[Manoir - Balcon] Roméo et Juliette, le remake version Esquisse.

Anonymous
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Jeu 27 Nov - 19:55
Pendant qu'elle s'imagine Dolly dormir paisiblement, Iris se décide à oublier toutes les choses qui paraissent pourtant tracasser une grande majorité de dessinateurs en ce moment. Ignorer l'appel de la plaine et l'envie de savoir. Comme toute personne normale qui vivrait dans une réalité normale, elle ramasse les vêtements qui s'aglutinnent un peu partout dans la base et les transporte jusqu'à un petit balcon qui se trouve à l'étage. Juste assez grand pour accueillir deux ou trois personnes, il n'est protégé que par un singulière clôture en bois qui jure avec tout l'aspect du manoir - une bien maigre barrière à laquelle il manque plusieurs bois, si ceux-ci n'ont pas été substitués par des ustensiles de cuisine ou outils de bricolage.

Le paradoxe, ça a toujours été qu'Iris agit exactement pareil avant comme après. Suspendre bêtement, et telle une mère de famille, tous les bas et les hauts, alors que n'importe quoi peut surgir du ciel pour les prendre, c'est risible. Fredonner un vieux chant traditionnel la bouche à peine ouverte, c'est risible. Se demander s'il fera beau alors qu'il n'y a ni soleil ni nuage, c'est risible. Vivre enfermée, ou du moins croire qu'on le peut, ça aussi, c'est risible. Iris et risible, il se trouve que même les lettres correspondent. (ce n'est même pas une volonté du narrateur)

Elle accroche son dernier élément ; une veste recouvert de motifs de bouteilles et de pommes de terre, sans que les dessins aient de lien particulier entre eux. Hideuse, mais confortable une fois que l'on s'est habitué à l'odeur orangée qui encore une fois n'a strictement pas la moindre raison d'être. Et aux singulières différences de poids selon la partie du vêtement et le moment de la journée ; en cette "matinée", c'est la capuche qui se décide à être lourde. Dans sa chute du balcon, elle entraîne le corps et un pantalon avec elle.

Lorsqu'Iris regarde l'étendue des dégâts, elle voit la tête d'un jeune homme qu'elle connaît bien.

« Oh, pardon, et bonjour Ervin ! »



Résumé : Iris, après avoir quitté Dolly, arrive sur un balcon où elle suspend des vêtements. Une veste hideuse en tombe, droit sur la tête d'Ervin.
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Jeu 27 Nov - 21:23
Bon, une ville, c'est cool. Une ville sans librairie ni bibliothèque, c'est moins cool. Mais une ville sans libraire ni bibliothèque et qui, en plus, s'obstine à vouloir me perdre (et je vous interdit de dire que c'est mon sens de l'orientation qui est en cause), ça, c'est vraiment pas cool. En fait, je crois bien que le pire, c'est quand même le ciel. Parce qu'il n'a toujours pas changé, malheureusement, et sa couleur guimauveuse me donne tout simplement envie de vomir. D'ailleurs, je ne sais pas ce qui me retient de le faire. La bienséance, probablement.
D'ailleurs, j'ai beau être assez asocial (et même moi je l'admets, c'est dire), je trouve que ça manque un peu de gens. Et ça, c'est quand même vachement bizarre. Et franchement louche aussi. Il y avait bien cette bande de gamins, avant. Mais c'était ... avant. Il y a bien quelques jours. Beaucoup de jours, même. Mais une fois que je leur ai faussé compagnie, je n'ai plus vu personne. Ils ont dû crever, c'est pas po-

Flouf

... Quel est le con qui s'amuse à lancer des vêtements ?

« Oh, pardon, et bonjour Ervin ! »

... Nooooooooooon. Ce genre de coïncidences ne peut PAS arriver. C'est impossible. IM-POS-SI-BLE. D'ailleurs, la veste est hideuse. Si je ne savais pas pertinemment qu'elle allait me retomber sur la tête, je la lui lancerais à la figure, à cette sainte-nitouche. C'est quoi son nom déjà ... Un nom de déesse grecque mineure, là ... non, pas Hestia, mais ...

