulah. Il veut faire quoi avec la tron'ç'neuse ? Ahouais, en fait l'était sérieux. Mais. Mais. Il est complèt'ment con ! On tue pas des trucs morts avec une tronçonneuse ! En plus 'chuis sûre qu'y va s'blesser avec ! C'est super dur à utiliser, ces machins ! Et l'aut' poupée, là, qui m'regarde b'zar'ment... Méch'mment ?! Et c'quoi ces trucs qu'sont plantés dans l'mur ?! 'Sont tous contr' moi aujourd'hui, ou quoi ?!
'Savez quoi ? J'me barre. Y aura bien un mec pour me dire c'qui s'passe. Genre, le snob. Ou l'vieux ? Le snob. L'est plus beau. J'me barre.
Ah, et en fait, non. J'me barre pas. J'ai un truc à faire avant.
"Eh, Ambros, c'ça ? Cadeau."
...j'me suis r'fait mal à la main, tiens. C'con. Et toi, là, la poupée, file moi ton joujou, là, qu'vous vous tuiez pas 'vec ! Sérieux, 'sont pas p'ssibles ! J'me barre.
"Qui m'aime m'suive pas !"
J'me barre.
- Résumé:
- Amélia s'énerve, gifle Ambros, arrache la tronçonneuse des mains de Doll's et rentre dans la base.
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Jeu 3 Avr - 21:25
Concentrée sur le fait de ramasser la tronçonneuse, en effet un objet aussi coupant est dangereux, n'écouta que vaguement ce que disait Ambros. Enfin elle avait retenu son prénom, c'était déjà ça !
La démone noirâtre s'avança vers lui et le gifla lorsqu'il eut finit de parler, à vraie dire la claque fit un énorme bruit, et Doll's fut surprise de ne pas voir son allier s'effondrer à terre. Une chose était ure, c'est que cette dingue se prenait vraiment pour... Pour quelque chose, enfin bref, elle n'avait pas le droit de faire ça. On a pas le droit de frapper les autres.
Doll's sentie une bouffée de peur l'envahir, le bruit avait fait ressurgir des sensations, des sentiments auquels elle ne voulait plus être confrontée. Elle ne voulait plus souffrir, elle ne voulait plus être la victime, que ce soit d'un chinchilla vert géant ou d'une diable noire et rouge.
Pour autant quand l'autre s'avança vers elle, Doll's n'arriva ps à réagir, elle se voyait de loin et n'arrivait pas à bouger, tout son corps -enfin le truc en plastique qui lui sert de corps- s'était immobilisé. La diable lui arracha la tronçonneuse des mains et partie tranquillement.
Doll's avait envie de vomir, mais une chose tait sur c'est qu'elle ne voulait plus ce laisser faire, et c'était SA tronçonneuse ! On pouvait demande avait de l'emprunter !
Elle se mit à courir, et donna un violent coup de poing dans le dos de la voleuse, et se jeta sur le bras de celle-ci. Tout alla très vite, trop vite – les assauts de Doll's n'était pas non plus très coordonnée- et ba, la catastrophe arriva, ce qui assez logique.
L'arme valdingua en l'air, elle ne coupa personne au passage, du moins pas gravement pour aller se figer dans le mur ( de barbe à papa rappelons le). Ce qui en lui même n'était pas trop grave, mais l'arme se remit en marche, et fit un trou.
Doll's se retourna et se précipita vers l'objet tant convoité avant d'être arrêté par une volée de flèche poireau, accompagnée par des objets tout à fait hétéroclites rentrant dans la base.
La démone noirâtre s'avança vers lui et le gifla lorsqu'il eut finit de parler, à vraie dire la claque fit un énorme bruit, et Doll's fut surprise de ne pas voir son allier s'effondrer à terre. Une chose était ure, c'est que cette dingue se prenait vraiment pour... Pour quelque chose, enfin bref, elle n'avait pas le droit de faire ça. On a pas le droit de frapper les autres.
Doll's sentie une bouffée de peur l'envahir, le bruit avait fait ressurgir des sensations, des sentiments auquels elle ne voulait plus être confrontée. Elle ne voulait plus souffrir, elle ne voulait plus être la victime, que ce soit d'un chinchilla vert géant ou d'une diable noire et rouge.
Pour autant quand l'autre s'avança vers elle, Doll's n'arriva ps à réagir, elle se voyait de loin et n'arrivait pas à bouger, tout son corps -enfin le truc en plastique qui lui sert de corps- s'était immobilisé. La diable lui arracha la tronçonneuse des mains et partie tranquillement.
Doll's avait envie de vomir, mais une chose tait sur c'est qu'elle ne voulait plus ce laisser faire, et c'était SA tronçonneuse ! On pouvait demande avait de l'emprunter !
