Latrodectus - There 'ill be no Love

Anonymous
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Mar 26 Jan - 21:21


Latrodectus

Identité



Appellation : Ana-Maria Cortès. Mais jamais elle ne vous le dira. Elle préfère Latrodectus. Comme la veuve noire.
Anniversaire/Âge : 15 Décembre 1998 - 13 ans
Nationalité : Portugaise
Arrivée dans l'Esquisse : Il y a très longtemps.
Goûts : Elle aime les bonbons, particulièrement ceux qui ont un goût de citron. Elle aime les personnes faibles et naïves, pour mieux les manipuler. Elle aime se jouer des autres, avoir l'impression d'avoir du pouvoir, de maîtriser la situation. Latrodectus ne croit pas en l'amitié, bien qu'elle aimerait bien avoir un (ou une) véritable ami(e) un jour, tout au fond de son esprit. Elle déteste tout ce qui s'attrait à la solitude, elle déteste qu'on l'abandonne ou qu'on l'ignore dans une conversation. Latrodectus déteste qu'on ne la prenne pas au sérieux. Sinon, elle aime la musique rock, aussi.


Description




Orphelinat Cortès – Dans un village dans le Portugal.


Une fillette était assise sur les marches qui menaient à la vieille église qui servait désormais de refuge pour les enfants sans famille. Seule. Son regard fixait les marches. Ses yeux se posèrent sur l'angle de l'une des marches, un moment. Il y avait une toile d'araignée. Elle était sans la maîtresse de maison. La fillette ne put s'empêcher de pencher légèrement la tête. Quelque chose remuait dans la toile. Un petit insecte ailé, dont elle ne trouvait pas le nom. Il bougeait, se débattait entre les fils de la toile. Mais l'araignée, sans être là, était plus forte que lui. Le destin lui-même était bien plus fort que lui. Un son familier la fit lever la tête. Elle sentit les larmes lui montaient aux yeux, tandis, qu'impuissante, elle regardait la scène qui se déroulait juste devant elle.

Baignés de lumière, ils descendaient les marches, une à une, tout en portant le précieux trésor dans les bras. Ils étaient heureux, ils souriaient, tandis qu'il gazouillait de joie, à leurs côtés. Le couple comblé de bonheur avança sans même lui jeter ne serait-ce qu'un coup d'oeil, avançant vers un lendemain qu'elle ne connaîtrait jamais. Le bonheur d'être entourée. Le bonheur d'avoir des parents qui l'aimaient. La chaleur d'une famille, d'une véritable compagnie. Mais ce monde n'était pas ouvert à une enfant de son âge. Elle avait six ans. Il était trop tard pour avoir une famille. Parce que les parents ne recherchaient pas un enfant âgé. Ils ne voulaient pas de quelqu'un qui se souvenait. Ils voulaient un nouveau né, une chose innocente, sans passé. Jamais ils ne voudraient d'elle.

-Ana-Maria ! Viens ! Ne reste pas dans ton coin !

Elle s'appelait Ana-Maria Cortès. Ana-Maria était une orpheline âgée de six ans. Certains ne savaient pas pourquoi ils étaient ici, pourquoi ils étaient sans famille. Elle, elle s'en souvenait. Ils l'avaient déposés devant l'école, dans la voiture, comme chaque jour. Sa mère lui avait souri, lui avait donné un baisé sur le front, lui avait dit combien elle l'aimait. Son père l'avait encouragé à faire des efforts à l'école, et à se faire plein d'amis. Ana avait souri – parce que tout le monde l'appelait Ana, avant que ça arrive – et leur avait fait un grand signe de la main, avant de partir. A la fin de la journée, elle avait attendu devant l'école, sagement, attendant que ses parents arrivent, ceux qu'elle aimait tant. Sauf que la maîtresse était venu, l'avait entourée de ses bras, et lui avait dit doucement que ses parents étaient partis en voiture.
A jamais.
Elle avait à ce moment là senti le monde s'écrouler. Tout son univers, effondré. Son cœur, déchiré en mille morceaux. Son âme, en lambeau. Ana-Maria était là, sans vraiment l'être. Ana-Maria n'était plus que l'ombre d'elle-même. Ana-Maria était devenue une orpheline. Seule. Tellement seule.
Éternellement seule.
Elle détestait ce monde, détestait la vie.

