Titre de la mort qui tue. |Eelis, Arvalis, Plushie|
Qu'est-ce qui est jaune et qui traverse les murs ?
Personnages : Al, Sydonia, Even, Dylan et Al'
Messages : 3215
Date d'inscription : 10/06/2012
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Eelis
Jeu 30 Aoû - 20:28
Il suffirait de se laisser tomber..
PV. Plushie & Arvalis
Le ciel. Fleuve d’images et de textes qui semble s’écouler à travers tout l’univers. N’est-il qu’une illusion ? Peut-on toucher sa surface et se faire emporter ? Si c’est un rêve, et que tu le souhaites du plus profond de ton cœur, alors, probablement, tu pourras. Il suffirait juste de lever la main, et de sentir le contact de sa peau avec cet autre chose qui a la couleur de la rose. Si tu t’envoles, si tu décolles, garderas-tu les pieds sur terre ? Dans celle folie qui détruit tout, restera-t-il encore un endroit où tu pourras être sensé ?
La seule question à laquelle tu veux répondre est « Vais-je me réveiller ? » ; tu dis « Oui » sans hésiter. Parce que cet endroit est trop irréel pour exister, n’est-ce pas ? Parce qu’il ne peut s’agir que d’un rêve, pour que tu te fasses agresser par des bulles et enfermer dans une forêt à répondre à ses énigmes. Parce qu’il existe déjà un présent ; celui où tu as ta famille, tes amis, ton boulot, tes souvenirs, tes habitudes, ton passé et ton avenir. Ici, il n’y a rien. Pas de passé, par d’avenir, pas de « maintenant » ; en témoigne ce cadran sans heure qui surplombe la ville.
Et que tu surplombes. Tu es au-dessus de tout, et tout te semble infiniment petit lorsque tu le regardes. Tu regardes les manoirs, les vaisseaux spatiaux, les tipis, les routes qui passent par-dessus pour se frayer un chemin vers la Place. Ton fils aurait aimé contempler ce spectacle avec toi, mais maintenant que tu es seul à y faire face, tu te sens aussi triste que quelqu’un qui se meurt. Enfin, n’es-tu pas mourant ? Si c’est un rêve, il te suffit de sauter pour te réveiller. Tu devrais déjà l’avoir fait, ce n’est pas comme si ça te faisait peur. Saute donc, vieil homme, car si ce monde gravite autour de toi, il disparaîtra lorsque tu tomberas. N’aie pas peur, ne crains pas le gouffre. Cette voix qui t’a tant charmé te tient la main ; elle t’accompagnera dans ta chute.
Prenant un pas d’élan, tu t’élances dans l’immensité. Finie l’euphorie, finies les croisades, maintenant tu t’envoles. Mais vers le bas. Vois-tu tes pas qui s’effacent à mesure que tu avances ? Vois-tu le sang qui coulait dans tes veines se vider ? Non, parce que tu ne saignes pas. Comme tu l’avais prévu, le monde a disparu avant que tu t’écrases au sol. Il ne reste qu’un noir… ou une absence de couleur ? Tu te sens voler, mais pas trop à la fois. Suspendu. Aussi fade que ce temps qui ne s’écoule plus.
Maintenant, où es-tu ? Es-tu celui qui dort tranquillement dans son lit, es-tu l’espèce d’inconscient qui s’est jeté du haut d’un clocher, ou es-tu encore autre chose ? Deux voix féminines discutent entre elles. C’est peut-être juste Mamie Citron et Tante Chocolat qui discutent. Ou peut-être ces étrangers qui t’ont empêché de te tuer.
Dans quel présent es-tu, Eelis ?
Bientôt, tu le sauras.
Invité
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Jeu 30 Aoû - 21:55
« Bon, alors, que dit tu de ça. Ah ! ah ! J'ai gagnée ! »
Arvalis était en train de jouer au morpion avec une grande cloche. Cela fessait deux jours qu'elles se connaissaient, et pourtant, elles étaient déjà amies. Celle ci prétendait qu'un jour, elle avait eu sa place dans le clocher surplombant la ville. Qu'elle valait mieux que ces objets de pacotille qu'on voyait partout. Elle au moins, elle avait eu une éducation, elle était rigoureuse dans son travail. Et elle avait de la discipline. Très important, la discipline, dans son métier. Bref, c'était une pièce unique. Elle était très fière, aussi Arvalis n'osait pas trop la contredire. Aurait t' elle seulement pu ? Cette chose parlait, parlait, parlait. C'était à se demander depuis combien de temps elle n'avait pas eu une vrai conversation avec les gents. La pauvre fille pouvait a peine en placer une que la cloche repartait au galop. Mais Arvalis aimait cette partie de sa personnalité, ce qu'elle racontait était vraiment intéressant. Sa vie avait été trépidante. Et, même si elle était égoïste, elle s’inquiétait régulièrement de savoir si Arvalis allait la laisser la. Pour une fois qu'elle pouvait parler a quelqu'un. Et Arva, elle, elle ne demandait que ça. Vous imaginer, elle parlait avec une cloche ?! Et en plus, elle adorait le morpion. Je parle du jeu bien sur. La cloche, elle s’arrêtait momentanément de parler pour cocher la grille. Elle était vraiment marrante.
