Agenda électronique (mais facile à utiliser) d'Al'
Qu'est-ce qui est jaune et qui traverse les murs ?
Personnages : Al, Sydonia, Even, Dylan et Al'
Messages : 3215
Date d'inscription : 10/06/2012
Personnages : Al, Sydonia, Even, Dylan et Al'
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Eelis
Ven 8 Sep - 19:53
Et voilà un autre journal que je ne mettrai jamais à jour, mais que j'ai fait quand même.
(Repris en partie de la partie de la même utilité de ma fiche mais en condensant aussi ce qu’il y a avant)
■ Né dans l’Esquisse et âgé de 29 ans, Al’ s’appelle en réalité Aldébaran (merci maman), mais personne n’utilise son prénom entier, et seule Pearl a le droit d’utiliser un autre diminutif (’fin, ses supérieurs aussi, mais parce qu’il n’a pas vraiment le choix).
■ Il travaille dans la police urbaine depuis huit ans, actuellement au grade de lieutenant. Plus orienté police de proximité que judiciaire, il alterne entre les patrouilles dans son quartier, l’accueil en commissariat, les arrestations, les petits arrangements avec les criminels du coin et, de temps à autre, quelques opérations un peu plus mouvementées (et pas toujours officielles) dans lesquelles il se retrouve embarqué. Assez connu dans la police et dans son quartier pour ses gros bras et son efficacité, il s’est constitué au fil du temps un réseau assez large et a même développé quelques compétences pour gérer les aspects les plus politiques de son boulot, ce qui fait qu’il sait faire plus que juste taper.
■ Si la première impression que dégage Al’ est celle d’une brute épaisse qui va vous fracasser la jambe pour un mot de travers, la seconde ne fait pas grand chose pour corriger cette idée. Assez direct, parfois vulgaire, souvent prompt à faire de l’ironie ou de l’humour noir, il ne paraît pas très sympathique, malgré ses tentatives pour l’être. Il est sinon assez négligé, mais ceux qui le recroisent plusieurs fois constatera qu’il porte régulièrement des paires de lunettes différentes et qu’il en fait même la collection.
■ Archétype du flic épris de justice qui lutte contre le cynisme omniprésent (y compris et surtout en lui-même), Al’ est ainsi un bosseur efficace et rigoureux, qui essaie de mêler idéaux et pragmatisme pour donner la meilleure fin possible (selon lui) aux affaires dans lesquelles il est embarqué, tout en limitant les risques pour les vies dont il a la responsabilité. Bien que sachant faire un massacre quand il n’y a pas d’autres options, il déteste en arriver à ce stade (voire peut s’en vouloir pendant des années s’il l’atteint) et préférera se mettre un peu en danger ou se prendre la tête pendant des semaines plutôt que d’en arriver là. S’il lui arrive de se faire surprendre ou d’être sacrément vénère, il est aussi capable de garder son sang-froid dans la plupart des situations, conscient que ça peut tout foutre en l’air.
■ Avec ses amis et les gens qu’il aime bien en général, Al’ a appris à être assez honnête sur ce qu’il ressent, quitte à se transformer en guimauve entre deux moments de cynisme et à avoir l’air tout d’un coup plus gêné qu’une fille en fleur qui fait sa première confession. Quoi que peu chaleureux, il n’est pas complètement idiot socialement et finit par savoir repérer les états d’âme des gens, voire par y répondre à sa façon, que ce soit en mettant les pieds dans le plat directement, en faisant une blague ou en se montrant étrangement prévenant.
■ Les pires ennemis d’Al’ sont les contradictions avec lesquelles il a choisi de vivre et contre lesquelles il est voué à se battre. Quand il a les yeux ouverts, il est focalisé boulot, en essayant de se concentrer sur toutes les choses qu’il ne doit pas perdre de vue et en négligeant tout le reste. Quand il se prend enfin une pause, c’est pour faire des cauchemars, se réfugier dans l’alcool (avec lequel il a uuun peu de mal) et causer mentalement avec des fantômes. Bien qu’étant devenu assez fort mentalement, et surtout assez bien entouré, pour ne pas tomber trop bas et trouver encore un sens à ce qu’il fait, la mauvaise passe n’est donc jamais très loin. Il en a cependant conscience et, se refusant autant qu’il le peut au nihilisme qu’à l’hypocrisie (bien qu’il se sache capable de tomber dans l’un comme dans l’autre), essaie de s’appuyer sur tout ce qu’il a appris ces dix dernières années pour tenir un jour de plus.
