[E5] Être. Connaître. [LIBRE]
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Mer 12 Nov - 22:39
Ses yeux voient les choses autour d'elle. Puis ses yeux s'ouvrent. Bougent. Se baissent. Et voient des... Bras. Des bras ballants. Ça surgit de son néant. Des bras ballants. Les yeux voient le reste du corps, associent l'image à la sensation. Le corps... Les mèches de cheveux, les seins, le ventre, les hanches, les cuisses, les genoux, les... Tibias. Les pieds. Dans des chaussures. Des chaussures... Des chaussures à talons. Hauts. Des chaussures à talons hauts.
Ça lui réchauffe le cœur de voir ça. Elle découvre des choses qui bougent à son rythme. Existent à son rythme. Elle peut bouger les bras, bouger les jambes, plier les genoux, les... Le bras se plie au... Coude. Elle peut plier les coudes. Et le ventre. Elle ne peut ni bouger ni plier les seins, mais si ça doit venir, ça viendra, comme tout depuis que le néant s'est rompu. A chaque mouvement, une nouvelle parcelle d'elle s'éveille. Elle se sent de plus en plus.
C'est ça, l'existence. Le contraire du néant. Le néant, c'est ne rien ressentir là où il n'y a rien. L'existence, c'est être et sentir qu'on est là où l'on sent que l'on est... Enfin c'est quelque chose comme ça. C'est un peu néant, un peu...
C'est un peu compliqué. Quand on a du mal à comprendre. C'est compliqué. Comprendre... C'est le néant qui s'efface.
Ça lui réchauffe le cœur de voir ça. Elle découvre des choses qui bougent à son rythme. Existent à son rythme. Elle peut bouger les bras, bouger les jambes, plier les genoux, les... Le bras se plie au... Coude. Elle peut plier les coudes. Et le ventre. Elle ne peut ni bouger ni plier les seins, mais si ça doit venir, ça viendra, comme tout depuis que le néant s'est rompu. A chaque mouvement, une nouvelle parcelle d'elle s'éveille. Elle se sent de plus en plus.
C'est ça, l'existence. Le contraire du néant. Le néant, c'est ne rien ressentir là où il n'y a rien. L'existence, c'est être et sentir qu'on est là où l'on sent que l'on est... Enfin c'est quelque chose comme ça. C'est un peu néant, un peu...
C'est un peu compliqué. Quand on a du mal à comprendre. C'est compliqué. Comprendre... C'est le néant qui s'efface.
- Résumé:
- L'on a retrouvé dans les ruines de maisons aux alentours de Pompéi des vestiges de papyrus évoquant un personnage aux cheveux verts comme des bourgeons naissants dont l'inutilité serait aussi flagrante qu'est incontestée la gloire de l'Urbs Romana /PAF/
Plus sérieusement: Souvenir se découvre. Toute seule. Au milieu de la plaine. Elle ne bouge pas de sa place, même si elle gigote comme un pantin désarticulé, testant ses articulations et ses muscles comme une enfant explorerait les limites d'élasticité de sa nouvelle poupée.
Ah et un petit bonus, pour pas qu'on me dise maaais on voit pas sa tête:- en exclusivité, un gribouillis de la tronche de Souvenir:
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Dim 16 Nov - 0:28
Jim poussait toujours des hurlements de joie en courant. Les bras en croix, il court, tombe, se relève et court. A l'infinie. Rien ne peut l'arrêter. Il se sent puissant, fort, jeune...Invincible. Il aurait pu pensé que ce sentiment ressemble a l'effet de certaine drogue mais comme il n'en a jamais pris c'est la première fois qu'il le ressent. De toute sa vie entière. Même dans cet ancien monde dont il oublie les détails petits à petits, il n'avais jamais ressentis tout ça.
Ou alors il l'as oublier comme une partie de sa vie. Et la, a présent il oublis encore et encore mais il n'essaye pas de s'en souvenir a tout prix. Dans cette ancienne vie il se raccrochait a la moindre bribe de son histoire comme un fou pour ne pas se perdre lui même. Mais la ? La. Il n'en a plus rien a faire. Il est Jim. Un corps, deux bras, deux jambes, une gorge. Et ça lui suffit. Plus besoin d'histoire ou d'identité. Il peut tout inventer tout être. Il en pleure de joie tout en courant et criant.
Il ne regarde pas ou il vas, il s'en fout aussi. Sauf qu'il a peut être un corps jeune et vigoureux et patati patata. Il a quand même une limite a ses capacités et il y est arrivé. Jim se laisse tomber au sol en expirant et inspirant lentement ne se détachant pas de son grand sourire qui mange la vie.
Il essuya ses larmes avec ses manches avant de soupirer et tourner son regard vers le monde. Bizarreries. Partout. Mais ça ne le choque pas vraiment, il est déjà habitué presque. Avant il se serait interrogé sur tout ça chercherait une solution...Mais la il se dit juste que tout ça c'est vachement cool. Son regard rêveur et semi-absent tomba finalement vers la fille. Verte. Nue.
C'est quasiment impossible qu'il ne l'ai pas vu en se laissant tomber par terre il y a de ça une trentaine de seconde mais c'est le cas. Elle se trouve juste a sa droite et il reste un moment bloqué. Le regard jonglant entre son corps et ses yeux. C'est.....surprenant. Il finit par détourner le regard en se relevant.
<< Waaah pardon excusez moi ! Je voulais pas vraiment.... 'Fin. >>
Il retire précipitamment sa veste en cuir pour la lui tendre sans la regarder. C'était déjà trop le moment d'absence ou il n'as pas pu détourner ses yeux. Elle est verte. C'est normal d'être vert ? Il est pas vert lui. En tout cas c'est la première fois qu'il croise une personne ici -il n'en a pas vraiment chercher jusque la en même temps trop occupé a courir en criant son bonheur-.
Ou alors il l'as oublier comme une partie de sa vie. Et la, a présent il oublis encore et encore mais il n'essaye pas de s'en souvenir a tout prix. Dans cette ancienne vie il se raccrochait a la moindre bribe de son histoire comme un fou pour ne pas se perdre lui même. Mais la ? La. Il n'en a plus rien a faire. Il est Jim. Un corps, deux bras, deux jambes, une gorge. Et ça lui suffit. Plus besoin d'histoire ou d'identité. Il peut tout inventer tout être. Il en pleure de joie tout en courant et criant.
Il ne regarde pas ou il vas, il s'en fout aussi. Sauf qu'il a peut être un corps jeune et vigoureux et patati patata. Il a quand même une limite a ses capacités et il y est arrivé. Jim se laisse tomber au sol en expirant et inspirant lentement ne se détachant pas de son grand sourire qui mange la vie.
Il essuya ses larmes avec ses manches avant de soupirer et tourner son regard vers le monde. Bizarreries. Partout. Mais ça ne le choque pas vraiment, il est déjà habitué presque. Avant il se serait interrogé sur tout ça chercherait une solution...Mais la il se dit juste que tout ça c'est vachement cool. Son regard rêveur et semi-absent tomba finalement vers la fille. Verte. Nue.
C'est quasiment impossible qu'il ne l'ai pas vu en se laissant tomber par terre il y a de ça une trentaine de seconde mais c'est le cas. Elle se trouve juste a sa droite et il reste un moment bloqué. Le regard jonglant entre son corps et ses yeux. C'est.....surprenant. Il finit par détourner le regard en se relevant.
<< Waaah pardon excusez moi ! Je voulais pas vraiment.... 'Fin. >>
Il retire précipitamment sa veste en cuir pour la lui tendre sans la regarder. C'était déjà trop le moment d'absence ou il n'as pas pu détourner ses yeux. Elle est verte. C'est normal d'être vert ? Il est pas vert lui. En tout cas c'est la première fois qu'il croise une personne ici -il n'en a pas vraiment chercher jusque la en même temps trop occupé a courir en criant son bonheur-.
- Spoiler:
Jim court en gueulant -et pleure de joie- avant de se laisser tomber par terre parce que c'est fatiguant. Il regarde autour de lui et finit par voir Souvenir qu'il mate sans faire exprès. Après il lui propose sa veste en sortant une phrase inutile
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Dim 16 Nov - 1:27
Le néant s'efface un peu plus. Ses oreilles s'annexent à elle. Elle les sent. Elle les sent qui perçoivent des... Des choses. Des sons. Les yeux, c'est la vision; les oreilles, les sons.
Elle perçoit des sons. Des... Des sons particuliers. Des sons qui s'agitent dans son crâne et qui lui réchauffent le cœur. De sons... Comment s'appellent-ils? Et que sont-ils exactement?
Des sons... Ses sourcils s'annexent à elle à leurs tour en se fronçant. Elle fronce les sourcils et ferme les yeux.
Des sons. Quels sons?
Elle le sait, c'est quelque part, sous un pan de blanc, un pan de néant un peu trop résistant. Comme tout ce qu'elle est, tout ce qu'elle pense. C'est compliqué.
Pendant qu'elle pense à ces choses, les sons deviennent plus... Chaud. Non... Comme le son de son corps à la pensé des souvenirs. Fort. Intense.
Les sons deviennent plus intenses.
Et d'un coup ils le deviennent moins. D'un coup ils s'atténuent. Un son qui surgit du néant, un son soudain, un peu comme les battements de son cœur...
D'un coup les sons s'atténuent, soudainement, sourdement comme un battement de cœur.