Puis soudain, alors qu'elles jouaient elle lui parla du clocher. Elle voulait tellement y retourner. Sonner joyeusement le gong de midi et de minuit. Bref, Arvalis ne pu pas la laisser la et ce mit en quête d'une façon de la remonter au clocher. Ouvrant grand la gueule, elle prit le rebord entre ses crocs et commença son ascension sur la façade du grand clocher. Elle était lourde. Arrivée au premier étage, elle déposa la cloche. A bout de souffle. Arvalis se rendit a l'évidence, jamais elle ne pourrait arriver jusqu'au bout. Interrompant la cloche, qui n'avait pas cessée de parler entre temps. Elle lui expliqua la situation. Celle ci ne l'écoutait bien sur pas et continuait de parler d'elle. Arvalis essaya quand même d'aligner quelques mots. En vain. Alors, Arvalis décida de la planter la. C'était un acte vil et méchant. Vraiment, c'était pas cool de ça part. Mais ici au moins, elle pourrait parler a d'autres gents. Ceux ci l'aideraient certainement. Arvalis sortit du clocher en cœur en lambeau. La cloche semblait déjà l'avoir oubliée. Ravagée par sa décision, elle se demandait si elle devait faire demi tour. Elle parlait toute seule dans ce genre de cas. Mais la, au beau milieu de sa phrase, son attention fu captivée par un bruit étrange. Un sifflement dans l'air. Tournant la tête a gauche et a droite, elle ne vit d’abord rien. Puis, en levant la tête elle le vit. Ce type. Ce potentiel nouvel ami. Il lui tomba littéralement sur la tête. Ce qui la fit hurler. Morte de trouille, elle partit directement se cacher derrière une grand tas d'objets. Claquant des dents et transpirant comme une forcenée. Ce type, il était arrivé trop rapidement. Il lui était tombé dessus comme un sac a patate. Arvalis était tellement stressée qu'elle n'arrivait pas a aligner deux pensées cohérentes. Puis, lui vint l'idée qu'il était peut être mort. Son potentiel nouvel ami.
« Noooooon… je vous en prie. Réveillez vous monsieur. Je vous en prie, réveillez vous. Monsieur ? Monsieur, m'entendez vous ? Je vous prie, réveillez vous. »
Arvalis avait le cœur encore plus ravagé, elle n'avait pas pu aider cette personne. Si ils avaient pu parler, ne serait ce qu'un instant. Elle l'aurait aidée. Elle lui aurait redonner la joie de vivre. C'était sa raison de vivre. Aider les autres. C'était sa faute. Uniquement sa faute. Jamais elle ne se le pardonnerait. Si seulement elle avait pu agir avant. Qu'elle sotte elle fessait. Les larmes coulants toutes seule de ses grand yeux jaunes. Elle pria intérieurement pour que son dos eu pu l’empêcher de se briser les os. Se posant sur ses pattes arrières, Arvalis pleura comme un bébé. Hurlant a la mort cette malchance. Puis soudain elle entendit des bruits de pas. Prenant son air le plus neutre, qui était assez effrayant, soit dit en passant. Elle interpella cette nouvelle personne
« vite, aidez moi. Cet homme vient de tomber du … du clocher … je vous en prie … aidez moi ! »
Et elle repartie dans un long long sanglot de désespoir.
Arvalis était en train de jouer au morpion avec une grande cloche. Cela fessait deux jours qu'elles se connaissaient, et pourtant, elles étaient déjà amies. Celle ci prétendait qu'un jour, elle avait eu sa place dans le clocher surplombant la ville. Qu'elle valait mieux que ces objets de pacotille qu'on voyait partout. Elle au moins, elle avait eu une éducation, elle était rigoureuse dans son travail. Et elle avait de la discipline. Très important, la discipline, dans son métier. Bref, c'était une pièce unique. Elle était très fière, aussi Arvalis n'osait pas trop la contredire. Aurait t' elle seulement pu ? Cette chose parlait, parlait, parlait. C'était à se demander depuis combien de temps elle n'avait pas eu une vrai conversation avec les gents. La pauvre fille pouvait a peine en placer une que la cloche repartait au galop. Mais Arvalis aimait cette partie de sa personnalité, ce qu'elle racontait était vraiment intéressant. Sa vie avait été trépidante. Et, même si elle était égoïste, elle s’inquiétait régulièrement de savoir si Arvalis allait la laisser la. Pour une fois qu'elle pouvait parler a quelqu'un. Et Arva, elle, elle ne demandait que ça. Vous imaginer, elle parlait avec une cloche ?! Et en plus, elle adorait le morpion. Je parle du jeu bien sur. La cloche, elle s’arrêtait momentanément de parler pour cocher la grille. Elle était vraiment marrante.