La police ayant été complètement tenue à l’écart de l’attentat, Al’ n’en sait pas grand chose, en plus de l’avoir passée à l’hôpital après une quelconque opération anonyme qui a mal tourné. Lorsqu’il arrive à tenir sur ses deux jambes et retourne aussitôt travailler, c’est pour recevoir un mail de Tamara Viktova, qui semble avoir quelques potins à leur raconter, à Pearl et à lui…
Al’ se souvient très bien de sa rencontre avec Effie — bien mieux qu’elle-même ne semble s’en rappeler — puisqu’elle est littéralement entrée dans son commissariat avec une bombe. Ce qui, même si l’engin était désamorcé, aurait clairement pu valoir un aller simple à Beau-Lissandre à la jeune fille, si Al’ n’avait pas fait de son mieux pour calmer les ardeurs de ses collègues un peu plus à cran sur la sécurité. Après avoir digressé autour de sa déposition, ils ont vaguement sympathisé et (de fil en aiguille) il en est venu à se plaindre des drones livreurs qui ne sont pas fichus de prendre soin d’un petit colis fragile, puis à l’embaucher pour s’assurer que ses lunettes arrivent enfin à destination dans un état parfait. Comme il en commande souvent, il a eu plusieurs fois l’occasion de la recroiser dans différents contextes (il se fait parfois livrer au travail entre deux moments de mou, donc elle l’a autant vu super sérieux en uniforme qu’en pyjama trente secondes après être sorti du lit), non sans raconter un peu sa vie et écouter la sienne au passage. Il aime bien son côté léger, presque guilleret, qui lui offre une petite bouffée d’air frais toujours bienvenue.
Malgré leur différence d’âge (qu’il a apprise après coup), ils ont à peu près la même ancienneté dans la police, et se sont côtoyés pendant leurs débuts de carrière, avant d’évoluer dans des directions très différentes, Pearl étant clairement plus geek et moins terrain que lui. Tous deux mus par un idéalisme certain dans un monde où on a plus tendance à leur rire au nez qu’à les encourager, ils ont eu quelques discussions passionnantes, et ce peut-être d’autant plus qu’elles ne finissaient pas toujours sur un accord. Même s’il a quelques craintes et doutes relativement à sa… euh, vision du pouvoir, Al’ respecte franchement Pearl, la voit comme une bonne pote, continue de prendre des nouvelles et échange volontiers quelques informations sous le manteau avec elle. À côté de tout ça, il apprécie sa moto, l'a mise sur sa liste de personnes à harceler pour le moindre problème avec la technologie, et enfin peut grâce à elle dire qu’il a une pote à la SABLE, ce qui est sacrément stylé.
Ah, et, bien sûr, il sait que Pearl a un autre Al dans sa vie (heureusement qu’il a échappé à celui-là), aussi l’autorise-t-il exceptionnellement à l’appeler par un autre nom.
Respectivement sa grande soeur et ses deux mères. Leur relation est volontairement pas ultra claire au cas où des gens prendraient ces prédefs, mais elle est assez compliquée, car mélange d’affection et d’une rancœur sur laquelle il n’a pas totalement réussi à poser les mots.
Si vous voulez découvrir ces prédefs, ils sont ici !
(La plupart de ces PNJ viennent de l'histoire d'Al', mais certains comme Viktova sont joués par Stil'. Possible que certains finissent dans le registre des PNJ, et dans ce cas vous pourriez les jouer si vous avez envie d'agir pour la justi... d'agir pour la corruption, la violence et les donuts)
Al' - Journal de bord
Résumé du perso
(Repris en partie de la partie de la même utilité de ma fiche mais en condensant aussi ce qu’il y a avant)
■ Né dans l’Esquisse et âgé de 29 ans, Al’ s’appelle en réalité Aldébaran (merci maman), mais personne n’utilise son prénom entier, et seule Pearl a le droit d’utiliser un autre diminutif (’fin, ses supérieurs aussi, mais parce qu’il n’a pas vraiment le choix).
■ Il travaille dans la police urbaine depuis huit ans, actuellement au grade de lieutenant. Plus orienté police de proximité que judiciaire, il alterne entre les patrouilles dans son quartier, l’accueil en commissariat, les arrestations, les petits arrangements avec les criminels du coin et, de temps à autre, quelques opérations un peu plus mouvementées (et pas toujours officielles) dans lesquelles il se retrouve embarqué. Assez connu dans la police et dans son quartier pour ses gros bras et son efficacité, il s’est constitué au fil du temps un réseau assez large et a même développé quelques compétences pour gérer les aspects les plus politiques de son boulot, ce qui fait qu’il sait faire plus que juste taper.
■ Si la première impression que dégage Al’ est celle d’une brute épaisse qui va vous fracasser la jambe pour un mot de travers, la seconde ne fait pas grand chose pour corriger cette idée. Assez direct, parfois vulgaire, souvent prompt à faire de l’ironie ou de l’humour noir, il ne paraît pas très sympathique, malgré ses tentatives pour l’être. Il est sinon assez négligé, mais ceux qui le recroisent plusieurs fois constatera qu’il porte régulièrement des paires de lunettes différentes et qu’il en fait même la collection.