Elle ouvre les yeux sur les choses. Et parmi les choses une nouvelle est apparue: une chose au sol, une chose brune, une chose qui lui rappelait terriblement quelque chose d'autre sur laquelle elle n'avait pas encore mis de nom. Une chose qui avait un regard, elle le sentait sur elle, et elle savait qu'un regard, ça venait des yeux. Elle le savait depuis quelques secondes et... Ses yeux étaient bleus. Et il y avait des mains, pas de bras, mais des mains, et... Et ses yeux croisaient les siens, et... Et elle ne pouvait plus bouger.
Trop de choses. Trop de choses d'un seul coup et... Trop de soudaineté. Trop de choses en un battement de cœur.
« Waaah, pardon, excusez-moi! »
Ses yeux. Les yeux de Souvenir. Ils s'écarquillent.
C'est un son. Mais pas n'importe quel son, un... Une... Une voix. Une voix, ça sort des lèvres. Ces lèvres qu'elle entrouvre, elle peuvent laisser s'échapper une voix. Une voix, ça dit des choses... Ce qui résonne dans sa tête peut être dit par sa voix.
« Par... Don... Excusez-moi. »
Elle agite les lèvres comme lui mais ce qui en sort n'arrive même pas à ses propres oreilles.
Pardon. Excusez-moi.
Elle ne sait pas ce que c'est. Pourtant elle devrait savoir, elle le sait. C'est peut-être elle?
Et les souvenirs alors, qu'est-ce que c'est?
Elle écarquille encore plus les yeux.
Les souvenirs, ce sont les pans de blancs qui se déchirent.
Et elle alors? Qu'est-ce qu'elle est?
Un amalgame de souvenirs. Un amalgame de choses. Un amalgame de bras, de jambes, de coudes, de seins, de ventre, de genoux, de cheveux. Ce n'est pas pour autant qu'elle s'appelle chose, bras, jambes, coudes, seins, ventre, genoux, cheveux ou amalgame.
Elle n'est pas Souvenir. Mais ce qu'elle est, elle ne sait pas. Pardon, peut-être?
Ses yeux se posent sur la chose nouvelle. La chose parlante. Elle découvre ses deux bras. Au bout desquels il y a deux mains. Et l'une de ses mains se tend vers elle avec... Quelque chose au bout. Une chose qui lui dit quelque chose, encore. Elle tend ses doigts maigres et la prend. Cette... Cette chose. Cette sensation. Cette... Texture. Elle approche la chose flasque de ses yeux pour la voir et elle parvient à la sentir.
Cette odeur.
Cela surgit de son néant. Une veste en cuir.
Elle ferme les yeux. Elle n'a pas besoin de voir pour savoir que c'est là et que ça existe, elle n'a pas besoin de voir pour sentir: l'odeur lui remplit la tête et le nez et les papilles et lui délie la langue:
« Une veste en cuir! »
Elle perçoit des sons. Des... Des sons particuliers. Des sons qui s'agitent dans son crâne et qui lui réchauffent le cœur. De sons... Comment s'appellent-ils? Et que sont-ils exactement?
Des sons... Ses sourcils s'annexent à elle à leurs tour en se fronçant. Elle fronce les sourcils et ferme les yeux.
Des sons. Quels sons?
Elle le sait, c'est quelque part, sous un pan de blanc, un pan de néant un peu trop résistant. Comme tout ce qu'elle est, tout ce qu'elle pense. C'est compliqué.
Pendant qu'elle pense à ces choses, les sons deviennent plus... Chaud. Non... Comme le son de son corps à la pensé des souvenirs. Fort. Intense.
Les sons deviennent plus intenses.
Et d'un coup ils le deviennent moins. D'un coup ils s'atténuent. Un son qui surgit du néant, un son soudain, un peu comme les battements de son cœur...
D'un coup les sons s'atténuent, soudainement, sourdement comme un battement de cœur.
Elle ouvre les yeux sur les choses. Et parmi les choses une nouvelle est apparue: une chose au sol, une chose brune, une chose qui lui rappelait terriblement quelque chose d'autre sur laquelle elle n'avait pas encore mis de nom. Une chose qui avait un regard, elle le sentait sur elle, et elle savait qu'un regard, ça venait des yeux. Elle le savait depuis quelques secondes et... Ses yeux étaient bleus. Et il y avait des mains, pas de bras, mais des mains, et... Et ses yeux croisaient les siens, et... Et elle ne pouvait plus bouger.
Trop de choses. Trop de choses d'un seul coup et... Trop de soudaineté. Trop de choses en un battement de cœur.
« Waaah, pardon, excusez-moi! »
Ses yeux. Les yeux de Souvenir. Ils s'écarquillent.
C'est un son. Mais pas n'importe quel son, un... Une... Une voix. Une voix, ça sort des lèvres. Ces lèvres qu'elle entrouvre, elle peuvent laisser s'échapper une voix. Une voix, ça dit des choses... Ce qui résonne dans sa tête peut être dit par sa voix.
« Par... Don... Excusez-moi. »
Elle agite les lèvres comme lui mais ce qui en sort n'arrive même pas à ses propres oreilles.
Pardon. Excusez-moi.
Elle ne sait pas ce que c'est. Pourtant elle devrait savoir, elle le sait. C'est peut-être elle?
Et les souvenirs alors, qu'est-ce que c'est?
Elle écarquille encore plus les yeux.
Les souvenirs, ce sont les pans de blancs qui se déchirent.
Et elle alors? Qu'est-ce qu'elle est?
Un amalgame de souvenirs. Un amalgame de choses. Un amalgame de bras, de jambes, de coudes, de seins, de ventre, de genoux, de cheveux. Ce n'est pas pour autant qu'elle s'appelle chose, bras, jambes, coudes, seins, ventre, genoux, cheveux ou amalgame.
Elle n'est pas Souvenir. Mais ce qu'elle est, elle ne sait pas. Pardon, peut-être?
Ses yeux se posent sur la chose nouvelle. La chose parlante. Elle découvre ses deux bras. Au bout desquels il y a deux mains. Et l'une de ses mains se tend vers elle avec... Quelque chose au bout. Une chose qui lui dit quelque chose, encore. Elle tend ses doigts maigres et la prend. Cette... Cette chose. Cette sensation. Cette... Texture. Elle approche la chose flasque de ses yeux pour la voir et elle parvient à la sentir.
Cette odeur.
Cela surgit de son néant. Une veste en cuir.
Elle ferme les yeux. Elle n'a pas besoin de voir pour savoir que c'est là et que ça existe, elle n'a pas besoin de voir pour sentir: l'odeur lui remplit la tête et le nez et les papilles et lui délie la langue:
« Une veste en cuir! »
- Spoiler:
- Elle découvre l'ouïe avec la fantastique arrivée de Jim... Et le remarque autant qu'il la remarque, au début (pardon de te traiter de chose tout au long de ce RP au fait, la demoiselle ne connait pas encore le concept... d'être humain). Elle entend la moitié de la phrase de Jim, vite noyée dans des lapalissades perturbantes et dans sa première remise en question - elle s'appelle Pardon jusqu'à nouvel ordre, si si.
Et... Lorsque Jim lui tend la veste en cuir, elle la prend et la sent, parce que l'odeur du cuir, ughhhh. Voilà. C'est tellement cool qu'elle parle! Wouhou!
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Dim 16 Nov - 11:54
« Par... Don... Excusez-moi. »
Jim fronce légerement les sourcils en se demandant pourquoi elle s'excuse elle. Puis il oublie vite qu'il se pose la question pour lancer a cette fille verte un grand sourire qui lui découvre les dents. Il ne sait même pas pourquoi il sourit et ne se pose même pas la question. C'est peut être juste le fait qu'il est la.
On l'auras compris Jim sourit pour rien.
Il observe sagement le visage de la fille -qui ressemble a un......extra-terrestre ?-, elle a du se cogner quelque part. Parce qu'elle a l'air complétement sonnée, a coté de tout, absente ou juste ignorante. Elle a le même regard que lui quand il s'est découvert jeune -est pas a nouveau parce que ce corps la n'était pas le sien dans sa vie- -celui ci est beaucoup mieux-. Il songea que c'était peut être une habitante de ce monde.
« Une veste en cuir! »
Jim se laissa tomber a terre brusquement, il garde soigneusement son regard sur ses prunelles assis en tailleurs juste en face. Il ne trouve même plus ça gênant qu'elle soit nue. Il s’habitue vite a tout.
<< Yep. Une veste en cuir ! Je te la donne. Parce que ouais...Ca te fera au moins ça.>>
Il sourit heureux qu'elle parle la même langue que lui, enfin qu'il la comprenne au moins. Il viennent du même monde alors ? Si elle n'est pas d'ici... Jim réfléchis silencieusement un moment avant de reprendre. Il parle vite et enchaine les phrases sans attendre de réponse ou de remarque. Le brun est juste heureux de pouvoir parler aussi vite et d'avoir une paire d'oreille -même verte- pour l'écouter.
<< C'est normal que tu sois verte ? Il t'es arrivée quelque chose non ? Moi c'est Jim. J. I. M. T'es d'ici ? J'adore ce monde. Réellement. T'enfile pas la veste ? J'aime bien cette veste, je l'ai depuis a peine une heure mais je l'aime bien. Elle est confortable j't'assure.>>
Jim fronce légerement les sourcils en se demandant pourquoi elle s'excuse elle. Puis il oublie vite qu'il se pose la question pour lancer a cette fille verte un grand sourire qui lui découvre les dents. Il ne sait même pas pourquoi il sourit et ne se pose même pas la question. C'est peut être juste le fait qu'il est la.
On l'auras compris Jim sourit pour rien.