Puis soudain, alors qu'elles jouaient elle lui parla du clocher. Elle voulait tellement y retourner. Sonner joyeusement le gong de midi et de minuit. Bref, Arvalis ne pu pas la laisser la et ce mit en quête d'une façon de la remonter au clocher. Ouvrant grand la gueule, elle prit le rebord entre ses crocs et commença son ascension sur la façade du grand clocher. Elle était lourde. Arrivée au premier étage, elle déposa la cloche. A bout de souffle. Arvalis se rendit a l'évidence, jamais elle ne pourrait arriver jusqu'au bout. Interrompant la cloche, qui n'avait pas cessée de parler entre temps. Elle lui expliqua la situation. Celle ci ne l'écoutait bien sur pas et continuait de parler d'elle. Arvalis essaya quand même d'aligner quelques mots. En vain. Alors, Arvalis décida de la planter la. C'était un acte vil et méchant. Vraiment, c'était pas cool de ça part. Mais ici au moins, elle pourrait parler a d'autres gents. Ceux ci l'aideraient certainement. Arvalis sortit du clocher en cœur en lambeau. La cloche semblait déjà l'avoir oubliée. Ravagée par sa décision, elle se demandait si elle devait faire demi tour. Elle parlait toute seule dans ce genre de cas. Mais la, au beau milieu de sa phrase, son attention fu captivée par un bruit étrange. Un sifflement dans l'air. Tournant la tête a gauche et a droite, elle ne vit d’abord rien. Puis, en levant la tête elle le vit. Ce type. Ce potentiel nouvel ami. Il lui tomba littéralement sur la tête. Ce qui la fit hurler. Morte de trouille, elle partit directement se cacher derrière une grand tas d'objets. Claquant des dents et transpirant comme une forcenée. Ce type, il était arrivé trop rapidement. Il lui était tombé dessus comme un sac a patate. Arvalis était tellement stressée qu'elle n'arrivait pas a aligner deux pensées cohérentes. Puis, lui vint l'idée qu'il était peut être mort. Son potentiel nouvel ami.
« Noooooon… je vous en prie. Réveillez vous monsieur. Je vous en prie, réveillez vous. Monsieur ? Monsieur, m'entendez vous ? Je vous prie, réveillez vous. »
Arvalis avait le cœur encore plus ravagé, elle n'avait pas pu aider cette personne. Si ils avaient pu parler, ne serait ce qu'un instant. Elle l'aurait aidée. Elle lui aurait redonner la joie de vivre. C'était sa raison de vivre. Aider les autres. C'était sa faute. Uniquement sa faute. Jamais elle ne se le pardonnerait. Si seulement elle avait pu agir avant. Qu'elle sotte elle fessait. Les larmes coulants toutes seule de ses grand yeux jaunes. Elle pria intérieurement pour que son dos eu pu l’empêcher de se briser les os. Se posant sur ses pattes arrières, Arvalis pleura comme un bébé. Hurlant a la mort cette malchance. Puis soudain elle entendit des bruits de pas. Prenant son air le plus neutre, qui était assez effrayant, soit dit en passant. Elle interpella cette nouvelle personne
« vite, aidez moi. Cet homme vient de tomber du … du clocher … je vous en prie … aidez moi ! »
Et elle repartie dans un long long sanglot de désespoir.
Invité
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Ven 31 Aoû - 22:33
Pourquoi un tel caprice pour ça...
Plushie marchait, levant fièrement la tête et levant bien haut les bras. Oui, elle était effectivement quelque peu gonflée d'orgueil ce matin là. Ne me demandez pas pourquoi, même Hare ne saurait vous répondre...
Celui-ci, d'ailleurs, était fatigué. Fatigué de risquer sa vie. Fatigué de la voir frôler la mort. Mais il jugeait qu'il ne pouvait pas se permettre de la laisser, car Plushie ne s'en remettrait jamais. Mais quelle idée lui avait donc traversé l'esprit, lorsqu'il s'est penché vers cette enfant ébahie ? Non pas qu'il le regrettait, mais... Disons que, parfois, il doutait de sa lucidité lors de cet instant qui avait fait basculer sa vie de peluche.