Si les autres enfants s'intéressaient à tout ce qui était « fleurs, poneys, arc-en-ciel et amour fou », Ana-Maria, elle, s'intéressa bien vite à des domaines bien moins roses. Elle s'intéressait à tout ce qui  se liait à la mort, à tout ce qui pouvait la rapprocher de l'ombre de ses parents. L'araignée devint bientôt une obsession pour elle. Elle fut prise d'un intérêt immense pour ces créatures qui s'apparentaient à la mort, et au mauvais augure. En vérité, elles étaient loin d'être ainsi. Intelligente, Minutieuse, et même Vicieuse. C'étaient les maîtres mots de l'araignée. L'insecte l'intéressa encore plus à mesure qu'elle en sut plus, se mit à lire des ouvrages sur ces bêtes. Et, à force d'en apprendre plus, elle comprit une chose simple, si simple que cela la fit sourire de nouveau, après avoir passé tant de temps à se sentir rejetée des autres, dans ce néant de solitude. En société, il suffisait de se comporter comme une araignée. Tisser sa toile, pour avoir quelqu'un à elle. Qui jamais ne l'abandonnerait. Enfermé dans ses fils.
Rien que pour elle.


Elle s'était fait des amis, dans l'orphelinat. Des filles naïves, il y en avait pleins. Elle avait réussi par nombre de subterfuges, comme des mots polis, un regard serein, un large sourire, de bonnes manières, à se faire un véritable groupe d'amies. Enfin... Amies. Si on pouvait appeler ça des amis. Elle ne les aimait pas, aucune de ces filles ne lui plaisait. Elle s'amusait, les manipulait, en faisait ses jouets. C'était si facile. Tout ce qui comptait à ses yeux, c'était qu'à la fin de tout ça, elle ne serait pas seule. Plus jamais seule. Et cela marchait. Elle avait toujours des gens avec qui rester. Et elle s'en fichait si cela détruisait d'autres amitiés, si cela créait des tensions entre les filles de l'orphelinat. Elle, elle souriait, elle disait qu'elle n'y était pour rien. Faisait en sorte que tous ses petits pantins se retournent les uns contre les autres. Et continuaient à l'aimer.
Tout ça rien que pour elle.


Esquisse – Dans un Monde Parallèle
Ancienne Esquisse


Quand elle ouvrit les yeux, après une longue nuit de sommeil, elle se retrouva dans un nouveau monde. Elle se sentit bête, au début, à errer ainsi, dans un lieu totalement sorti de l'ordinaire, totalement perdue. Mais surtout, elle était seule. Encore une fois.

Mais son visage s'illumina lorsqu'elle vit un visage apparaître. C'était une fille qui avait l'air naïve. Une nouvelle proie. Elle arriva avec un air toujours perdu, faisant mine d'être elle aussi une pauvre fille innocente. Elle prétendit qu'elle avait perdue la mémoire, comme elle l'avait entendue de certaines personnes dans la foule qui s'était réunie. Puis elle avait dit, comme si elle faisait un choix crucial, qu'elle s'était trouvée un prénom.
Latrodectus.

Tout se déroula bien ensuite. Les gens crurent à ses mensonges. Les autres dessinateurs la prirent comme une pauvre petite fille qu'il fallait protéger, et les autres enfants la prirent comme un exemple, comme une fille courageuse face à l'adversité, comme celle qu'il fallait suivre. Douce, gentille, mature... Tous furent pris dans les filets de sa toile, coincés dans ses mensonges et ses mimiques de jeune fille bien élevée. Emprisonnées ainsi, toutes ces personnes devinrent les petites marionnettes qu'elle aimait tant.
Tout était à peu près redevenu comme avant.