Il observe sagement le visage de la fille -qui ressemble a un......extra-terrestre ?-, elle a du se cogner quelque part. Parce qu'elle a l'air complétement sonnée, a coté de tout, absente ou juste ignorante. Elle a le même regard que lui quand il s'est découvert jeune -est pas a nouveau parce que ce corps la n'était pas le sien dans sa vie- -celui ci est beaucoup mieux-. Il songea que c'était peut être une habitante de ce monde.
« Une veste en cuir! »
Jim se laissa tomber a terre brusquement, il garde soigneusement son regard sur ses prunelles assis en tailleurs juste en face. Il ne trouve même plus ça gênant qu'elle soit nue. Il s’habitue vite a tout.
<< Yep. Une veste en cuir ! Je te la donne. Parce que ouais...Ca te fera au moins ça.>>
Il sourit heureux qu'elle parle la même langue que lui, enfin qu'il la comprenne au moins. Il viennent du même monde alors ? Si elle n'est pas d'ici... Jim réfléchis silencieusement un moment avant de reprendre. Il parle vite et enchaine les phrases sans attendre de réponse ou de remarque. Le brun est juste heureux de pouvoir parler aussi vite et d'avoir une paire d'oreille -même verte- pour l'écouter.
<< C'est normal que tu sois verte ? Il t'es arrivée quelque chose non ? Moi c'est Jim. J. I. M. T'es d'ici ? J'adore ce monde. Réellement. T'enfile pas la veste ? J'aime bien cette veste, je l'ai depuis a peine une heure mais je l'aime bien. Elle est confortable j't'assure.>>
- Spoiler:
Jim la regarde encore et se pose des questions après il se re-laisse tomber par terre pour lui poser pleins de questions et lui faire la conversation tout content de pouvoir parler a quelqu'un.
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Dim 16 Nov - 13:02
« Yep. Une veste en cuir! Je te la donne. Parce que, ouais... Ça te fera au moins ça. »
Yep. Une veste en cuir. Elle voit ce que c'est. À peu près.
Mais ensuite, ça devient plus compliqué.
Je. Te. La. Donne. Je, c'est elle. C'est comment elle s'appelle dans sa tête. La, c'est la veste. Donne, c'est ce qu'il fait. Donc je, c'est lui. Mais dans sa tête, je, c'est elle.
Je, c'est la personne qui parle.
Et il lui parle à elle. Donc te, c'est elle.
Elle approche plus encore la veste de son nez, pour en sentir l'odeur. Te, c'est elle. Elle est Te.
« C'est normal que tu sois verte? »
Te. Tu. Il faudrait savoir. Tout ce qu'elle sait, c'est qu'elle saura, tout comme elle sait maintenant qu'elle est verte. Depuis qu'elle a ouvert les yeux.
« Il t'es arrivé quelque chose, non? »
T'es, à présent. Elle est trop de choses. Tant de choses en si peu de temps. De choses été, senties, ressenties, vues, entendues... Des choses qui arrivent. Non?
« Moi c'est Jim. J-I-M. »
Jim. Ce n'est pas Je, c'est Jim. Peur-être qu'elle n'est pas Te, ni Tu, ni T'es, mais Tim?
« T'es d'ici? »
T'es, encore. Soudain quelque chose surgit. Les choses changent selon leur sens dans la... Phrase. Donc t'es, tu, te, Tim, c'est elle. Selon son sens dans la phrase. Et le sens, c'est ce qu'elle découvre. Le néant, c'est l'absence d'existence. Le sens du néant, c'est l'absence d'existence.
Une autre question jaillit. Qu'est ce que c'est, ici? C'est là où l'on de trouve. Ici... C'est toutes les choses qui l'entourent. Ailleurs, c'est les choses qui ne l'entourent pas mais qui l'entoureraient si elle n'était pas ici, là.
Est-elle d'ici? Elle ne sait pas.
« Elle est confortable je t'assure.
— Je suis Tim. Te, Ta, Tu. Tim. Je crois. Je ne sais pas. »
Elle respire. Elle le fait depuis longtemps mais elle ne le sent vraiment qu'à cet instant. Un profond soupir.
Elle, c'est la veste. Ses mots lui reviennent: « t'enfile pas la veste? »
Enfiler une veste!
Enfiler une veste en cuir!
Cette fois ce sont des gestes qui lui reviennent.
Étendre la veste, de façon à ne pas en voir le cuir. Un trou à gauche, un trou à droite. Elle sourit de savoir ce qu'elle fait. Dans le trou de gauche, passer la main gauche, sans lâcher le col de la main droite. Et dans le trou de droite, passer la main droite.
Ce n'est pas ça. Non.
Elle laisse glisser la veste sur ses bras et retomber au sol. La ramasse. L'étend, pour ne pas voir le cuir. Dans le trou de gauche, passer la main droite, sans lâcher le col de la main gauche. La texture douce contre son dos. Passer la main gauche dans le trou de gauche.
C'est ça. Elle a enfilé une veste en cuir. Et une veste en cuir, ça a des... Manches.
Yep. Une veste en cuir. Elle voit ce que c'est. À peu près.
Mais ensuite, ça devient plus compliqué.
Je. Te. La. Donne. Je, c'est elle. C'est comment elle s'appelle dans sa tête. La, c'est la veste. Donne, c'est ce qu'il fait. Donc je, c'est lui. Mais dans sa tête, je, c'est elle.
Je, c'est la personne qui parle.
Et il lui parle à elle. Donc te, c'est elle.
Elle approche plus encore la veste de son nez, pour en sentir l'odeur. Te, c'est elle. Elle est Te.
« C'est normal que tu sois verte? »
Te. Tu. Il faudrait savoir. Tout ce qu'elle sait, c'est qu'elle saura, tout comme elle sait maintenant qu'elle est verte. Depuis qu'elle a ouvert les yeux.
« Il t'es arrivé quelque chose, non? »
T'es, à présent. Elle est trop de choses. Tant de choses en si peu de temps. De choses été, senties, ressenties, vues, entendues... Des choses qui arrivent. Non?
« Moi c'est Jim. J-I-M. »
Jim. Ce n'est pas Je, c'est Jim. Peur-être qu'elle n'est pas Te, ni Tu, ni T'es, mais Tim?
« T'es d'ici? »
T'es, encore. Soudain quelque chose surgit. Les choses changent selon leur sens dans la... Phrase. Donc t'es, tu, te, Tim, c'est elle. Selon son sens dans la phrase. Et le sens, c'est ce qu'elle découvre. Le néant, c'est l'absence d'existence. Le sens du néant, c'est l'absence d'existence.
Une autre question jaillit. Qu'est ce que c'est, ici? C'est là où l'on de trouve. Ici... C'est toutes les choses qui l'entourent. Ailleurs, c'est les choses qui ne l'entourent pas mais qui l'entoureraient si elle n'était pas ici, là.
Est-elle d'ici? Elle ne sait pas.
« Elle est confortable je t'assure.
— Je suis Tim. Te, Ta, Tu. Tim. Je crois. Je ne sais pas. »
Elle respire. Elle le fait depuis longtemps mais elle ne le sent vraiment qu'à cet instant. Un profond soupir.
Elle, c'est la veste. Ses mots lui reviennent: « t'enfile pas la veste? »
Enfiler une veste!
Enfiler une veste en cuir!
Cette fois ce sont des gestes qui lui reviennent.
Étendre la veste, de façon à ne pas en voir le cuir. Un trou à gauche, un trou à droite. Elle sourit de savoir ce qu'elle fait. Dans le trou de gauche, passer la main gauche, sans lâcher le col de la main droite. Et dans le trou de droite, passer la main droite.
Ce n'est pas ça. Non.
Elle laisse glisser la veste sur ses bras et retomber au sol. La ramasse. L'étend, pour ne pas voir le cuir. Dans le trou de gauche, passer la main droite, sans lâcher le col de la main gauche. La texture douce contre son dos. Passer la main gauche dans le trou de gauche.
C'est ça. Elle a enfilé une veste en cuir. Et une veste en cuir, ça a des... Manches.
- Résumé:
- Elle galère à suivre ce que Jim lui dit mais... Elle y arrive à quelques détails grammaticaux près. Puis elle se présente comme étant Tim (*tousse*) et essaye d'enfiler la veste. Elle se plante plus réessaye et réussit, wouhou
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Date d'inscription : 24/06/2012
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Dim 16 Nov - 13:02
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'EV-5' :
'EV-5' :
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Dim 16 Nov - 14:50
— Je suis Tim. Te, Ta, Tu. Tim. Je crois. Je ne sais pas. »
Jim l'observe mettre la veste après réflexion et un petit raté. Elle a du se cogner la tête quelque part, c'est certain.
<< Bon, se sera Tim alors ? Même si c'est pas vraiment féminin. Tu as perdu la mémoire ou quelque chose comme ça ? >>
Un mouvement a sa droite lui fit détourner le regard de Tim, en deux seconde il fut debout sur ses pieds pour voir approcher a toute vitesse une.....une marelle vivante ? Le spectacle du jeu d'enfant qui s'approchait en se tordant était plutôt amusant et Jim rit tout seul sans vraiment s'en méfier. La marelle en soit n'était pas vraiment offensive. Mais la douzaines de craies volante qui l'accompagnait....
<< T'as vu ça Tim ?! >>
La 'cavalerie' de craies fut vite sur eux et avant que Jim n'ai pu esquisser ( mwahahah ) un geste une partie de la marelle vint s’imprimer sur son haut. Les craies s'activant dans le vide dessinant une dizaine d'objet qui foncèrent a leur tour sur Tim et Jim.