■ Archétype du flic épris de justice qui lutte contre le cynisme omniprésent (y compris et surtout en lui-même), Al’ est ainsi un bosseur efficace et rigoureux, qui essaie de mêler idéaux et pragmatisme pour donner la meilleure fin possible (selon lui) aux affaires dans lesquelles il est embarqué, tout en limitant les risques pour les vies dont il a la responsabilité. Bien que sachant faire un massacre quand il n’y a pas d’autres options, il déteste en arriver à ce stade (voire peut s’en vouloir pendant des années s’il l’atteint) et préférera se mettre un peu en danger ou se prendre la tête pendant des semaines plutôt que d’en arriver là. S’il lui arrive de se faire surprendre ou d’être sacrément vénère, il est aussi capable de garder son sang-froid dans la plupart des situations, conscient que ça peut tout foutre en l’air.
■ Avec ses amis et les gens qu’il aime bien en général, Al’ a appris à être assez honnête sur ce qu’il ressent, quitte à se transformer en guimauve entre deux moments de cynisme et à avoir l’air tout d’un coup plus gêné qu’une fille en fleur qui fait sa première confession. Quoi que peu chaleureux, il n’est pas complètement idiot socialement et finit par savoir repérer les états d’âme des gens, voire par y répondre à sa façon, que ce soit en mettant les pieds dans le plat directement, en faisant une blague ou en se montrant étrangement prévenant.
■ Les pires ennemis d’Al’ sont les contradictions avec lesquelles il a choisi de vivre et contre lesquelles il est voué à se battre. Quand il a les yeux ouverts, il est focalisé boulot, en essayant de se concentrer sur toutes les choses qu’il ne doit pas perdre de vue et en négligeant tout le reste. Quand il se prend enfin une pause, c’est pour faire des cauchemars, se réfugier dans l’alcool (avec lequel il a uuun peu de mal) et causer mentalement avec des fantômes. Bien qu’étant devenu assez fort mentalement, et surtout assez bien entouré, pour ne pas tomber trop bas et trouver encore un sens à ce qu’il fait, la mauvaise passe n’est donc jamais très loin. Il en a cependant conscience et, se refusant autant qu’il le peut au nihilisme qu’à l’hypocrisie (bien qu’il se sache capable de tomber dans l’un comme dans l’autre), essaie de s’appuyer sur tout ce qu’il a appris ces dix dernières années pour tenir un jour de plus.
Stats
Aventures
Mission 1 - Le piège de la routine
La police ayant été complètement tenue à l’écart de l’attentat, Al’ n’en sait pas grand chose, en plus de l’avoir passée à l’hôpital après une quelconque opération anonyme qui a mal tourné. Lorsqu’il arrive à tenir sur ses deux jambes et retourne aussitôt travailler, c’est pour recevoir un mail de Tamara Viktova, qui semble avoir quelques potins à leur raconter, à Pearl et à lui…
Liens
(N'hésitez pas à me ping si vous en voulez un !)
Principaux
Effie
Al’ se souvient très bien de sa rencontre avec Effie — bien mieux qu’elle-même ne semble s’en rappeler — puisqu’elle est littéralement entrée dans son commissariat avec une bombe. Ce qui, même si l’engin était désamorcé, aurait clairement pu valoir un aller simple à Beau-Lissandre à la jeune fille, si Al’ n’avait pas fait de son mieux pour calmer les ardeurs de ses collègues un peu plus à cran sur la sécurité. Après avoir digressé autour de sa déposition, ils ont vaguement sympathisé et (de fil en aiguille) il en est venu à se plaindre des drones livreurs qui ne sont pas fichus de prendre soin d’un petit colis fragile, puis à l’embaucher pour s’assurer que ses lunettes arrivent enfin à destination dans un état parfait. Comme il en commande souvent, il a eu plusieurs fois l’occasion de la recroiser dans différents contextes (il se fait parfois livrer au travail entre deux moments de mou, donc elle l’a autant vu super sérieux en uniforme qu’en pyjama trente secondes après être sorti du lit), non sans raconter un peu sa vie et écouter la sienne au passage. Il aime bien son côté léger, presque guilleret, qui lui offre une petite bouffée d’air frais toujours bienvenue.