« Iris ... » je conclus dans un grommellement.
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Jeu 27 Nov - 21:43
« Iris... » lui répond son ami en guise de salutations. Elle n'a pas vu Ervin depuis plusieurs jours, sans doute est-il parti voyager quelque part en ville jusqu'à décider de revenir leur dire bonjour au manoir. Il a toujours l'air de mauvaise humeur, mais c'est peut-être la fin. Décidée à entamer la conversation, elle se penche au balcon à ses risques et périls.

« Ervin, est-ce que tu peux m'amener ce qui est tombé s'il te plaît ? On.. on pourra boire un chocolat chaud dans la cuisine. Et discuter avec tous les autres. »

Merci pour la proposition, Iris, Ervin doit en être ravi, d'autant plus vu comme tu le tutoies à la manière d'un ami proche. Il est après tout l'une de tes premières rencontres dans ce monde, et puis, même s'il fait du mal aux écureuils c'est quelqu'un d'assez bien.

« Et. Encore.. Désolée.. » s'excuse-t-elle inutilement en souriant à son interlocuteur.




Iris invite Ervin à venir boire un chocolat chaud dans le manoir quand il lui rendra ce qu'elle a fait tomber.
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Jeu 27 Nov - 21:51
« Ervin, est-ce que tu peux m'amener ce qui est tombé s'il te plaît ? On.. on pourra boire un chocolat chaud dans la cuisine. Et discuter avec tous les autres. »

... Un chocolat chaud ? Honnêtement, si c'était pas cette petite gourde qui me le proposait, je serais tenté. Mais là ... juste non. D'ailleurs, je crois que si elle prononce un mot de plus, je vais vomir.

« Et. Encore.. Désolée.. »

... Tiens. Je n'ai pas vomi. Incroyable. Bon, il est temps de plomber la tête-en-l'air.

« J'ai une meilleure idée. Tu bouges tes fesses, et tu viens chercher ta veste. Et pendant ce temps, je me barre. En toute amitié bien sûr. »

Résumé:


Dernière édition par Ervin le Ven 28 Nov - 21:50, édité 1 fois
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Jeu 27 Nov - 22:12
Quand ça l'arrange, elle sait faire la sourde oreille. Se dire que son ami Ervin est bien son ami Ervin, rendu un peu grincheux à cause du monde. Parce qu'Iris veut être gentille, même avec les gens qui la méprisent. Parce qu'elle veut sauver tout le monde et voir les gens sourire. Parce qu'elle veut que tout le monde pense du bien d'elle. Parce qu'elle est complètement risible.

« Tu as l'air d'aller mal.. (ndlr : sans blague). Est-ce que tu es blessé ? Je.. je peux t'aider, si tu veux ! »

Elle se baisse et essaie de voir à travers les bois pour avoir les yeux au plus près d'Ervin. Ne pas le lâcher des yeux. Ne pas le laisser partir avec sa mauvaise humeur. Quitte à exposer son côté désespéré.

« La veste, je vais aller la chercher, mais on peut.. discuter un petit peu.. »

Si tu crois que tu vas l'attendrir avec tes sourires comme tu le fais avec les autres, tu te mets le dois dans l’œil.




Résumé : Iris répond à Ervin.
Anonymous
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Ven 28 Nov - 22:11
« Tu as l'air d'aller mal... Est-ce que tu es blessé ? Je.. je peux t'aider, si tu veux ! »

Blessé ? Sérieusement, est-ce que j'ai l'air blessé ? Ok, j'ai vaguement envie de vomir, mais la seule façon pour toi d'y remédier, c'est de me foutre la paix, puisque tu EN ES LA CAUSE.

« La veste, je vais aller la chercher, mais on peut.. discuter un petit peu.. »

Nonnnnn. Non, sale gamine, je t'ai dit NON. Est-ce que c'est si dur à comprendre ? Il faut le dire en quelle langue ? En allemand ? Accordé !

« N-E-I-N. »

Et pour appuyer mes paroles, je jette la veste dans sa direction. Et, bien sûr, elle me retombe sur la gueule. J'aurais pas dû me lever ce matin.