Jour 1 – La Tempête

Le jour qu'ils définirent plus tard comme le premier ne fut pas de tout repos. Une terrible tempête s'était abattue, avec l'arrivée d'un monstre de tentacules. Ce fut la panique pour tous les dessinateurs. Latrodectus aussi avait été secouée par un tel événement. Elle était parvenue à y échapper, avec les autres survivants, s'était en quelque sorte servie des proies de ce monstre pour survivre. Parce que l'araignée devait savoir tout faire pour arriver à ses fins. Même si cela impliquait des sacrifices. Des sacrifices que les autres devront faire.
Rien que pour elle.

Ce jour là, elle avait aussi été emportée dans une tempête. Heureusement, elle n'avait pas fait partie de ceux qui avaient été totalement défigurés, ceux qui ressemblaient à du cubisme façon Picasso, ou ceux qui étaient devenus des choses multicolores. Certains étaient même devenus des créatures ou des objets. Les moins chanceux, quant à eux, n'avaient plus de vie pour pouvoir s'en plaindre. Latrodectus, elle, avait été des plus chanceux. Elle n'avait eu de cette tempête que des yeux dorés. Et, à vrai dire, cela lui plut, finalement. C'était bien mieux que ses yeux sombres d'origines.
Les yeux de Ana-Maria Cortès étaient définitivement partis.

Cependant, elle fut à nouveau séparée de ses « amis ». Encore seule, une fois encore.

Jour 2 – Attaque des Objets

Elle errait maintenant dans les terres de l'Esquisse, seule. Le vide de la solitude était revenu, et Latrodectus se sentait terriblement mal. Elle devait trouver une nouvelle compagnie. Coûte que coûte. Le seul but de toutes ces manipulations était de ne plus être seule, n'est-ce pas ? Elle ne pouvait pas se permettre de baisser les bras. Jamais plus elle ne sera seule. Jamais plus elle ne sera abandonnée comme ses parents l'avaient fait en partant loin du monde des vivants. Elle tremblait. A vrai dire, elle avait peur de ce vide. Les objets étaient devenus dingues, ils attaquaient n'importe qui, maintenant. Elle avait pu échapper à plusieurs d'entre eux, mais elle savait qu'elle devait trouver quelqu'un pour se protéger. Elle n'y arriverait pas toute seule.

Ce fut ce jour là qu'elle les rencontra pour la première fois. Les Cyantifiques. Du moins, elle rencontra un groupe d'entre eux. Ils étaient froids, distants, et ne s'intéressaient qu'à l'Esquisse. Ils désiraient expérimenter ce monde. Latrodectus entama la conversation avec eux, et trouva un terrain d'entente. Pour prouver sa bonne foi, elle leur avait promis qu'elle leur livrerait des informations sur la Base, sur les Dessinateurs, sur tout ce qui pourrait leur être utile. Apparemment, elle fut convaincante, puisqu'ils absorbèrent ses paroles comme pouvait le faire un papier buvard avec de l'eau, et lui avaient offerts des bonbons. De vrais bonbons. Ils étaient délicieux. La jeune fille apprécia beaucoup leur goût. Elle continua un moment avec eux, avant de retrouver le chemin de la Base.

Puis, lorsqu'elle retrouva les dessinateurs, elle fut totalement étonnée de ce qui suivit. Les objets avaient décidés d'attaquer la Base. Tous ensemble. L'araignée avait eu peur, et pour se protéger, s'était raccrochée sur ceux qui l'appréciaient et qui avaient un bon instinct de survie. Ce fut plutôt utile. Une partie des dessinateurs perdirent la vie durant cette bataille. Mais tant qu'elle ne voyait pas les corps, elle s'en fichait. Elle avait survie, c'était l'essentiel. Et pour couronner le tout, elle avait eu de nouveaux amis. Oui, elle avait profité de la faiblesse de ceux qui avaient été traumatisés par les événements pour sympathiser avec eux. Ceux qui étaient gentils, naïfs. Les faibles, quoi. Tant qu'elle avait toujours des jouets à porté de main, tant qu'elle avait toujours des gens avec qui rester, c'était le plus important. Jamais plus elle ne sera seule. Ils resteront auprès d'elle.
Rien que pour elle.

Jour 3 à Jour 13 – Ellipse et Phare

Ses journées furent riches d'expériences.