Elle se mit à courir, et donna un violent coup de poing dans le dos de la voleuse, et se jeta sur le bras de celle-ci. Tout alla très vite, trop vite – les assauts de Doll's n'était pas non plus très coordonnée- et ba, la catastrophe arriva, ce qui assez logique.
L'arme valdingua en l'air, elle ne coupa personne au passage, du moins pas gravement pour aller se figer dans le mur ( de barbe à papa rappelons le). Ce qui en lui même n'était pas trop grave, mais l'arme se remit en marche, et fit un trou.
Doll's se retourna et se précipita vers l'objet tant convoité avant d'être arrêté par une volée de flèche poireau, accompagnée par des objets tout à fait hétéroclites rentrant dans la base.
Résumé a écrit:
Doll's va frapper Amélia, la tronçonneuse arrive dans le mur et fait un trou. Il y a désormais une brèche :p
Invité
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Ven 4 Avr - 6:53
Une fois de plus, l'aptitude d'Ambros à détendre l'ambiance fut confirmée par des résultats probants. D'abord, la bronzée s'était mise en rogne et l'avait tout bonnement giflé sans qu'il ne réagisse ; on lui avait déjà fait le coup hier, et de façon beaucoup plus virulente, alors la baffe était passée comme une brise légère après un ouragan. Il n'avait même pas cherché à comprendre pourquoi, et l'envie de poser la question ne venait pas particulièrement. Boarf, quoi que cela puisse être, cela lui prouvait au moins qu'il n'avait pas à faire l'effort d'être aimable ; de toute façon, le résultat était identique, autant rester fidèle à soi-même et penser à sa propre pomme.
Là où les choses s'étaient mises à dégénérer, c'est quand elle avait dérobé la tronçonneuse à l'autre fille pour se barrer avec ; tout cela n'était pas une très bonne idée pour les affaires. (affaires, qui, rappelons-le, incluaient une bonne centaine de monstres de l'autre côté du portique) L'ennemi, il était dehors, et il allait tous les tuer, était-elle folle au point de ne pas s'en rendre compte ?
Alors qu'il allait s'énerver de façon relativement significative, une âme charitable - la jeune blonde qu'il avait fait entrer tout à l'heure - se jeta dans le dos de l'ombre égoïste et tenta de lui dérober - ou de lui reprendre, bref - l'arme tranchante. Il les regarda sans réagir, même s'il avait clairement choisi son parti.. mais commença légèrement à s'inquiéter lorsque la tronçonneuse gicla dans les airs, passant tout près de son visage, avant de s'encastrer dans le mur rose. Une vague impression lui suggéra que c'était une encore moins bonne idée (c'était rare qu'une situation s'envenime sans lui !)
« Je crois que ça va pas le faire.. » suggéra-t-il en voyant le massacre, tout en ignorant que personne ne l'écoutait.
Hélas, le temps que le message pénètre jusqu'au cerveau, c'était déjà trop tard. Quelques objets s'engouffrèrent à travers la faille générée par l'outil de bricolage et déboulèrent devant eux. Autant il pensait pouvoir lutter contre la gomme haute de 60m qui se battait avec des ciseaux, autant il préférait éviter le contact du billet de banque géant enflammé. L'évidence était on ne peut plus flagrante ; s'il souhaitait rester en vie pour accomplir ses objectifs, il avait intérêt à décamper dans les 30 secondes.
Il se précipita sur les deux jeunes femmes - en évitant les projectiles comme possible - et saisit l'avant-bras de celle qui l'avait indirectement aidée en tapant sur l'autre (on n'y pouvait rien si cela s'était transformé en remake de l'apocalypse, ce sont des choses qui arrivent à tout le monde) ; il ne la regarda même pas dans les yeux et courut en l'entraînant avec lui.
Vers la porte.
Il aurait voulu cracher sur sa nouvelle ennemie du jour, mais -hé ! - il était purement mono-tâche et ce n'était pas vraiment le moment de s'arrêter. Il se contenta de fermer précipitamment la porte du bâtiment pour lui souhaiter bonne chance face aux bestioles ou pour ralentir une éventuelle fuite de sa part.
Tandis que l'entrée s'éloignait doucement, il se surprit à réfléchir à ce qu'il allait faire. C'était un peu la catastrophe, il n'avait aucune arme et personne ne semblait pressé à l'idée. Même pas ce maudit Michaël, dont on aurait bien besoin pour une fois.
Puis, surtout, dans quelle galère s'était-il donc mis en aidant quelqu'un ! Il avait l'impression de transporter une tomate brûlante sans avoir personne à qui la jeter.