Ce n'est que de la craie après tout...... mais non pas réellement chaque objet qui était envoyer sur eux avait la même consistance que si il avait était réel. Par exemple actuellement Jim se prenait des dizaines de ballons en craie et il ressent la même chose que si il se prenait des dizaines de vrais ballons dessus.
Il poussa un cris en essayant d'éviter des projectiles et en moulinant des bras sur place. Comme ça ne servait pas grand chose il essaya d'attraper les craies sans vraiment de succès. Il en oublia carrément Tim sur le coup trop occupé a se défendre des craies. Il recevait tellement de dessins qu'il commençait a être tout coloré. Il grogna une insulte et réussit finalement a attraper une craie -sans le faire exprès-
<< AH AH. J'EN AI UNE. >>
Il partit dans une rire en brandissant le bout de craie, le tenant fermement entre ses doigts.
<< STOP OU JE L’ÉCRASE.>>
Jim l'observe mettre la veste après réflexion et un petit raté. Elle a du se cogner la tête quelque part, c'est certain.
<< Bon, se sera Tim alors ? Même si c'est pas vraiment féminin. Tu as perdu la mémoire ou quelque chose comme ça ? >>
Un mouvement a sa droite lui fit détourner le regard de Tim, en deux seconde il fut debout sur ses pieds pour voir approcher a toute vitesse une.....une marelle vivante ? Le spectacle du jeu d'enfant qui s'approchait en se tordant était plutôt amusant et Jim rit tout seul sans vraiment s'en méfier. La marelle en soit n'était pas vraiment offensive. Mais la douzaines de craies volante qui l'accompagnait....
<< T'as vu ça Tim ?! >>
La 'cavalerie' de craies fut vite sur eux et avant que Jim n'ai pu esquisser ( mwahahah ) un geste une partie de la marelle vint s’imprimer sur son haut. Les craies s'activant dans le vide dessinant une dizaine d'objet qui foncèrent a leur tour sur Tim et Jim.
Ce n'est que de la craie après tout...... mais non pas réellement chaque objet qui était envoyer sur eux avait la même consistance que si il avait était réel. Par exemple actuellement Jim se prenait des dizaines de ballons en craie et il ressent la même chose que si il se prenait des dizaines de vrais ballons dessus.
Il poussa un cris en essayant d'éviter des projectiles et en moulinant des bras sur place. Comme ça ne servait pas grand chose il essaya d'attraper les craies sans vraiment de succès. Il en oublia carrément Tim sur le coup trop occupé a se défendre des craies. Il recevait tellement de dessins qu'il commençait a être tout coloré. Il grogna une insulte et réussit finalement a attraper une craie -sans le faire exprès-
<< AH AH. J'EN AI UNE. >>
Il partit dans une rire en brandissant le bout de craie, le tenant fermement entre ses doigts.
<< STOP OU JE L’ÉCRASE.>>
- Spoiler:
- Jim se dit que Tim s'est cogner la tête quelque part puis rigole envoyant la marelle arriver avec un convois de craie sauf que celle ci l'attaque mais finalement il en attrape et menace de l'écraser si les autres s'arrête et on ne sais pas encore si la menace fonctionne ou non. Et il oublie carrément de voir si Tim vas bien.
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Dim 16 Nov - 22:07
« Bon, ce sera Tim alors? Même si c'est pas vraiment féminin. Tu as perdu la mémoire ou quelque chose comme ça? »
Trop. De. Choses. Beaucoup trop de choses. Plus il parle, plus elle a du mal à suivre ce qu'il dit. Et pourtant il le faut, parce qu'elle veut en apprendre plus et qu'en trois battements de cœur avec lui, elle en a appris plus que pendant l'éternité qu'il lui semblait avoir passée seule avec son néant.
« T'as vu ça, Tim?! »
Elle lève les yeux vers Jim. Il regarde vers la droite. Tournant le visage dans la direction indiquée, elle voit des choses. Des choses soudaines... Rapides, qui se déplacent, et qui s'approchent d'elle. D'eux.
Ses yeux s'écarquillent. Des choses. Trop, beaucoup trop de choses, trop de couleurs, qui s'agitent, qui font surgir encore plus de choses.
Elle détourne le visage de toutes ces choses pour n'en voir que plus encore. Trop de choses, partout, beaucoup trop, plus qu'elle n'arrive à en comprendre, à en saisir, trop, elle ne sait plus, elle ne sait pas, elle se perd, se perd, dans son néant...
Néant.
Les battements de cœur se succèdent et ceux des choses qui surgissent, elle le sent, elle l'entend, elle le sent surtout, lui annexant des parties d'elle par une nouvelle sensation: la douleur. La douleur dans le dos, à l'arrière des cuisses, sur les mollets, les épaules, la nuque, la tête.
Elle est penchée vers l'avant, dos courbé, jambes droites, visage caché dans les bras, l'odeur de la veste en cuir plein le nez, les bruits et les cris plein les oreilles, les coups plein le dos, la douleur plein le cœur. Une nouvelle sorte de douleur. Une douleur qui la paralyse et qui accélère son cœur.
La panique.
Trop. De. Choses. Beaucoup trop de choses. Plus il parle, plus elle a du mal à suivre ce qu'il dit. Et pourtant il le faut, parce qu'elle veut en apprendre plus et qu'en trois battements de cœur avec lui, elle en a appris plus que pendant l'éternité qu'il lui semblait avoir passée seule avec son néant.
« T'as vu ça, Tim?! »
Elle lève les yeux vers Jim. Il regarde vers la droite. Tournant le visage dans la direction indiquée, elle voit des choses. Des choses soudaines... Rapides, qui se déplacent, et qui s'approchent d'elle. D'eux.
Ses yeux s'écarquillent. Des choses. Trop, beaucoup trop de choses, trop de couleurs, qui s'agitent, qui font surgir encore plus de choses.
T R O P D E C H O S E S.
Elle détourne le visage de toutes ces choses pour n'en voir que plus encore. Trop de choses, partout, beaucoup trop, plus qu'elle n'arrive à en comprendre, à en saisir, trop, elle ne sait plus, elle ne sait pas, elle se perd, se perd, dans son néant...
Néant.
Les battements de cœur se succèdent et ceux des choses qui surgissent, elle le sent, elle l'entend, elle le sent surtout, lui annexant des parties d'elle par une nouvelle sensation: la douleur. La douleur dans le dos, à l'arrière des cuisses, sur les mollets, les épaules, la nuque, la tête.
Elle est penchée vers l'avant, dos courbé, jambes droites, visage caché dans les bras, l'odeur de la veste en cuir plein le nez, les bruits et les cris plein les oreilles, les coups plein le dos, la douleur plein le cœur. Une nouvelle sorte de douleur. Une douleur qui la paralyse et qui accélère son cœur.
La panique.
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Dim 23 Nov - 12:45
Jim répète sa menace encore une fois mais il n'y a aucune réaction. Il lance un regard a la craie qui gigote et se demande si c'est un meurtre d'écraser un objet qui parait vivant. Parce qu'il veut pas non plus faire mal a quelqu'un -quelque chose-. Du coup il reste un peu statique en tenant la craie, se prenant encore des objets dessinés dans le crane.
<< JE LE FAIS J'VOUS JURE. >>
Il se sent bête a crier comme ça alors qu'il est même pas capable d'écraser une craie. Une vilaine craie. Il lance un coup d’œil a Tim pour voir comment elle se débrouille. Mal. Vu qu'elle est toute recroquevillée. Bon. Il fait mine d'écraser la craie par terre avec une grimace et les autres s’arrêtèrent instantanément. Ah. Y a quand même un esprit d'équipe.
<< Merci. Allez ailleurs maintenant ! Y a surement d'autre gens a attaquer plus loin ! J'ai cru voir tout un groupe de personne innocente mieux que nous la bas. Juste comme il vous faut.>>
L'idée que des craies ne comprennent pas ce qu'il raconte ne lui traverse même pas l'esprit. Il relâche la craie captive en priant pour que les objets comprennent et partent vite fait. Et c'est ce qu'il se passe a son plus grand étonnement. Il soupira et reprit son sourire fier de lui.
Il se retourna vers Tim et s'accroupit a coté d'elle pour lui poser une main sur l'épaule.
<< Eh Tim... C'est bon elles sont plus la. T’inquiète je suis la pour nous protéger.>>
Il se donne ce rôle tout seul, au moins il a un objectif ici c'est déjà pas mal, puis la solitude lui fait carrément peur. Il n'as croiser personne après tout. Juste elle. Donc il ne risque pas de la lâcher tout de suite.
En plus -il a l'impression- qu'elle a réellement besoin d'aide et que toute seule elle risque pas mal de chose. Donc il se sent responsable, enfin actuellement il se dit pas tout ça. Il pense juste que se serait cool d'avoir une fille verte comme amie.
- Spoiler:
- Jim fait fuir les craies et essaye de rassurer Tim en se la jouant protecteur mais enfait il est toujours aussi débile.
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Sam 29 Nov - 22:58
Ses épaules. Elles tremblent. Elles bougent sans elle, à demi-désannexées de son esprit.
Elle flotte.
Le néant a repris ses droits. Le néant sombre et... Quelque chose. De désagréable. Qui fait trembler... Quelque chose...
Quelque chose se pose sur son épaule. Elle écarquille les yeux, immobile. Ça lui dit quelque chose.