Maintenant, il donnerait beaucoup pour retrouver sa vie tranquille, mais il savait qu'il était trop tard pour reculer... Après tout, il avait droit à d'autres peluches pour lui tenir compagnie - bien que Plushie les abandonne facilement.
D'ailleurs, sa compagne du jour était une petite vache volante, au caractère franchement insupportable - mais la petite fille semblait l'aimer, alors il l'acceptait.
Vous l'aurez deviné, le fidèle compagnon de Plushie lui vouait une adoration sans borne, et gardait une tendance soigneusement protectrice envers la petite aux oreilles de lapin.
Hare sautillait, la vache piaillant son mécontentement envers la direction que prenait Plushie - qui semblait s'en moquer - au dessus de lui. La petite fille avait un grand sourire enfantin fixé sur le visage. Elle avait aperçu une ville - oui, une ville ! Elle pourrait peut-être même se trouver une maison, ou juste un endroit pour se reposer les jours où elle ne voulait pas parcourir l'Esquisse.
Elle laissa ses pas la guider, regardant les bâtiments fantaisistes, et se retrouva sur une drôle de place, où un immense bâtiment - un clocher, à en voir le cadran blanc - trônait en maître des lieux. Il était vraiment grand, et se détachait dans la lueur du ciel grouillant de textes et d'images variés. Toujours aussi fascinée par le ciel, elle continua à marcher droit devant, tenant d'une main la patte de Hare.
Elle finit par sortir de ses pensées lorsqu'une voix l’interpella.
« Vite, aidez moi. Cet homme vient de tomber du … du clocher … je vous en prie … aidez moi ! »
Plushie tourna lentement la tête, au comble de sa froideur. Puis, elle ouvrit de grands yeux émerveillés - la propriétaire de la voix, c'était une peluche ! Une immense peluche pleine de poils ! Ignorant totalement l'appel à l'aide de la peluche, la petite fille vient se placer derrière elle pour l'entourer tant bien que mal de ses petits bras d'enfants.
« Chuut... Ça va aller ! C'est jamais qu'un adulte... Un de perdu, dix de retrouvés ! Puis, c'était peut-être son choix, hein, lança Plushie avec un regard méprisant pour l'homme sur le sol. Tu veux bien devenir ma peluche ? Hein ? Dis ouiii ! »
Plushie sortit un mouchoir en essuyant les yeux de la peluche géante. Hare se laissa tomber à côté de l'homme à terre, puis pencha sa tête vers celle de l'homme, l'étudiant suspicieusement. Il inspecta aussi le reste de son corps, palpant - ou plutôt tapotant - son corps avec ses pattes rembourrées de mousse. Il posa aussi une patte sur sa poitrine, puis revint vers la peluche sanglotante.
« Il respire encore et son coeur bat aussi, il reste un espoir, argua Hare.
- Hare, on s'en fout complètement...
- Non, pas cette peluche. »
Plushie haussa les épaules, puis continua à tenter de la consoler, continuant à murmurer, persuadée, que ça n'avait aucune importance de toute façon, et qu'elle était sûre qu'il ne valait pas la peine qu'elle se fende ainsi le coeur.
Celui-ci, d'ailleurs, était fatigué. Fatigué de risquer sa vie. Fatigué de la voir frôler la mort. Mais il jugeait qu'il ne pouvait pas se permettre de la laisser, car Plushie ne s'en remettrait jamais. Mais quelle idée lui avait donc traversé l'esprit, lorsqu'il s'est penché vers cette enfant ébahie ? Non pas qu'il le regrettait, mais... Disons que, parfois, il doutait de sa lucidité lors de cet instant qui avait fait basculer sa vie de peluche.
Maintenant, il donnerait beaucoup pour retrouver sa vie tranquille, mais il savait qu'il était trop tard pour reculer... Après tout, il avait droit à d'autres peluches pour lui tenir compagnie - bien que Plushie les abandonne facilement.
D'ailleurs, sa compagne du jour était une petite vache volante, au caractère franchement insupportable - mais la petite fille semblait l'aimer, alors il l'acceptait.
Vous l'aurez deviné, le fidèle compagnon de Plushie lui vouait une adoration sans borne, et gardait une tendance soigneusement protectrice envers la petite aux oreilles de lapin.
Hare sautillait, la vache piaillant son mécontentement envers la direction que prenait Plushie - qui semblait s'en moquer - au dessus de lui. La petite fille avait un grand sourire enfantin fixé sur le visage. Elle avait aperçu une ville - oui, une ville ! Elle pourrait peut-être même se trouver une maison, ou juste un endroit pour se reposer les jours où elle ne voulait pas parcourir l'Esquisse.