Là où les choses s'étaient mises à dégénérer, c'est quand elle avait dérobé la tronçonneuse à l'autre fille pour se barrer avec ; tout cela n'était pas une très bonne idée pour les affaires. (affaires, qui, rappelons-le, incluaient une bonne centaine de monstres de l'autre côté du portique) L'ennemi, il était dehors, et il allait tous les tuer, était-elle folle au point de ne pas s'en rendre compte ?
Alors qu'il allait s'énerver de façon relativement significative, une âme charitable - la jeune blonde qu'il avait fait entrer tout à l'heure - se jeta dans le dos de l'ombre égoïste et tenta de lui dérober - ou de lui reprendre, bref - l'arme tranchante. Il les regarda sans réagir, même s'il avait clairement choisi son parti.. mais commença légèrement à s'inquiéter lorsque la tronçonneuse gicla dans les airs, passant tout près de son visage, avant de s'encastrer dans le mur rose. Une vague impression lui suggéra que c'était une encore moins bonne idée (c'était rare qu'une situation s'envenime sans lui !)
« Je crois que ça va pas le faire.. » suggéra-t-il en voyant le massacre, tout en ignorant que personne ne l'écoutait.
Hélas, le temps que le message pénètre jusqu'au cerveau, c'était déjà trop tard. Quelques objets s'engouffrèrent à travers la faille générée par l'outil de bricolage et déboulèrent devant eux. Autant il pensait pouvoir lutter contre la gomme haute de 60m qui se battait avec des ciseaux, autant il préférait éviter le contact du billet de banque géant enflammé. L'évidence était on ne peut plus flagrante ; s'il souhaitait rester en vie pour accomplir ses objectifs, il avait intérêt à décamper dans les 30 secondes.
Il se précipita sur les deux jeunes femmes - en évitant les projectiles comme possible - et saisit l'avant-bras de celle qui l'avait indirectement aidée en tapant sur l'autre (on n'y pouvait rien si cela s'était transformé en remake de l'apocalypse, ce sont des choses qui arrivent à tout le monde) ; il ne la regarda même pas dans les yeux et courut en l'entraînant avec lui.
Vers la porte.
Il aurait voulu cracher sur sa nouvelle ennemie du jour, mais -hé ! - il était purement mono-tâche et ce n'était pas vraiment le moment de s'arrêter. Il se contenta de fermer précipitamment la porte du bâtiment pour lui souhaiter bonne chance face aux bestioles ou pour ralentir une éventuelle fuite de sa part.
Tandis que l'entrée s'éloignait doucement, il se surprit à réfléchir à ce qu'il allait faire. C'était un peu la catastrophe, il n'avait aucune arme et personne ne semblait pressé à l'idée. Même pas ce maudit Michaël, dont on aurait bien besoin pour une fois.
Puis, surtout, dans quelle galère s'était-il donc mis en aidant quelqu'un ! Il avait l'impression de transporter une tomate brûlante sans avoir personne à qui la jeter.
Résumé a écrit:
Ambros ne réagit pas trop quand on le gifle et, lorsque Doll's frappe Amélia et tout, il prend le bras de Doll's et court à l'intérieur de la base en fermant derrière lui !
Après discussions et accords douteux avec la joueuse, Ambros n'a pas remarqué qu'il n'est parti qu'avec le bras de Doll's (c'est une poupée donc elle s'est déboîtée) Barf, il s'en rendra bien compte lorsqu'il se retournera.
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Ven 4 Avr - 7:42
C'est pas possible. C'est pas possible c'est pas possible. C'est. Pas. Possible. J'y crois pas. Nan. L'a vraiment essayé d'me buter, sur c'coup là ! C'vach'm'nt dang'reux, d'frapper quelqu'un avec une tronçonneuse ! L'est complèt'ment malade, c'te gourde ! Bon, au moins, 'sait pas frapper fort. C'd'jà ça, j'pas trop eu mal. Mais la tronçonneuse, merde ! Elle est où, au moins, hein ? L'est passé où, c't'engin ?
...Oh. Ah. Merde. Le mur. Ouais. Nan, j'chuis sûre qu'un trou d'c'te taille c'pas si dang'-. Ca l'est. Mais. Mais. 'Sont combien là derrière ?! J'vais pas r'marqué qu'z'étaient aussi n'mbreux, moi ! Euh, euh, euh, penser penser penser... Courir ? Ouais, courir, ç'm'a l'air bien. Même si... WOW ! Mec ! Tu fiches quoi ! Attrape moi, merde ! C'pas com' si j'vais crever si j'reste là ! J'pu l'choix, non ? Courir ! Alleeeez... j'chuis près d'la porte, ça passeraaaa...ou paaaas... sauter ! Yeah ! ...aïe. Mon menton. Mais au moins j'chuis passée. Au moins. Maint'nant y a un poil un genre d'invasion dans l'bâtiment, alors euh. Tiens, le mec a pas l'air d'm'avoir vue. Tant mieux, j'aurai pas à l'baffer plus fort. J'en étais où ?