Résumé:
Anonymous
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Ven 28 Nov - 22:52
« N-E-I-N. »

Et il lance la veste en l’air. Elle tend la main pour l’attraper, mais le vêtement est bien décidé à retomber sur ce pauvre Ervin. Dire qu’il a tenté de le lui rendre en toute amitié. Au fond, même s’il dit non, Iris a toujours su que c’est quelqu’un de bien. Lui aussi, il pourra la rejoindre, après. Alors, exceptionnellement, cela vaut bien le coup de faire quelque chose de totalement imprudent.

Au vu de la solidité de la barrière, il ne lui est pas difficile de se hisser au-dessus. Elle inspire, prend ses précautions et tente une fantastique descente en rappel jusqu’à Ervin. Enfin, surtout, jusqu’à ce qu’elle lâche prise et tombe maladroitement juste devant lui en gémissant. Le balcon n’est pas si haut que cela, d’autant plus quand le monde fait ce qu’il veut avec la gravité, donc cela épargnera certainement au littéraire de devoir lui réparer la jambe.
Iris ne tombe pas de haut ; elle se jette dans le vide, persuadée qu’elle pourra vous en remonter. Mais au final, elle a la cheville quelque peu endommagée.

« Tout va bien, maintenant je vais pouvoir récupérer ma veste ! »

Nouveau sourire niais, et voilà qu’elle ramasse et enfile le splendide vêtement. Mais elle n’a pas l’intention de remonter sans Ervin. Pitoyablement, elle fait mine de marcher pour s’éloigner, jusqu’à s’arrêter et trébucher avec le même adverbe.

« Hii… arg.. »

Prémédité ? Noooon. Disons juste qu’elle a sauté sur l’occasion d’utiliser la plus vieille ruse du monde. Après le morceau de fromage au milieu d’un lasso, bien entendu. Ervin est gentil, alors il va lui filer un coup de main, quitte à ce qu’elle doive le gluer pour faire ressortir le bon qui est en lui. Et puis, ce n’est pas comme si elle faisait semblant d’avoir mal, elle n’y avait pas tout à fait pensé en sautant.





Résumé : Iris saute du balcon pour aller rejoindre Ervin et le coller un bon coup. ELLE VEUT LE FAIRE CRAQUER, quitte à user de la vieille ruse perfide qui consiste à se fouler la cheville même si elle ne fait pas exprès sur le coup.
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Lun 1 Déc - 22:29
C'est une journée de merde. Mais au moins, ça ne peut pas empirer.
J'ai à peine le temps de penser ça que je vois Iris, hissée sur la balustrade, se jeter dans le vide ... droit sur moi. Hé là, pas question, sale gamine, je ne suis pas un coussin. Je fais un pas sur le côté. Non mais. Qu'elle se suicide toute seule, je ne veux pas être complice de ça.

« Tout va bien, maintenant je vais pouvoir récupérer ma veste ! »

Ta cheville a émis un craquement suspect, mais sinon tout va bien, ouais. D'ailleurs, vu comment tu march-

« … arg.. »

... Je le savais, qu'elle allait tomber. Tant pis pour elle. Mias bon, au moins, tant qu'elle couine, elle ne me les casse pas, hein. Du coup, ça me remonte presque le moral.

« Personne t'as appris à voler, poussin ? C'est bête pour toi, je ne suis pas ambulancier. Par contre, si tu marches un peu, tu trouveras peut-être une béquille sauvage dans le coin ... te restera plus qu'à la choper ... Avec un lasso peut-être ? Bon, c'est pas tout, ça ... »

Et je commence à m'éloigner, en sifflotant presque.

Résumé:
Anonymous
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Mar 2 Déc - 20:52
Il s'éloigne. Il la laisse. Mais Iris n'entend rien. Elle marche silencieusement derrière lui. Ou du moins essaie. Elle fait trop de bruit. Son pied heurte plusieurs fois le sol. Elle gémit une fois ou deux.

« Attends, j'arrive.. » murmure-t-elle. Oh, douce enfant qui poursuit le loup qui s'en retourne aux bois.. Pauvre créature inconsciente du danger vers lequel elle se précipite, avec sa cheville tordue.