Elle laissa ses pas la guider, regardant les bâtiments fantaisistes, et se retrouva sur une drôle de place, où un immense bâtiment - un clocher, à en voir le cadran blanc - trônait en maître des lieux. Il était vraiment grand, et se détachait dans la lueur du ciel grouillant de textes et d'images variés. Toujours aussi fascinée par le ciel, elle continua à marcher droit devant, tenant d'une main la patte de Hare.
Elle finit par sortir de ses pensées lorsqu'une voix l’interpella.
« Vite, aidez moi. Cet homme vient de tomber du … du clocher … je vous en prie … aidez moi ! »
Plushie tourna lentement la tête, au comble de sa froideur. Puis, elle ouvrit de grands yeux émerveillés - la propriétaire de la voix, c'était une peluche ! Une immense peluche pleine de poils ! Ignorant totalement l'appel à l'aide de la peluche, la petite fille vient se placer derrière elle pour l'entourer tant bien que mal de ses petits bras d'enfants.
« Chuut... Ça va aller ! C'est jamais qu'un adulte... Un de perdu, dix de retrouvés ! Puis, c'était peut-être son choix, hein, lança Plushie avec un regard méprisant pour l'homme sur le sol. Tu veux bien devenir ma peluche ? Hein ? Dis ouiii ! »
Plushie sortit un mouchoir en essuyant les yeux de la peluche géante. Hare se laissa tomber à côté de l'homme à terre, puis pencha sa tête vers celle de l'homme, l'étudiant suspicieusement. Il inspecta aussi le reste de son corps, palpant - ou plutôt tapotant - son corps avec ses pattes rembourrées de mousse. Il posa aussi une patte sur sa poitrine, puis revint vers la peluche sanglotante.
« Il respire encore et son coeur bat aussi, il reste un espoir, argua Hare.
- Hare, on s'en fout complètement...
- Non, pas cette peluche. »
Plushie haussa les épaules, puis continua à tenter de la consoler, continuant à murmurer, persuadée, que ça n'avait aucune importance de toute façon, et qu'elle était sûre qu'il ne valait pas la peine qu'elle se fende ainsi le coeur.
- Spoiler:
- Bon, c'est un peu nul désolée...
Qu'est-ce qui est jaune et qui traverse les murs ?
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Eelis
Lun 3 Sep - 2:09
le royaume des dauphins
PV. Plushie & Arvalis
Esquisse. Tu ignores ce mot, et tu ne l’entendras peut-être jamais pour qualifier le monde dans lequel tu as atterrit. Tombé d’un arbre, comme le dernier des idiots, et c’était le début d’une série de chutes. Chacune de plus en plus douloureuse, celle-là sera-t-elle la dernière ? Une voix à peine audible te souffle au creux de l’oreille qu’elle préfère attendre un peu. Mais pas trop.
Que fais-tu, Eelis ? Tu n’es pas inconscient, tu n’erres pas entre deux univers, puisque tu peux les entendre distinctement, parler juste à côté de toi. Alors pourquoi ? Pourquoi ne te relèves-tu pas, pour leur parler joyeusement avec ton air d’enfant perdu ? Pourquoi ne leur montres-pas que tu es en vie, hein ? Atterrir sur cette chose noire t’a probablement sauvé la vie, tu pourrais au moins la remercier. Non, tu fais le mort tandis que tu te complais à imaginer qui se trouve non loin de toi.
Pas des voix familières. Oui, tu n’es pas revenu dans ton monde. Tu n’as pas pu te réveiller dans un monde peuplé de dauphins pacifistes et amicaux, qui vivent dans des fast-foods chinois. À la place, tu as toujours ce ciel rose – enfin, c’est joli, le rose – et ce paysage tout droit sorti d’un jeu d’enfant. Non, ça ne te fait pas peur plus que ça, tu es amusé. Mais… Intérieurement, tu la sens qui arrive. Tu l’imagines qui te broies les os un par un, savourant lentement son repas. Elle prend plaisir à te faire tomber plusieurs fois, avant de se décider à tout manger. Cette créature qui te bouffe, c’est la folie. Ne ris pas, ne t’effondre pas, il n’y a plus rien à faire si ce n’est se relever. Encore faudrait-il que tu en sois capable ; comment se rendre compte tout à coup qu’on ne reverra plus rien ? Impossible, n’est-ce pas ? Dans l’Esquisse, tout est pourtant réalisable. Surtout l’impossible, s’empresse-t-elle de rajouter avec un sourire sadique.
Alors, quoi ? Ça te choque un peu que cette petite fille sorte aussi simplement « C'est jamais qu'un adulte... Un de perdu, dix de retrouvés ! » En face de toi… C’est bien de faire le mort, des fois, avec les yeux mi-clos en mode ninja des ténèbres. Une petite peluche vient près de toi et semble te regarder, rien d’étonnant à tes yeux. Si les peluches ne se baladaient pas dans la ville, il y aurait un gros problème, t’es-tu raisonné avec ton laxisme habituel.