Pearl
Malgré leur différence d’âge (qu’il a apprise après coup), ils ont à peu près la même ancienneté dans la police, et se sont côtoyés pendant leurs débuts de carrière, avant d’évoluer dans des directions très différentes, Pearl étant clairement plus geek et moins terrain que lui. Tous deux mus par un idéalisme certain dans un monde où on a plus tendance à leur rire au nez qu’à les encourager, ils ont eu quelques discussions passionnantes, et ce peut-être d’autant plus qu’elles ne finissaient pas toujours sur un accord. Même s’il a quelques craintes et doutes relativement à sa… euh, vision du pouvoir, Al’ respecte franchement Pearl, la voit comme une bonne pote, continue de prendre des nouvelles et échange volontiers quelques informations sous le manteau avec elle. À côté de tout ça, il apprécie sa moto, l'a mise sur sa liste de personnes à harceler pour le moindre problème avec la technologie, et enfin peut grâce à elle dire qu’il a une pote à la SABLE, ce qui est sacrément stylé.
Ah, et, bien sûr, il sait que Pearl a un autre Al dans sa vie (heureusement qu’il a échappé à celui-là), aussi l’autorise-t-il exceptionnellement à l’appeler par un autre nom.
Famille
Claudia, Meredith et Violette (Prédéfinis libres)
Respectivement sa grande soeur et ses deux mères. Leur relation est volontairement pas ultra claire au cas où des gens prendraient ces prédefs, mais elle est assez compliquée, car mélange d’affection et d’une rancœur sur laquelle il n’a pas totalement réussi à poser les mots.
Si vous voulez découvrir ces prédefs, ils sont ici !
Relations dans la police (PNJ)
(La plupart de ces PNJ viennent de l'histoire d'Al', mais certains comme Viktova sont joués par Stil'. Possible que certains finissent dans le registre des PNJ, et dans ce cas vous pourriez les jouer si vous avez envie d'agir pour la justi... d'agir pour la corruption, la violence et les donuts)
Dans les intrigues des Câbles...
Tamara Viktova (PNJ)
Tous ses mails sont automatiquement classés dans la catégorie “Plans foireux”, et de fait notifiés à Al’ dès qu’ils arrivent. Il participe ainsi volontiers à ses petites mag... démarches d'enquête innovantes, et respecte ses compétences en la matière, quoi que leur relation n’ait pas forcément dépassé le cadre professionnel.Dans son commissariat actuel...
Son chef actuel (’faudra que je lui trouve un nom)
Pas le genre de personne avec qui Al’ irait boire un coup après le boulot, ni même qu’il peut admirer, mais c’est quelqu’un avec qui il bosse bien, qui ne lui met pas activement de bâton dans les roues et qui est (qualité rare) un peu plus attaché à l’ordre qu’aux pots-de-vin. Ils ont donc plutôt de bonnes relations.Saikawa (PNJ) :
Un petit nouveau dans la police (et dans son commissariat), un jeune timide clairement plus doué pour la paperasse que pour le terrain. Al’ n’a jamais retenu dans quel ordre il fallait prononcer son nom, mais l’apprécie vaguement et essaie de l’encourager un peu, pour une fois qu’une recrue n’est là ni pour l’argent ni pour se défouler sur des minorités.Cooper, Martin, John, Boyce… (PNJ) :
Des collègues de son commissariat actuel. Il supporte les deux premiers (même s’il n’en ferait clairement pas des amis), moins les deux derniers.De son passé...
Améliana Mwangi-Tellei (PNJ) :
Commissaire depuis une dizaine d’années, connue pour sa capacité à caser trois injures par phrase, son intransigeance et sa rancune particulière envers la COSHA dont on dit parfois qu’elle tourne à l’obsession (sinon à la paranoïa). Par quelque réseau de connaissances, et parce qu’il ne lui paraissait pas trop inutile, elle a plus ou moins pris Al’ sous son aile en début de carrière et lui a appris les ficelles du métier en échange d’un peu de larbinage pour son compte. Elle l’a ainsi vu progresser au fil des années, jusqu’à ce que leur relation passe finalement de mentor-élève à une amitié proche, bien qu’ils aient assez peu de temps pour se voir et qu’ils puissent difficilement le faire sans se lancer deux piques par phrase. Ils s’appellent cela dit souvent quand ils ont quelques minutes, ne serait-ce que pour s’échanger des tuyaux ou se plaindre. Outre l’affection qu’il lui porte et la reconnaissance qu’il éprouve pour elle (il lui doit notamment pas mal de ses connaissances en gestion/politique/économie et pilotage d’hélico), Al’ sait bien qu’Améliana est l’un des piliers de son équilibre mental et une de ses principales raisons de rester dans la PU malgré tout ce qu’il y a vu.Al (PNJ ou ptet futur prédef)
: Rien à voir avec l’IA de Pearl, ni avec lui-même. C’est un vieux deuil qu’il n’arrive pas à faire, un ancien mentor qu’il revoit régulièrement mais, depuis six ans, jamais hors d’un rêve.Permission de ce forum:
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