Et pourtant, Ervin est une proie. Sa proie. Jusqu'à ce que lui aussi, il devienne son ami, elle le suivra. Sa main s'agrippe à sa veste.





Résumé : Iris suit Ervin, déterminée à devenir son amie !
Anonymous
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Mar 2 Déc - 21:50
Evidemment, elle me suit. Qu'est-ce que j'espérais, hein ? C'est carrément pathétique, en fait. Je l'entends qui boite misérablement derrière moi. J'avoue, je pige pas. J'ai tout fait pour être le plus désagréable possible, mais on dirait qu'à ses yeux je suis un chanteur de Boys Band. Ou plutôt Jésus, vu son caractère de saine-nitouche.

« Attends, j'arrive.. »

Ben voyons. J'accélère le pas, au contraire. Elle va bien finir par abandonner ... Bon, ben, non. Elle OSE même m'attraper par la veste. Bas les pattes, sale gamine ! Je me dégage.

« Bordel, mais qu'est-ce que je t'ai fait pour que tu me colles comme ça ?! »

Résumé:
Anonymous
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Mar 2 Déc - 22:05
« Rien, ne t'inquiète pas. »

Elle continue à s'approcher. Ne t'enfuis pas, Ervin, reviens vers moi. Ses yeux le tiennent en viseur. Et elle se colle de nouveau à lui. Comme une gamine perdue. Elle est patiente. Il faut bien ça, pour avoir des amis. Pour sauver ce pauvre inconnu.

« Je.. je veux juste t'aider. »

Un beau prétexte.




Iris répond à Ervin et continue à le stalker.
Anonymous
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Mar 2 Déc - 22:11
« Rien, ne t'inquiète pas.»

... Que je ne m'inquiète pas ? QUE JE NE M'INQUIETE PAS ? Je ne m'inquiète pas, je M'ENERVE ESPECE D'IDIOTE.
Et c'est qu'elle continue à me suivre en plus. Au risque de me répéter ... Il faut lui dire en quelle langue ?!

« Je.. je veux juste t'aider. »

Je me stoppe net. Et je me retiens de faire le facepalm le plus sincère de toute l'histoire des facepalm. Parce que là, si ce n'est pas une blague, c'est grave.
Je me force à afficher un sourire complètement faux.

« Tu veux m'aider ? Mais je ne demande que ça. Tiens, d'ailleurs c'est facile, ça peut se faire en 30 secondes top chrono. Ça t'intéresse ? »

Résumé:
Anonymous
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Mar 2 Déc - 22:15
Et enfin il commence à sourire. Même si elle sent que ça va trop vite. Même si elle sait par expérience qu'un tel mur ne cède pas si facilement. Surtout dans ce monde. Mais il choisit l'autre sens, tant mieux pour les jambes d'Iris qui n'a plus qu'à le regarder s'approcher de lui.

Et à faire un petit pas en sa direction. Son sourire niais de base toujours collé au visage. Attentive comme une élève sérieuse devant son professeur.

« Oui ! »


Iris répond positivement à Ervin.
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Mar 2 Déc - 22:23
« Oui ! »

... C'est qu'elle se fait avoir en plus. Niaise ET naïve. 'Spèce de cas désespéré.

« Alors c'est très simple : tu te tournes dans l'autre sens, et t'en vas. Tu retournes dans ton putain de manoir, tu vas explorer cette putain de ville ou, mieux, ce putain de monde, tu fais ce que tu veux, mais SANS MOI. »

Le tout avec mon sourire mielleux n°8. Faudrait pas la rebuter non plus. Haha.

Résumé:
Anonymous
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Mar 2 Déc - 22:31
Cette fois, elle doit faire un choix entre aller dans le sens de son interlocuteur, marcher jusqu'au bout même si ce chemin doit les éloigner, ou bien faire le contraire. Désobéir parce que, Ervin, c'est pour son bien. Il est pas bien. Il souffre. Iris ne veut pas le laisser s'en tirer. Elle doit. Le coller encore un petit peu.

« C'est mieux de l'explorer ensemble ! » lui répond-elle tout sourire. Loin de se retourner. Loin de quitter des yeux son visage si positif.