Toujours avec un camouflage digne d’un professionnel, tu regardes à gauche et à droite. Surprise ! Tu revois cette chose noire sur laquelle tu as atterri. Des dragons qui se reposent près d’un clocher, toi tu dis « pourquoi pas » comme quelqu’un qui se fiche de tout. C’est qu’elle t’a déjà mangé ta prudence, on dirait. Ou alors as-tu préféré l’enfouir afin de ne plus souffrir inutilement ? Si tu l’as juste cachée, elle reviendra, ne t’en fais pas, et le moment venu. Baigne-toi dans les eaux de la naïveté, tu nageras prochainement dans le désespoir.
La suite du plan ? Soit on attend en jouant tranquillement les cadavres, sous peine d’être transporté comme un sac de patate ou de se compromettre de façon ridicule, soit on fait tomber le masque avec la satisfaction de cette petite. Tu aimes bien les enfants, même les enfants méchants, alors tu hésites un moment. Allez, ni l’une ni l’autre, faisons une entrée simple. Tu te redresses prestement, et comme un benêt tu souris aux deux étrangers :
« Coucou les amis ! »
Tel un gymnaste de haut niveau – de soixante-sept ans – tu te remets sur tes deux jambes. Léger vertige. Pas étonnant, le dragon n’était pas en mousse non plus. (Quoi qu’un dragon en mousse, ça serait relativement normal) (Et apprécié) Tu n’as plus spécialement faim ou soif – alors que tu ne t’es ni désaltéré ni rassasié depuis que tu es arrivé, tu cherches encore un restaurant asiatique – donc tu hésites à la tournure que devrait prendre ton rêve. Finalement, pourquoi ne pas attendre un peu avant d’être transporté au royaume des dauphins ? Là, ce dont tu as envie… Ce dont tu rêves désespérément…
« Je voudrais m’entretenir avec le maire de cette ville. Vous ne trouvez pas ça malheureux un clocher qui ne sert à rien ? »
En regardant tes deux interlocuteurs, tu hésites un moment et poursuis, en quête d'informations.
« Où se trouve la mairie ? »
Après tout, des dragons et des petites filles – aux cheveux roses et bleus, soit dit en passant – qui fréquentent l’hôtel de ville, c’est normal aussi. La fille est peut-être conseillère municipale ! À moins que ce soit la mairesse ?
Même si ce n’est que le temps d’une idiotie, tu voudrais bien retrouver ton insouciance, Eelis. Continue de croire que tout est temporaire et disparaîtra demain matin, tu me fais encore plus rire ainsi. Et si je ris, c’est plutôt bien pour toi, n’est-ce pas ?
Amuse-moi. Pauvre être qui se terre dans la bêtise pour échapper à la folie.
- HRP:
- Bon, Plushie, ça te dérange pas si je t'ai attribué le hotpink comme couleur ? :3 Sinon tu me dis ~
Invité
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Lun 3 Sep - 17:26
Cette petite était vraiment gentille. Mit a part peut être le fait qu'elle ne semblait pas aimer le type a terre. Et tous les adultes en général. Mais Arvalis en était une, elle avait dix neuf ans quand même. Elle était majeur, c'était pas rien quand même. Alors, oui, mais elle était grande et laide, couverte d'écailles et de poils. Avec des crocs gros comme une main et de grandes griffes bien longues et bien pointues. Mais elle ne ressemblait en rien a une humaine. Étais ce pour ça que l'enfant ne la rejetait pas, comme elle le fessait avec son homologue adulte ? Gisant a même le sol, sans la moindre considération. Alors qu'elle même était couverte de câlins. C'était un peu injuste, ce qui gênait quelques peu Arvalis. Mais cette petite fille était si adorable. Arvalis l'adorait. Elle avait hâte de mieux la connaître. La petite fille sécha ses larmes, dans un geste qui se voulait gentil, Arvalis chatouilla du bout du museau le ventre de cette enfant. Heureuse d'avoir trouvée une autre amie
« je serais ravie de jouer avec toi, c'est quoi ton p'tit nom ? »
Voulant a tous prix savoir si l' homme allait bien, elle se déplaça vers la peluche de la petite fille. La laissant seule quelques instants. Arvalis n'aimait pas ça, cette enfant avait l'air vraiment fragile.