Entre les dessinateurs avec qui elle devait entretenir cette «amitié » et les cyantifiques qu'elle devait informer de tous les faits et gestes des dessinateurs, il y avait de quoi remplir ses journées. Les allés retour entre l'intérieur et l'extérieur de la Base furent bien calculés pour sa part, et elle parvenait à choisir les bons prétextes pour sortir. Et puis, à vrai dire, ça n'était pas vraiment surveillé. Les cyantifiques, quant à eux, furent satisfaits des informations qu'elle donnait, et comme à leur habitude, des bonbons lui étaient régulièrement donnés pour ses bonnes actions. Elle devait prendre soin d'entretenir leur curiosité, leur soif de connaissance. Parfois, elle embellissait certaines anecdotes, mentait à la perfections, juste pour avoir de la compagnie et des bonbons en échange.

Elle avait aussi du faire d'autres sacrifices. Elle avait été plusieurs fois piégée dans des tempêtes, changeant son physique. Bientôt, sa coupe de cheveux changea totalement, comme si l'Esquisse voulait la recoiffer, et avait raté son coup. Ses cheveux étaient maintenant en bataille, mal coupés, n'étaient plus comme ceux de la jeune fille gentille qu'elle tendait à faire semblait d'être. Mais ce n'était pas grave. Cela la satisfit rapidement quand elle vit le visage attristé des dessinateurs quand elle revint à la Base. Ils la prenaient avec compassion ? Tant mieux. Elle pourrait faire la fille blessée, la fille traumatisée, tout en restant droite, mature et courageuse. Oui. Elle aura toujours de la compagnie, comme ça.

S'ensuivit ensuite une autre tempête, et elle y gagna une marque étrange sur le front. Ce genre de changement allumait la compassion chez les dessinateurs, mais aussi une certaine joie chez les cyantifiques. Ils aimaient lorsque quelqu'un goûtait les joies de l'Esquisse. Ils aimaient tout expérimenter, tout savoir. Et elle, elle mentait, elle prétendait qu'elle était entrée dans ces tempêtes volontairement. Et elle finit par gagner leur confiance, par être traitée comme l'une des leurs. Et c'était tant mieux. C'était exactement ce qu'elle voulait.

Pour la Base, elle avait rejoint le club des étoiles de mers. Naturellement, puisqu'elle aurait plus de jouets à porter de main. Elle s'était toujours montrée serviable, douce, gentille, compréhensive, faisant mine d'être la fille presque parfaite. Bien sûr, l'araignée devait bien cacher sa véritable nature. Alors, elle faisait mine d'être fragile, d'être faible, naïve. Faire mine de bien s'entendre avec cette stupide Charlotte, par exemple. Ce fut bien compliqué, puisqu'elle était loin de la porter dans son cœur. Heureusement qu'elle avait l'habitude de faire la comédie.


Jour 14 – La Réunion

Elle avait paniquée lorsqu'elle avait appris la nouvelle. Des cyantifiques rebelles étaient dans la Base et demandaient divers services aux dessinateurs pour lutter contre une présumée future attaque des cyantifiques. Elle n'avait pas osé participer à cette réunion, cette réunion qui avait eu lieu le matin même, de peur que l'un des rebelles ne la reconnaissent. Elle n'avait vu aucun de leurs visages, elle avait tout simplement décidée de se cacher dans les recoins de la Base, ceux dans lesquels elle était sûre de ne rencontrer aucun d'entre eux. Elle avait vu ses mains trembler. Finalement, elle avait peur.
La toile qu'elle avait mis tant de temps à tisser finissait-elle par se déchirer ?

Et plus le temps passait, plus Latrodectus réfléchissait. Et plus elle se disait qu'elle ne pouvait plus se permettre de jouer, maintenant. Qu'elle devait faire un choix. Désormais, les choses allaient devenir de plus en plus dangereuses, et ce monde lui-même allait finir par définitivement se réveiller. La jeune fille se retrouvait désormais dans un impasse, entre les dessinateurs et la cyance, entre deux chemins totalement différents et opposés à emprunter. Et comme la jeune fille restait indécise, pour la première fois de sa vie, elle avait décidée de s'éloigner des autres, de ne pas chercher de jouer avec qui s'amuser, comme elle le faisait chaque jour.
Seule. Elle se retrouvait toute seule.