« Eh Tim... C'est bon elles sont plus là. T’inquiète je suis la pour nous protéger. »
Bon. C'est bon. C'est que ce n'est pas mal. Mal. Tout à l'heure lorsqu'elle paniquait, elle avait mal. Le mal, c'est cette sensation qui agitait son corps, ce n'était pas elle, c'était incontrôlable. Le mal, c'est ce dont on n'est pas responsable et qui nous atteint et nous fait mal. Si c'est bon, c'est parce qu'elle n'a plus mal. Si c'est bon c'est qu'elles ne sont plus là. Elles, c'est les choses.
Elle se souvient.
Je, tu, il, elle, nous, vous, ils. Moi, toi, il, elle, nous, vous, eux. Me, te, lui, la, nous, vous, les. Mon, ton, son, notre, votre, leur...
Tout lui revient.
Enfin, beaucoup de choses.
« Jim... Tim... Je ne m'appelle pas Tim. »
Ca lui faisait chaud au coeur de savoir qu'elle avait tort. C'était comme ça qu'elle aurait raison.
Elle se rappelle des autres choses qu'il a dites: « t'inquiètes pas, je suis là pour nous protéger ». T'inquiètes pas. Une voix nouvelle jaillit dans sa tête, mais pas une voix comme celle de Jim, une voix comme la sienne, qui répète ce « t'inquiètes pas » comme en écho. Elle se redresse d'un coup.
« T'inquiètes pas! T'in-qui-ètes-pas! Ca me dit quelque chose! »
Elle flotte.
Le néant a repris ses droits. Le néant sombre et... Quelque chose. De désagréable. Qui fait trembler... Quelque chose...
Quelque chose se pose sur son épaule. Elle écarquille les yeux, immobile. Ça lui dit quelque chose.
« Eh Tim... C'est bon elles sont plus là. T’inquiète je suis la pour nous protéger. »
Bon. C'est bon. C'est que ce n'est pas mal. Mal. Tout à l'heure lorsqu'elle paniquait, elle avait mal. Le mal, c'est cette sensation qui agitait son corps, ce n'était pas elle, c'était incontrôlable. Le mal, c'est ce dont on n'est pas responsable et qui nous atteint et nous fait mal. Si c'est bon, c'est parce qu'elle n'a plus mal. Si c'est bon c'est qu'elles ne sont plus là. Elles, c'est les choses.
Elle se souvient.
Je, tu, il, elle, nous, vous, ils. Moi, toi, il, elle, nous, vous, eux. Me, te, lui, la, nous, vous, les. Mon, ton, son, notre, votre, leur...
Tout lui revient.
Enfin, beaucoup de choses.
« Jim... Tim... Je ne m'appelle pas Tim. »
Ca lui faisait chaud au coeur de savoir qu'elle avait tort. C'était comme ça qu'elle aurait raison.
Elle se rappelle des autres choses qu'il a dites: « t'inquiètes pas, je suis là pour nous protéger ». T'inquiètes pas. Une voix nouvelle jaillit dans sa tête, mais pas une voix comme celle de Jim, une voix comme la sienne, qui répète ce « t'inquiètes pas » comme en écho. Elle se redresse d'un coup.
« T'inquiètes pas! T'in-qui-ètes-pas! Ca me dit quelque chose! »
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Mer 17 Déc - 10:44
« Jim... Tim... Je ne m'appelle pas Tim. »
Jim fronça légerement les sourcils et finit par re-coller son sourire sur sa face l'air de dire -peu importe c'est juste un prénoms après tout-, il sursaute presque quand elle se relève brusquement.
« T'inquiètes pas! T'in-qui-ètes-pas! Ca me dit quelque chose! »
<< Ah ? C'est....pour pas que tu t'inquiète quoi.>>
Il se rapelle aussi qu'elle est a moitié nue et détourne le regard encore une fois en rigolant.
<< Et la pudeur ça dois rien te dire par contre hein ? Il faut qu'on te trouve quelque chose a mettre sur...toi. >>
Jim lance un coup d'oeil aux alentours comme si un pantalon allait surgir de nulle part, après tout c'est envisageable.
<< Si tu ne t'apelle pas Tim, tu t'apelle comment ? C'est bien pourtant Tim. Ca ressemble a Jim mais c'est pas vraiment un prénoms non ? Puis on s'en fout hein ! Un prénoms c'est ce qu'on veut....Tu crois que je peux changer de prénoms ici ? Se serait plutôt cool. Jim c'est banal j'trouve. Pas toi ? Tim c'est original ça rentre bien dans ce monde... >>
Il s’arrête un instant l'air de réfléchir a un futur prénoms.
<< Ouais....J'ai pas vraiment d'idée enfait. On vas dire que Jim c'est très bien auss-Qu'est ce que.... ?! >>
Jim fronça légerement les sourcils et finit par re-coller son sourire sur sa face l'air de dire -peu importe c'est juste un prénoms après tout-, il sursaute presque quand elle se relève brusquement.
« T'inquiètes pas! T'in-qui-ètes-pas! Ca me dit quelque chose! »
<< Ah ? C'est....pour pas que tu t'inquiète quoi.>>
Il se rapelle aussi qu'elle est a moitié nue et détourne le regard encore une fois en rigolant.
<< Et la pudeur ça dois rien te dire par contre hein ? Il faut qu'on te trouve quelque chose a mettre sur...toi. >>
Jim lance un coup d'oeil aux alentours comme si un pantalon allait surgir de nulle part, après tout c'est envisageable.
<< Si tu ne t'apelle pas Tim, tu t'apelle comment ? C'est bien pourtant Tim. Ca ressemble a Jim mais c'est pas vraiment un prénoms non ? Puis on s'en fout hein ! Un prénoms c'est ce qu'on veut....Tu crois que je peux changer de prénoms ici ? Se serait plutôt cool. Jim c'est banal j'trouve. Pas toi ? Tim c'est original ça rentre bien dans ce monde... >>
Il s’arrête un instant l'air de réfléchir a un futur prénoms.
<< Ouais....J'ai pas vraiment d'idée enfait. On vas dire que Jim c'est très bien auss-Qu'est ce que.... ?! >>
- Spoiler:
- Réponse un peu inutile vu que Jim s'interroge juste sur son prénoms et celui de Tim mais je lance le dés du couuup et encore désolée du temps ;x;
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Folie d'Esquisse
Mer 17 Déc - 10:44
Le membre 'Jim' a effectué l'action suivante : Lancer de dés !
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(Merci à Ara' pour la super signature ♥)
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Jeu 18 Déc - 23:42
Leoran avait beau essayer de se concentrer sur autre chose, il n'arrivait pas à garder sa main éloignée de ses écailles bien longtemps. Pourtant, avec toutes ces nouvelles choses, tout aussi effrayantes qu'intéressantes, il y avait de quoi avoir l'attention détournée. Il avait entendu quelques exclamations, seulement quelques bribes de mots, mais son cerveau avait directement fait le lien : personnes. Il n'était pas tout seul. Et même si l'être ne l'aurait au fond pas tant dérangé -ce monde était suffisamment étrange et intéressant pour l'occuper pendant une bonne dizaines de jours-, le fait de se rendre compte que d'autres êtres humains (ou du moins qui en avaient la voix) -sur-vivaient par ici l'emplissait encore plus de joie. Alors, il avait enfin laissé retomber sa main et s'était mis à courir, impatient et empressé comme un petit enfant la veille de Noël, les joues rouges et les yeux pétillants d'excitation, en essayant de se focaliser sur les exclamations qu'il entendait. Mais bien vite, elles cessèrent, et il dut s'arrêter.
« Zut ! »
Et il se retrouve là, dans cet étrange paysage, à regarder autour de lui comme si les personnes qu'il avait entendues allaient apparaître soudainement. Peut-être a-t-il rêvé, juste rêvé. S'il s'était retrouvé dans cet étrange monde, il pouvait tout aussi bien se mettre à délirer et entendre des voix - d'autant plus que le simple fait de se retrouver ici, de voir toutes les choses étranges qui peuplent ce monde suffiraient à faire croire à un délire.
Mais soudain, alors que le jeune blond s'apprêtait à repartir dans l'autre sens, posant à nouveau la main sur ses adorables écailles jaunes, lui parviennent des cris lointains. Mais d'autres cris, qui eux s'apparentent plus à un méli-mélo de paroles grommelées à voix très forte qu'à de véritables cris humains. Qu'y a-t-il donc d'humain, ici ?
Leoran plisse les yeux, et a tout juste le temps d'apercevoir une silhouette ronde et blanche rouler jusqu'à lui qu'il entend déjà son instinct de survie lui crier de s'en aller ; ce qu'il fait, évidemment. Mais bien sûr, entre deux souffles affolés, il prend le temps de se retourner et aperçoit une espèce de cookie géant, roulant et crachant des pépites de chocolat blanc. Les seuls mots que Leoran comprend à peu près sont "chocolat blanc" "ne voulait pas" et "affreusement laid". Le jeune garçon se pencha à temps pour éviter une pépite particulièrement grosse qui lui aurait sans doute laissé une belle bosse, mais une autre lui percute le front, le faisant pousser un petit cri plaintif.
Finalement, il distingue d'autres silhouettes au loin, floues et agités par la frénésie de la course dans laquelle il s'était lancé pour fuir le gâteau géant et mécontent. En s'approchant, il plisse un peu les yeux pour mieux les voir, mais se retrouve déconcentré par la surprise de voir le corps d'une fille... vert -sachant qu'il est assez stupide de s'étonner de cela lorsqu'on est couvert par un ciel rose...-, trébuche sur ses propres pieds et tombe de manière particulièrement ridicule et peu discrète, à quelques mètres de la fille et d'un autre garçon qui lui semble à peu près normal. Mais qu'importe la normalité, ici ? Elle n'est pas à mépriser, il y a été trop habitué, mais elle est d'un autre côté trop... normale. Comprenez-vous ?