« Coucou les amis ! Je voudrais m’entretenir avec le maire de cette ville. Vous ne trouvez pas ça malheureux un clocher qui ne sert à rien ? Où se trouve la mairie ? »
Trop vif, ce type c'était redresser trop rapidement. Alors qu'elle était penchée sur lui quelques secondes plus tôt, il s'était vivement redressé. Impensable. Arvalis rugit, apeurée. Ce rugissement d’ailleurs, était le plus féroce qu'elle nu jamais produit. Étrange phénomène, son rugissement. Vu qu'elle n' hurlait que de peur, il lui arrivait fréquemment de ce demander a quoi un de ses rugissements de colère pouvaient bien ressembler. Vu que ceux la fessaient déjà pas mal peur, le résultat devait être assez marrant. Enfin bref, Arvalis rugit. Se posa sur ses pattes arrières et pourfenda l'air de ses pattes avants, réflexe ultime pour empêcher les objets trop curieux de l'approcher. Un réflexe qu'elle aurait bien aimé oublier. Bah oui, quand elle était humaine, ça ne posait pas de problème q' elle essaye de se protéger. Elle était faible comme une tige de bambou, elle ne pouvait donc pas blesser les autres. La, c'était un peu différent. Un peu beaucoup même.
Arvalis décida d'aller se cacher derrière un monticule d'objet assez conséquent pour cacher son énorme silhouette. Dans un bruit de casserole, elle grimpa par dessus afin de tomber de l'autre coté. Tient ? Elle c'était blessée sur le coussinet de sa patte avant gauche ? La coupure n'était pas très profonde, ça allait aller. Elle le lécha un peu, histoire d’atténuer la douleur. Flageolent du bout du museau jusqu'à la queue. Cet humain fessait trop peur. Se redresser comme ça. Parler de cette façon. Pourquoi es ce qu'elle était entourée de brutes ? Hein ? Pourquoi ?! Personne ne pouvait faire attention, hein ? Question stupide. Ce n'était pas leurs fautes, mais la sienne. C'était elle qui n'était pas normale. Elle qui qui avait peur de tous. Elle qui … N'en pouvant plus, Arvalis repartie dans un énorme sanglot. Arvalis avait eu si peur de cet homme. C'était tellement pitoyable qu'elle ne pouvait qu'en pleurer.
« je serais ravie de jouer avec toi, c'est quoi ton p'tit nom ? »
Voulant a tous prix savoir si l' homme allait bien, elle se déplaça vers la peluche de la petite fille. La laissant seule quelques instants. Arvalis n'aimait pas ça, cette enfant avait l'air vraiment fragile.
« Coucou les amis ! Je voudrais m’entretenir avec le maire de cette ville. Vous ne trouvez pas ça malheureux un clocher qui ne sert à rien ? Où se trouve la mairie ? »
Trop vif, ce type c'était redresser trop rapidement. Alors qu'elle était penchée sur lui quelques secondes plus tôt, il s'était vivement redressé. Impensable. Arvalis rugit, apeurée. Ce rugissement d’ailleurs, était le plus féroce qu'elle nu jamais produit. Étrange phénomène, son rugissement. Vu qu'elle n' hurlait que de peur, il lui arrivait fréquemment de ce demander a quoi un de ses rugissements de colère pouvaient bien ressembler. Vu que ceux la fessaient déjà pas mal peur, le résultat devait être assez marrant. Enfin bref, Arvalis rugit. Se posa sur ses pattes arrières et pourfenda l'air de ses pattes avants, réflexe ultime pour empêcher les objets trop curieux de l'approcher. Un réflexe qu'elle aurait bien aimé oublier. Bah oui, quand elle était humaine, ça ne posait pas de problème q' elle essaye de se protéger. Elle était faible comme une tige de bambou, elle ne pouvait donc pas blesser les autres. La, c'était un peu différent. Un peu beaucoup même.
Arvalis décida d'aller se cacher derrière un monticule d'objet assez conséquent pour cacher son énorme silhouette. Dans un bruit de casserole, elle grimpa par dessus afin de tomber de l'autre coté. Tient ? Elle c'était blessée sur le coussinet de sa patte avant gauche ? La coupure n'était pas très profonde, ça allait aller. Elle le lécha un peu, histoire d’atténuer la douleur. Flageolent du bout du museau jusqu'à la queue. Cet humain fessait trop peur. Se redresser comme ça. Parler de cette façon. Pourquoi es ce qu'elle était entourée de brutes ? Hein ? Pourquoi ?! Personne ne pouvait faire attention, hein ? Question stupide. Ce n'était pas leurs fautes, mais la sienne. C'était elle qui n'était pas normale. Elle qui qui avait peur de tous. Elle qui … N'en pouvant plus, Arvalis repartie dans un énorme sanglot. Arvalis avait eu si peur de cet homme. C'était tellement pitoyable qu'elle ne pouvait qu'en pleurer.