Qui tient le pinceau ?




Une Latrodectus sauvage apparaît.
"Canvas, je te choisis ! Lance Paroles Véhémentes !"
Cela échoue.
Latrodectus attaque Toile Venimeuse. Cela est très efficace !
Canvas est K.O

"Alev, je compte sur toi ! Attaque Conversation Envahissante !"
C'est très efficace !
Latrodectus est dans un état critique.

"Poké Ball, Go !"
Tute.Tute.Tute.Tute....
Bravo ! Vous avez capturé Latrodectus !
Voulez-vous lui donnez un surnom ?
...
Compte N°3 a rejoint votre équipe !



Code:

<!--- Code nécessaire au registre des avatars, ne pas enlever la balise code et remplir impérativement sous peine de finir carabiné ♥ -->
<div class="registre1">
<div class="pseudoreg">Latrodectus</div>
<div class="featreg">D.Gray Man - Road Kamelot</div>
<div class="descreg"><p>13 ans - Manipulatrice -A peur de la Solitude - Yeux Dorés - Coupe de cheveux d'un coiffeur aveugle - A une marque sur le front</p></div>
<div class="fichereg"><a href="LIEN DE LA FICHE" target="_blank">Fiche</a></div>
<div class="avareg"><img src="http://image.noelshack.com/fichiers/2013/43/1382645476-latro.png"/></div></div>
Anna
Messages : 1026
Date d'inscription : 18/06/2012
Anna
Sam 30 Jan - 12:24
Re-bienvenue ! et toutes mes excuses pour l'attente

On dirait que c'est la saison des prédéfinis pris ! (et pas n'importe lesquels eheh, Latro date aussi de la V1)
J'ai vraiment aimé la façon dont tu as raconté l'histoire. Je suis contente de ne rien avoir dit dessus pour laisser libre court à l'imagination eheh. Et aussi les phrases à chaque fin de paragraphe, ça montre bien son évolution... et c'est triste >: J'espère que Latro se fera plein... d' "amis". :D (elle pourrait limite enseigner l'art de la manipulation à Iris, héhé)

Bref, te voilà validée ! Amuse-toi bien avec la petite veuve noire o/


#B0CC99 ou #667f53

Fansong Striky x Anna par Striky herself **





Anonymous
Invité
Invité
Sam 30 Jan - 13:32
Re-bienvenue !! ♥

J'aime beaucoup ton interprétation de Latrodectus, elle a beau manipuler tout les dessinateurs et cyantifiques autour d'elle, elle me fait un peu de peine... J'aimerais vraiment développer sa relation avec Ziza, entre membres du club des étoiles de mer héhé. Je pense qu'il y a moyen de trouver quelque chose d'un peu tordu... (Mine de rien entre Play et maintenant Latrodectus, le club n'est pas fréquenté que de gamins mignons et innocents... Et la joueuse encourage fortement la chose.)

Du coup si tu as besoin de partenaires pour un premier rp, je peux toujours te proposer Drew (ou Derpina, mais tu as peut-être envie de changer un peu...). ♥
Alev
Allez râlez pas, racontez-moi plutôt vos complexes !
Personnages : Alev
Messages : 304
Date d'inscription : 22/01/2015
Alev
Dim 31 Jan - 19:32
Merci à vous deux ! La flemme de me connecter avec Latro ! xD

Je suis contente que l'interprétation te plaise Anna, j'ai pris soin de respecter la petite ! Je dois avouer que ça fait un moment que je voulais la prendre, mais j'ai hésité avant ! ^^

Ziza : Je veux bien d'un premier rp avec Drew ou Derpi' ! Dans les deux cas ça risque d'être amusant !


Alev cherche vos complexes en #b590db.
Canvas désire vous tuer en #8dbe6b.
Latrodectus tisse sa toile en #e04fc9.
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<transformation perso="Alev" />

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<transformation perso ="Latrodectus">

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