Le jeune garçon se relève tant bien que mal et termine sa course jusqu'aux deux personnes, leur adressant un sourire joyeux. Si l'attaque de ce biscuit certes très mécontent l'a mis dans un certain état de stress, sa joie de vivre habituelle n'a pas disparu ; elle ne disparaîtra jamais.
« Donc... euh... ehm... C'est vous qui voyez. »
Il désigne dans un geste un peu maladroit la chose qui se rapproche lentement d'eux. Le plat du cookie est tourné vers eux et les pépites sont projetées dans l'autre sens mais ce n'est pas bête, un biscuit (bien sûr que non, pas ici, si ?), il va bien finir par les retrouver et les mitrailler de morceaux de chocolat blanc.
« Zut ! »
Et il se retrouve là, dans cet étrange paysage, à regarder autour de lui comme si les personnes qu'il avait entendues allaient apparaître soudainement. Peut-être a-t-il rêvé, juste rêvé. S'il s'était retrouvé dans cet étrange monde, il pouvait tout aussi bien se mettre à délirer et entendre des voix - d'autant plus que le simple fait de se retrouver ici, de voir toutes les choses étranges qui peuplent ce monde suffiraient à faire croire à un délire.
Mais soudain, alors que le jeune blond s'apprêtait à repartir dans l'autre sens, posant à nouveau la main sur ses adorables écailles jaunes, lui parviennent des cris lointains. Mais d'autres cris, qui eux s'apparentent plus à un méli-mélo de paroles grommelées à voix très forte qu'à de véritables cris humains. Qu'y a-t-il donc d'humain, ici ?
Leoran plisse les yeux, et a tout juste le temps d'apercevoir une silhouette ronde et blanche rouler jusqu'à lui qu'il entend déjà son instinct de survie lui crier de s'en aller ; ce qu'il fait, évidemment. Mais bien sûr, entre deux souffles affolés, il prend le temps de se retourner et aperçoit une espèce de cookie géant, roulant et crachant des pépites de chocolat blanc. Les seuls mots que Leoran comprend à peu près sont "chocolat blanc" "ne voulait pas" et "affreusement laid". Le jeune garçon se pencha à temps pour éviter une pépite particulièrement grosse qui lui aurait sans doute laissé une belle bosse, mais une autre lui percute le front, le faisant pousser un petit cri plaintif.
Finalement, il distingue d'autres silhouettes au loin, floues et agités par la frénésie de la course dans laquelle il s'était lancé pour fuir le gâteau géant et mécontent. En s'approchant, il plisse un peu les yeux pour mieux les voir, mais se retrouve déconcentré par la surprise de voir le corps d'une fille... vert -sachant qu'il est assez stupide de s'étonner de cela lorsqu'on est couvert par un ciel rose...-, trébuche sur ses propres pieds et tombe de manière particulièrement ridicule et peu discrète, à quelques mètres de la fille et d'un autre garçon qui lui semble à peu près normal. Mais qu'importe la normalité, ici ? Elle n'est pas à mépriser, il y a été trop habitué, mais elle est d'un autre côté trop... normale. Comprenez-vous ?
Le jeune garçon se relève tant bien que mal et termine sa course jusqu'aux deux personnes, leur adressant un sourire joyeux. Si l'attaque de ce biscuit certes très mécontent l'a mis dans un certain état de stress, sa joie de vivre habituelle n'a pas disparu ; elle ne disparaîtra jamais.
« Donc... euh... ehm... C'est vous qui voyez. »
Il désigne dans un geste un peu maladroit la chose qui se rapproche lentement d'eux. Le plat du cookie est tourné vers eux et les pépites sont projetées dans l'autre sens mais ce n'est pas bête, un biscuit (bien sûr que non, pas ici, si ?), il va bien finir par les retrouver et les mitrailler de morceaux de chocolat blanc.
- Spoiler:
- En fait Leoran court pour essayer de trouver les gens sauf qu'en chemin il se fait attaquer par un cookie géant pas content d'avoir des pépites blanches plutôt que noires. Du coup il les crache sur tout le monde. \o/
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Dim 21 Déc - 22:04
Il parle. Il rit, et il parle. Beaucoup. Jim parle beaucoup. Quand il parle c'est pour dire beaucoup de choses. Et il parle souvent.
Souvent. Souvent c'est plusieurs fois. Plusieurs fois dans le temps. Le temps... Le temps passe, le temps, c'est ce qui différencie ce moment précis du moment où elle ouvrait les yeux. C'est ce qui différencie ce moment-là de ce moment-ci où elle sourit. C'est...
Elle attend un autre moment, en gardant son sourire.
Qu'est-ce qu'il disait?
C'est pour pas que tu t'inquiètes. Elle ne s'était pas inquiétée. Elle avait paniqué. Mais là elle est comme paniquée, mais moins. Ce doit être ça, être inquiète.
La pudeur ça ne doit rien te dire par contre. Hein. La pudeur. Pudeur, pudeur, ça ne lui dit rien. Rien de précis. Il faut qu'on trouve autre chose à mettre sur... Toi. Elle a déjà la veste sur elle. Mais Jim dit qu'il faut autre chose. Elle ne sait pas quoi.
Si tu ne t'appelles pas Tim, tu t'appelles comment? Elle ne sait pas. C'est bien pourtant Tim. Elle ne sait pas. Ça ressemble a Jim mais c'est pas vraiment un prénom non? Elle ne comprend pas. Puis on s'en fout hein! On s'en fout... Elle sait ce que c'est. C'est quand on ne sait pas et qu'on ne cherche pas à savoir. Ce n'est pas comme elle. Elle ne s'en fout pas. Un prénom c'est ce qu'on veut... Non. Un Tu crois que je peux changer de prénom ici? Non. Ce serait plutôt cool. Jim c'est banal j'trouve. Pas toi ? Tim c'est original ça rentre bien dans ce monde..
Elle attend un autre moment, mais sans son sourire. Elle réfléchit. À une manière de dire toutes ces choses. Mais elle a beau savoir, elle ne peut pas le dire.
« Donc... Euh... Ehm... C'est vous qui voyez. »
C'est une voix, ni celle de Jim, ni la sienne, différente, plus proche de celle de Jim, mais plus... Aiguë, comme il lui semble en avoir déjà entendue, peut-être, elle n'est pas sûre, mais si elle y pense, c'est peut-être ça. Mais c'était il y a longtemps. Elle se tourne vers la voix et voit des yeux, des sourcils, un nez, des joues... Un corps. Un corps avec des cheveux. Pas comme elle, pas comme Tim: des cheveux... Qui lui disent quelque chose. Beaucoup de choses. Elle tend les mains vers ces cheveux, elle touche ces cheveux, et la texture, et la couleur, et la chaleur, ça lui dit quelque chose, quelque chose de gigantesque qui la réchauffe à l'intérieur, même si elle sait que ce n'est pas cette chose, qu'elle a sous les doigts. Parce qu'elle le saurait sinon. Mais elle ne le sait pas.
Souvent. Souvent c'est plusieurs fois. Plusieurs fois dans le temps. Le temps... Le temps passe, le temps, c'est ce qui différencie ce moment précis du moment où elle ouvrait les yeux. C'est ce qui différencie ce moment-là de ce moment-ci où elle sourit. C'est...
Elle attend un autre moment, en gardant son sourire.
Qu'est-ce qu'il disait?
C'est pour pas que tu t'inquiètes. Elle ne s'était pas inquiétée. Elle avait paniqué. Mais là elle est comme paniquée, mais moins. Ce doit être ça, être inquiète.
La pudeur ça ne doit rien te dire par contre. Hein. La pudeur. Pudeur, pudeur, ça ne lui dit rien. Rien de précis. Il faut qu'on trouve autre chose à mettre sur... Toi. Elle a déjà la veste sur elle. Mais Jim dit qu'il faut autre chose. Elle ne sait pas quoi.
Si tu ne t'appelles pas Tim, tu t'appelles comment? Elle ne sait pas. C'est bien pourtant Tim. Elle ne sait pas. Ça ressemble a Jim mais c'est pas vraiment un prénom non? Elle ne comprend pas. Puis on s'en fout hein! On s'en fout... Elle sait ce que c'est. C'est quand on ne sait pas et qu'on ne cherche pas à savoir. Ce n'est pas comme elle. Elle ne s'en fout pas. Un prénom c'est ce qu'on veut... Non. Un Tu crois que je peux changer de prénom ici? Non. Ce serait plutôt cool. Jim c'est banal j'trouve. Pas toi ? Tim c'est original ça rentre bien dans ce monde..
Elle attend un autre moment, mais sans son sourire. Elle réfléchit. À une manière de dire toutes ces choses. Mais elle a beau savoir, elle ne peut pas le dire.
« Donc... Euh... Ehm... C'est vous qui voyez. »
C'est une voix, ni celle de Jim, ni la sienne, différente, plus proche de celle de Jim, mais plus... Aiguë, comme il lui semble en avoir déjà entendue, peut-être, elle n'est pas sûre, mais si elle y pense, c'est peut-être ça. Mais c'était il y a longtemps. Elle se tourne vers la voix et voit des yeux, des sourcils, un nez, des joues... Un corps. Un corps avec des cheveux. Pas comme elle, pas comme Tim: des cheveux... Qui lui disent quelque chose. Beaucoup de choses. Elle tend les mains vers ces cheveux, elle touche ces cheveux, et la texture, et la couleur, et la chaleur, ça lui dit quelque chose, quelque chose de gigantesque qui la réchauffe à l'intérieur, même si elle sait que ce n'est pas cette chose, qu'elle a sous les doigts. Parce qu'elle le saurait sinon. Mais elle ne le sait pas.