Faut qu'j'aille prév'nir les gens, j'pense. Y a pas trop l'choix. 'Fin, y a toujours l'choix, mais là c'plus un choix urgent qu'un choix...euh. Ca urge. Là. J'dois trouver un mec pour m'expliquer l'bouzin, un autre, bah, euh...pour le trouver et le reste qu'j'aurai vu sur l'chemin servira bien à kek'chose. C'est parti.
...Oh. Ah. Merde. Le mur. Ouais. Nan, j'chuis sûre qu'un trou d'c'te taille c'pas si dang'-. Ca l'est. Mais. Mais. 'Sont combien là derrière ?! J'vais pas r'marqué qu'z'étaient aussi n'mbreux, moi ! Euh, euh, euh, penser penser penser... Courir ? Ouais, courir, ç'm'a l'air bien. Même si... WOW ! Mec ! Tu fiches quoi ! Attrape moi, merde ! C'pas com' si j'vais crever si j'reste là ! J'pu l'choix, non ? Courir ! Alleeeez... j'chuis près d'la porte, ça passeraaaa...ou paaaas... sauter ! Yeah ! ...aïe. Mon menton. Mais au moins j'chuis passée. Au moins. Maint'nant y a un poil un genre d'invasion dans l'bâtiment, alors euh. Tiens, le mec a pas l'air d'm'avoir vue. Tant mieux, j'aurai pas à l'baffer plus fort. J'en étais où ?
Faut qu'j'aille prév'nir les gens, j'pense. Y a pas trop l'choix. 'Fin, y a toujours l'choix, mais là c'plus un choix urgent qu'un choix...euh. Ca urge. Là. J'dois trouver un mec pour m'expliquer l'bouzin, un autre, bah, euh...pour le trouver et le reste qu'j'aurai vu sur l'chemin servira bien à kek'chose. C'est parti.
- Résumé:
- Amélia court vers l'entrée de la base et comme le narrateur n'avait pas envie qu'elle meure, il lui fait réaliser une action spectaculaire en la faisant sauter vers la porte, puis pour équilibrer la fait atterrir sur le menton. Elle se met en tête d'aller chercher des gens à prévenir de l'attaque.
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Ven 4 Avr - 20:59
Ambros lui attrapa le bras, sans doute pour la tirer d'affaire, mais la maladresse ou sa fragilité fait que ba il la tira d'affaire, en enfin il l'a tira en partie d'affaire. Car, lorsque on est une poupée ça pose problème, parce que là Doll's était à deux endroits en même temps, elle avait sa mains gauche dans celle d'Ambros, mais ba le reste de son corps était tombée par terre. Son bras s'était déboîté, elle était désarticulée.
Elle était tombée par terre, son bras gauche avec Ambros, à l'intérieur. Ce qui n'était pas son cas. Doll's se releva et se mit à courir vers la porte. Mais avant qu'elle ne réussit à y accéder elle reçut une flèche dans le dos, enfin un poireau. Elle roula à terre sous le coup.
Heureusement elle n'avait pas mal, c'était très étrange. Elle n'avait pas l'habitude de se plaindre, et en coup d’œil elle vit que c'était mal parti pour rentrer par la porte habituel. Elle se releva et se mit à courir. Une autre chose était bien avec son corps, c'est qu'elle n'était pas essoufflé. Enfin bon, elle ne pourrait pas rester éternellement ici.
Surtout quand il y a des gommes, et d'autre trucs étranges qui veulent votre mort.
Elle était tombée par terre, son bras gauche avec Ambros, à l'intérieur. Ce qui n'était pas son cas. Doll's se releva et se mit à courir vers la porte. Mais avant qu'elle ne réussit à y accéder elle reçut une flèche dans le dos, enfin un poireau. Elle roula à terre sous le coup.
Heureusement elle n'avait pas mal, c'était très étrange. Elle n'avait pas l'habitude de se plaindre, et en coup d’œil elle vit que c'était mal parti pour rentrer par la porte habituel. Elle se releva et se mit à courir. Une autre chose était bien avec son corps, c'est qu'elle n'était pas essoufflé. Enfin bon, elle ne pourrait pas rester éternellement ici.
Surtout quand il y a des gommes, et d'autre trucs étranges qui veulent votre mort.
Résumé a écrit: Doll's perd un bras qu'Ambros emporte, elle reçoit un un poireau dans le dos, tombe par terre et se relève. Elle se met à courir et fuit en cherchant une entrée... ( je la ferai entrer par la sortie à véhicule)
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