« Parce que, si je pars, je vais laisser mon ami tout seul.. »

C'est ça, prends-le par les sentiments. Peu importe dans quel sens tu iras, Ervin, Iris se dirigera toujours vers toi.

Toujours.





Iris continue à stalker Ervin, faut pas rêver.
Anonymous
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Sam 20 Déc - 17:37
« C'est mieux de l'explorer ensemble ! »

PLAF

Aïe. On dira ce qu'on veut, mais les facepalm, ça fait quand même mal. En attendant, si quelqu'un a une idée pour se débarrasser de ce chewing-gum sur pattes, je suis preneur ...

« Parce que, si je pars, je vais laisser mon ami tout seul.. »

« ... Quel ami ? » je lâche, pris de court. Avant de comprendre que cette gourde me prend vraiment pour son ami. Grands Dieux.

[Insérez ici un long soupir exaspéré et désespéré.]

« Ok sainte-nitouche, je crois que t'as pas compris ... »

Résumé:
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Dim 21 Déc - 13:02
Il soupire, encore. Il campe sur ses positions. Mais Iris est patiente, elle le laisse soupirer, elle le laisse camper sur ses positions. Après tout, maintenant, il entretient la conversation. La discussion est le premier pas. Et après, tout va mieux, parce que la gentillesse est un langage que même les aveugles peuvent voir.

« Il n'y a rien à comprendre, si ? »

Petite allusion au paysage. À la situation. Lui comme elle, ils se sont retrouvés quelque part sans en saisir la raison, mais cela n'empêche pas de vivre, et de faire ce qu'on doit faire. Si les choses doivent en être ainsi..
Alors, ce n'est pas grave si tu ne comprends pas pourquoi je te colle, Ervin. Et pourquoi je ne t'abandonnerai pas.

« On va voir les écureuils ? demande-t-elle innocemment. Ou si tu n'aimes pas les écureuils, il y a sûrement des oiseaux ou des papillons ! »

Ou tout ce que tu veux, tant que ce n'est pas un insecte géant et dangereux.


Pauvre Ervin, il ne sera jamais débarrassé (Anyway, si ça te saoûle, il peut la frapper au fuir, sinon elle a bien l'intention de le traîner à droite à gauche ou de le ramener au manoir <.<)(Petite pensée aussi pour Dolly qui brûle des photos de ton perso à ce qu'il parait)
Anonymous
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Dim 21 Déc - 21:13
« [color=#BDB2D8]Il n'y a rien à comprendre, si ?/color] »

... Si. Justement. Petite cruche.

« On va voir les écureuils ? Ou si tu n'aimes pas les écureuils, il y a sûrement des oiseaux ou des papillons ! »

... Je viens d'avoir une révélation. Cette fille, c'est Blanche-Neige. Ça explique sa mièvrerie diabolique ! Qui d'autre que la version diabolique d'une princesse Disney pourrait faire une référence (les écureuils ! Les écureuils quoi !) aussi machiavélique avec un air aussi angélique. Une seule solution face à un tel adversaire : fuir.
C'est ce que je m'empresse de faire. Avec fougue. En espérant qu'en plus d'être machiavélique, elle n'est pas aussi championne de 100m.

Résumé:
Anonymous
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Mar 23 Déc - 2:08
Il se retourne. Il met une jambe devant l'autre. Il part. Il court. Il fuit. Elle tend une main pour le saisir, il est déjà à quelques foulées. Elle s'avance aussi. Trébuche.

« Attends, Ervin.. Si tu y vas... ils vont... toi aussi.. »

Ses mains se crispent sur ses vêtements. Les objets, Ervin, tous ces monstres qui sont dehors, ils vont t'avoir aussi, et si personne n'est là...

« Tu seras seul... »

Désespérée. Elle n'aura rien pu faire pour le sauver... Mais peut-être qu'Ervin un jour reviendra ? Lorsqu'il verra que ce qui l'attend n'est pas mieux que ce qu'il aurait pu trouver.




Résumé : Iris n'arrive pas à l'attraper, alors elle couine de dépit. (je suppose qu'ervin ne sera pas émue par une pauvre fille qui désespère à terre ?)(goujat è_é)
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