- Résumé:
- Tim s'apprête à répondre à Jim après quelques instants de réflexion, mais Leoran débarque, et, fascinée par ses cheveux, elle ne fait pas attention au cookie qui débarque.
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Sam 3 Jan - 19:32
Jim baisse son regard sur.......une personne ! Encore ? Ils en ont de la chance ! Jim éclate de rire devant la fabuleuse gamelle du -il le sait- futur ami. Quelqu'un qui arrive en courant et puis qui se casse la gueule juste après ne peut être qu'un pote a Jim.
Peut être que finalement ce monde n'est pas aussi vide d'humanité que l'on peut le croire... Après tout ça dois faire seulement une après midi qu'il est ici et il a déjà rencontré deux personnes qui ont l'air a peu près saine d'esprit.
Amnésique c'est être sain d'esprit oui. Et pas doué aussi.
« Donc... Euh... Ehm... C'est vous qui voyez. »
Jim suivit le geste de l'arrivant du regard et tomba sur......un cookie. Après l'attaque des craies il se méfia instinctivement de cette nourriture trop volumineuse et......................Non. Bien sur que non ! Jim ne se méfie de rien du tout et observe plutôt Tim-qui-ne-s'apelle-pas-Tim plonger sa main dans les cheveux de l'arrivant avec un air plein d’allégresse.
Le jeune homme fronça les sourcils et passa sa main dans ses propre cheveux histoire d'apprécier le fait d'avoir des cheveux, parce que oui quand on devient vieux avoir des cheveux devient un luxe.Imaginez ! Vos précieux cheveux se transforment en des fils gris et vous reste dans les mains si vous essayez d'en passer une dedans. Charmant non ?
Donc Jim redécouvre ses cheveux tandis que Tim-pas-Tim s'amuse avec ceux du nouveau.
Résultat le gâteau a le temps de faire son petit réglage de tir et Jim se prend une pépite de chocolat dans le visage ce qui lui arrache un cri de surprise et le fait tomber a la renverse.
<< Outch ! M-Mais ?! A TEEEERRE ! >>
Jim saute sur ses deux compagnons pour qu'ils évitent de ce prendre une deuxiéme slaves de tirs de pépite. Il prend un instant pour se frotter la joue et lécher sa main pleine de chocolat avec un petit sourire gourmand.
Il faut savoir profiter des bonne chose.
Les tirs se stoppérent un instant et le vacarme pris fin, parce que oui quand un cookie tire ses pépites de chocolats c'est comme si on entendait une mitraillette. Jim se releva lentement avec un petit sourire entre la folie et l'amusement.
Debout au dessus de ses deux amis il fixa la sucrerie, un silence tomba sur la scéne tandis que Jim récupéra encore un morceau de chocolat sur sa joue. Il posa doucement son pouce sur sa langue pour apprécier la saveur du chocolat décidément délicieux.
Le cookie toujours aussi silencieux ne bougea pas d'un iota attendant surement le moment ou Jim tenterait quelque chose.
<< EH TOI ! Oui le biscuit la ! Ne fait pas semblant de ne pas m'entendre. >>
Toujours avec son sourire il passa une main dans ses cheveux en appréciant encore la texture de ses mèches brunes.
<< Il me semble que l'on ne t'as pas appris les bonnes manières...Tirer sur une jeune femme ! Sérieusement ?! Je crois que je vais être obliger de..........te manger. >>
Il attendit un petit moment dans le silence savourant un minimum l'instant de pure angoisse, parce que oui malgré le fait qu'il se la pète dans des phrases de chevaliers défenseurs il a peur. Il a peur et aime ça.
<< Viens me chercher le biscuit. >>
- Spoiler:
Jim se rappelle qu'il a des nouveaux cheveux avant de se prendre une pépite de chocolat dans la face après ça ils sauvent HEROIQUEMENT la vie de l'amatrice de cheveux et les cheveux d'une mort certaine en les renversant -pour éviter les pépites de chocolats- et puis il prend le temps de récupérer le chocolat sur sa joue avant de lancer un défis au gâteau genre attrape moi si tu peux.
Invité
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Mer 7 Jan - 16:44
Leoran ne prend pas vraiment le temps de s'étonner de la façon d'agir de la fille verte et étrangement non-vêtue, puisque le cookie n'a pas fini de se déchaîner sur eux à coup de pépites aussi douloureuses qu'appétissantes. Mais l'autre garçon, qui a l'air bien plus courageux que le blond passe à l'attaque, ou plutôt fait mine de vouloir passer à l'attaque avec des phrases menaçantes et grandiloquentes. Ce n'est pas grave, Leoran apprécie tout ce cinéma, c'est... divertissant. Autant que de simples phrases peuvent l'être dans une situation où on doit tout de même faire face à un cookie gigantesque, furieux et agressif. Ce qui n'est en soi pas le summum de la banalité. Remarque, dans cet endroit étrange, ça pourrait s'en rapprocher.
Leoran recule un peu, inquiet de ce qui va arriver, mais adresse quand-même un sourire à la fille. Si il ne comprend pas les raisons de ce geste, il estime que c'est toujours mieux qu'une claque. Si on peut, en rencontrant quelqu'un, s'amuser à mettre la main dans ses cheveux, on peut également lui en décoller une sans raison, non ?
« Viens me chercher le biscuit. »
Tel un enfant amusé, Leoran lève ses mains pour frapper dedans quelques fois, le sourire aux lèvres. Que de belles paroles. Même si ce n'est sûrement pas ça qui les sauvera. Et qu'au fond, cette situation n'est pas si confortable que ça. Le jeune homme ressent l'étrange sensation qu'il vaut mieux s'en aller, loin de cette chose, et surtout là-bas, là-bas c'est beau, en tout cas ça a l'air, le ciel a l'air plus rose, les gâteaux plus gentils, et peut-être même qu'il n'y a pas de gâteaux du tout. Leoran garde les yeux fixés sur ce "là-bas", qui est finalement plus un point fixé au hasard sur l'horizon qu'un endroit précis. De toute façon "là-bas" n'a rien de très précis.
Il bouge un peu pour se mettre à côté de l'autre garçon, lève ses petits poings comme un boxeur, et s'écrie lamentablement :
« On va te régler ton compte ! »
Et finalement, sans se soucier de si l'autre l'a suivi ou non, il s'élance, poussant un cri de colère enfantin, sans savoir ce qu'il va faire à ce gâteau alors qu'il est déjà tout près de lui.
C'est une épaisse pépite de chocolat au sol qui le fait trébucher alors qu'il est presque arrivé au gâteau. Il se rattrape à celui-ci qui semble s'éveiller immédiatement, et pour simple défense, le jeune garçon ne trouve rien de mieux à faire que d'envoyer un grand coup de pied dans la pâte cuite, faisant vaciller et tomber le cookie.
« Na. »
Le biscuit bouge toujours un peu, mais est désormais immobilisé, le "dos" contre le sol, sans moyen de se relever. Bon, il est trop fin pour qu'on puisse s'assoir dessus mais c'est déjà ça. Leoran se tourne ensuite vers ses nouveaux compagnons -il a trouvé des gens, c'est pas pour les lâcher tout de suite après- avec un sourire fier et éclatant. Comme un enfant satisfait d'avoir accompli un défi que personne d'autre n'avait réussi.
« Coucou. Leoran. »
Là-bas les attend. Et il faudrait y aller.
Leoran recule un peu, inquiet de ce qui va arriver, mais adresse quand-même un sourire à la fille. Si il ne comprend pas les raisons de ce geste, il estime que c'est toujours mieux qu'une claque. Si on peut, en rencontrant quelqu'un, s'amuser à mettre la main dans ses cheveux, on peut également lui en décoller une sans raison, non ?
« Viens me chercher le biscuit. »
Tel un enfant amusé, Leoran lève ses mains pour frapper dedans quelques fois, le sourire aux lèvres. Que de belles paroles. Même si ce n'est sûrement pas ça qui les sauvera. Et qu'au fond, cette situation n'est pas si confortable que ça. Le jeune homme ressent l'étrange sensation qu'il vaut mieux s'en aller, loin de cette chose, et surtout là-bas, là-bas c'est beau, en tout cas ça a l'air, le ciel a l'air plus rose, les gâteaux plus gentils, et peut-être même qu'il n'y a pas de gâteaux du tout. Leoran garde les yeux fixés sur ce "là-bas", qui est finalement plus un point fixé au hasard sur l'horizon qu'un endroit précis. De toute façon "là-bas" n'a rien de très précis.
Il bouge un peu pour se mettre à côté de l'autre garçon, lève ses petits poings comme un boxeur, et s'écrie lamentablement :
« On va te régler ton compte ! »
Et finalement, sans se soucier de si l'autre l'a suivi ou non, il s'élance, poussant un cri de colère enfantin, sans savoir ce qu'il va faire à ce gâteau alors qu'il est déjà tout près de lui.
C'est une épaisse pépite de chocolat au sol qui le fait trébucher alors qu'il est presque arrivé au gâteau. Il se rattrape à celui-ci qui semble s'éveiller immédiatement, et pour simple défense, le jeune garçon ne trouve rien de mieux à faire que d'envoyer un grand coup de pied dans la pâte cuite, faisant vaciller et tomber le cookie.
« Na. »
Le biscuit bouge toujours un peu, mais est désormais immobilisé, le "dos" contre le sol, sans moyen de se relever. Bon, il est trop fin pour qu'on puisse s'assoir dessus mais c'est déjà ça. Leoran se tourne ensuite vers ses nouveaux compagnons -il a trouvé des gens, c'est pas pour les lâcher tout de suite après- avec un sourire fier et éclatant. Comme un enfant satisfait d'avoir accompli un défi que personne d'autre n'avait réussi.
« Coucou. Leoran. »
Là-bas les attend. Et il faudrait y aller.
- Résumé:
- Leoran approuve totalement les paroles de Jim. Puis il décide d'attaquer lui-même le cookie et le fait tomber sur le dos -ouioui un cookie ça a un dos-. Et il se dit qu'il faudrait aller euh LÀ-BAS. Parce qu'on m'a dit qu'ils devaient se bouger pour aller au Phare mais je voulais pas faire trop dans mon p'tit pâté donc voilà voilà. Ne me haïssez pas. >:
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Mer 7 Jan - 18:27
Elle ne sent plus les cheveux entre ses doigts. Son cœur panique un peu, s'inquiète un peu; ses mains se tendent mais ses mains n'atteignent rien. Un court instant passe, et ses yeux se rouvrent, ses oreilles perçoivent les paroles, mais son néant plus si néant est à autre chose. Elle a l'impression de savoir beaucoup de choses sans savoir exactement quoi. Et en cet instant, elle se rend compte que parmi ces choses, il y en a une particulière. Elle sait cette chose sans savoir ce que c'est, mais elle sait aussi où c'est. Elle est ici. Les autres sont là. Et cette chose dont elle sait où elle est, elle se trouve là-bas. Quelque part. C'est bien utile, quelque chose, ça veut dire beaucoup de choses. Il y a des quelque choses, alors il y a des quelque parts. Et là-bas, c'est quelque part, et la différence de quelque chose et de quelque part, c'est que quelque chose, on ne sait où chercher, alors que quelque part, on sait où aller.
Alors elle lève un pied et le repose, puis elle lève l'autre et le repose. Elle fait un pas, puis un autre. Et elle marche.
Alors elle lève un pied et le repose, puis elle lève l'autre et le repose. Elle fait un pas, puis un autre. Et elle marche.
- Résumé:
- Tim constate que Leoran s'est éloigné d'elle et sort de sa rêverie. Alors, libérée des longs discours qui lui obnubilent l'esprit, elle ressent l'envie d'aller là-bas, et se met en marche sans penser à inviter les autres à la suivre.
- Petite note, chères partenaires ~:
- J'ignore à quel point nous sommes loin du phare, mais si vous voulez continuer encore à affronter les monstres de la plaine (vry impressing yss), soit, sinon, on fait une ellipse plus ou moins grande et on se concerte sur ce qu'on dit/rencontre pendant ce temps pour résumer ça dans nos premiers posts,
soit on dit que des choses se sont passées sans préciser quoi pour exacerber les shippeurs (je le mets au masculin, on vous a vu, joueurs *tousse* virils *tousse* /PAF/, si vous passez par là). Et euh. Du coup on peut en parler sur Skype, ou alors vous faites comme vous le sentez à la suite, dans tous les cas on peut toujours bifurquer tôt ou tard. cela dit moi j'ai bien hâte d'aller au phare ♥♥♥
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Dim 25 Jan - 16:21
Le regard de Jim se détournera vers le nouveau et il sourit. Il l'aimait bien. Qu'on l'applaudisse pour ça, il ferait même une petite révérence si il en avait le temps. Jim ne pense pas un instant a que se soit sarcastique, il a perdu la notion de cet humour en arrivant sur Esquisse.
« On va te régler ton compte ! »
Jim suivit instinctivement son compagnon et poussa un grand cri de guerre savourant aussi le simple fait de pouvoir crier. De ne pas sentir sa voix s'éteindre, savoir qu'elle se soulève haut dans le ciel et que des tas de personnes peuvent l'entendre et le comprendre en ce moment. Sa voix qui ne déraille plus qui n'est plus un souffle sur le bord de ses lèvres.
Elle est redevenu puissante, forte et résonne comme une délivrance de sa vieillesse, de sa vie trop ennuyante de sa timidité ou son manque de courage qui longtemps, trop longtemps ne l'ont pas fait sortir de lui même. De son propre 'destin'.
<< BANZAAAAAAAAAAAAAAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII >>
Le probléme est que quand Jim fut arriver sur le cookie il était déjà a terre. CA coupa un peu toute son adrénaline et son émotion et il se retrouva un peu bête les bras en l'air et la bouche grande ouverte sur un cri devenu silencieux.
« Na. »
Un moment de calme suivit alors la fabuleuse action de leur nouveau camarade. Jim hésita a applaudir a son tour pour son efficacité.
« Coucou. Leoran. »
Il offrit un grand sourire au blondinet et lui tapa un grand coup sur l'épaule.
<< Jim ! Et la bas c'est Tim mais elle ne s’appelle pas Tim ! >>
Jim passa son bras autour des épaules du blondinet et l'entraina avec lui a la suite de Tim-pas-Tim, il passa aussi son bras par dessus les épaules de celle ci réunissant leur petite team.
<< Soyons les amis les plus fantastique de ce nouveau monde ! En avant ! >>
Il partit dans un grand rire sans aucune raison. On pourrait croire a la fin d'un première épisode d'un dessin animé quelconque. En tout cas Jim se sent invincible et plus fort que jamais.
- Spoiler:
- Jim est impressionné par Leoran et est trop content d'avoir deux COUPAINS et voila -très utile hm- il les entrainent donc vers la bas
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Ven 30 Jan - 20:32
Avec enthousiasme, Leoran hoche la tête, le sourire aux lèvres. Des gens. Ooh mon dieu des gens, des gens originaux en plus, un qui se bat contre des cookies et une autre... verte. C'est bien le vert. Le jaune, c'est mieux. Mais le vert c'est mieux que rien, non ? C'est mieux que le gris en tout cas. Le gris, c'est fade, dépourvu de vie, c'est vraiment dommage. Mais bon. Le vert, c'est cool.
Bref.
Le jeune garçon se penche vers Tim qui n'est pas Tim mais qui est quand-même Tim sinon elle ne pourrait pas prétendre ne pas être Tim, et lui tend la main. Il ne sait pas comment on se salue dans ce monde, mais une poignée de main n'est jamais trop déplacée. Surtout quand elle est offerte à quelqu'un qui a la peau vert - mais, vous savez, le vert c'est bien.
« Joli bronzage, Tim pas Tim mais quand-même Tim puisque Tim. Façon pomme. »
Son sourire d'enfant réjouit s'élargit, et il laisse Jim -qui lui semble bien être Jim- les entraîner en avant. Et par "en avant", j'entends le meilleur "en avant" vers lequel il puisse les entraîner. Vers là-bas. Ce fichu Là-bas. Il ne sait pas où c'est exactement, Là-bas, mais il sait que Là-bas, c'est un endroit nouveau, qui contient sûrement de nouvelles choses à découvrir. Donc, Là-bas, c'est son nouvel ami. Ami qu'il faut retrouver. On pense de façon assez simple, avec Leoran, oui oui.
« Plus fantastiques que fantastiques ! »
Il regarde ses deux nouveaux amis, débordant de joie. Il est arrivé, il a déambulé, il a affronté un cookie furieux, et pouf, deux nouveaux amis. Si c'est comme ça que ce monde fonctionne, il veut bien y passer le restant de ces jours ! (ce qui de toute façon sera sûrement le cas herm.)
Bref.
Le jeune garçon se penche vers Tim qui n'est pas Tim mais qui est quand-même Tim sinon elle ne pourrait pas prétendre ne pas être Tim, et lui tend la main. Il ne sait pas comment on se salue dans ce monde, mais une poignée de main n'est jamais trop déplacée. Surtout quand elle est offerte à quelqu'un qui a la peau vert - mais, vous savez, le vert c'est bien.
« Joli bronzage, Tim pas Tim mais quand-même Tim puisque Tim. Façon pomme. »
Son sourire d'enfant réjouit s'élargit, et il laisse Jim -qui lui semble bien être Jim- les entraîner en avant. Et par "en avant", j'entends le meilleur "en avant" vers lequel il puisse les entraîner. Vers là-bas. Ce fichu Là-bas. Il ne sait pas où c'est exactement, Là-bas, mais il sait que Là-bas, c'est un endroit nouveau, qui contient sûrement de nouvelles choses à découvrir. Donc, Là-bas, c'est son nouvel ami. Ami qu'il faut retrouver. On pense de façon assez simple, avec Leoran, oui oui.
« Plus fantastiques que fantastiques ! »
Il regarde ses deux nouveaux amis, débordant de joie. Il est arrivé, il a déambulé, il a affronté un cookie furieux, et pouf, deux nouveaux amis. Si c'est comme ça que ce monde fonctionne, il veut bien y passer le restant de ces jours ! (ce qui de toute façon sera sûrement le cas herm.)
- Résumé:
- Leoran dit coucou à Tim à sa façon, se réjouit de toutes ces petites rencontres et le suit pour aller vers le Phare. Parce qu'il faudrait se bouger quand-même. Quand-même. ...ce post est assez inutile en soi. <:
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