Invité
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Sam 8 Sep - 10:20
Et un débile qui joue les morts, un !
Plushie était toujours collée à la peluche géante, tentant de la consoler.
« Je serais ravie de jouer avec toi, c'est quoi ton p'tit nom ?
- Hihi ! Moi, je suis Plushie ! Et toi, tu en as un ? »
Plushie souriait, aux anges, réellement heureuse d'avoir une nouvelle amie. En plus, cette amie-là avait l'air plutôt sensible, comme elle !
Lorsque la peluche se dégagea, la petite fille aux cheveux bleus la suivis et toutes deux rejoignirent Hare, à côté de l'homme.
Certaine d'avoir affaire à une carcasse, Plushie plissait le nez et le regardait avec un dégoût mal dissimulé.
Pour la première fois depuis qu'elle était arrivée, elle étudiait le cadavre. C'était un vieil homme, qui avait l'air plus ou moins serein, avec des cheveux et une barbe claire.
Plushie poussa un grand soupir, et pris délicatement Hare dans ses petits bras d'enfants. Elle tourna les talons, jugeant ce spectacle inintéressant.
Elle n'eut donc pas l'occasion de voir le vieil homme se relever brusquement en prenant un air enjoué.
« Coucou les amis ! »
La petite fille se retourna en haussant un sourcil. Puis l'autre. Il avait l'air en forme, pour quelqu'un de mort !
Elle grogna, non sans agressivité, dans sa direction, écoutant quand même la suite de ce qu'il avait à dire - peut-être des excuses ? Quoique, non... Ce n'était pas un adulte qui allait s'excuser auprès d'elle !
« Je voudrais m’entretenir avec le maire de cette ville. Vous ne trouvez pas ça malheureux un clocher qui ne sert à rien ? » il hésita. « Où est la mairie ? »
Plushie explosa d'un rire ironique - en partie nerveux aussi. Cette homme faisait semblant d'être mort, faisant pleurer sa peluche, puis il montrait qu'il était vivant, en faisant peur à sa nouvelle amie, et, maintenant, il espérait qu'elle allait l'aider ?
Franchement, c'était idiot de sa part. Elle arrêta rapidement de rire, car Hare lui tapotait l'épaule en marmonnant des choses que même elle n'arrivait pas à comprendre tellement c'était bas et inarticulé.
Elle soupira à nouveau, et regardant le vieil homme et la peluche apeurée, se demandant si elle devait partir.
C'est alors qu'elle remarqua que la peluche, elle, avait décidé d'aller se cacher. N'ayant pas vu où elle était partie, elle ne la repéra pas tout de suite mais finit par entendre des sanglots, et se dirigea alors rapidement vers la cachette improvisée de la créature.
Elle s'agenouilla devant elle, laissant Hare vagabonder un peu partout. Elle releva doucement sa tête, un léger sourire aux lèvres.
Hare lui, s'était éclipsé pour aller voir le vieil homme, les oreilles basses.
« Excusez là... Elle vous a juste pris en grippe... Elle ne sait pas où est la mairie, désolé. »
« Je serais ravie de jouer avec toi, c'est quoi ton p'tit nom ?
- Hihi ! Moi, je suis Plushie ! Et toi, tu en as un ? »
Plushie souriait, aux anges, réellement heureuse d'avoir une nouvelle amie. En plus, cette amie-là avait l'air plutôt sensible, comme elle !
Lorsque la peluche se dégagea, la petite fille aux cheveux bleus la suivis et toutes deux rejoignirent Hare, à côté de l'homme.
Certaine d'avoir affaire à une carcasse, Plushie plissait le nez et le regardait avec un dégoût mal dissimulé.
Pour la première fois depuis qu'elle était arrivée, elle étudiait le cadavre. C'était un vieil homme, qui avait l'air plus ou moins serein, avec des cheveux et une barbe claire.
Plushie poussa un grand soupir, et pris délicatement Hare dans ses petits bras d'enfants. Elle tourna les talons, jugeant ce spectacle inintéressant.
Elle n'eut donc pas l'occasion de voir le vieil homme se relever brusquement en prenant un air enjoué.
« Coucou les amis ! »
La petite fille se retourna en haussant un sourcil. Puis l'autre. Il avait l'air en forme, pour quelqu'un de mort !
Elle grogna, non sans agressivité, dans sa direction, écoutant quand même la suite de ce qu'il avait à dire - peut-être des excuses ? Quoique, non... Ce n'était pas un adulte qui allait s'excuser auprès d'elle !
« Je voudrais m’entretenir avec le maire de cette ville. Vous ne trouvez pas ça malheureux un clocher qui ne sert à rien ? » il hésita. « Où est la mairie ? »
Plushie explosa d'un rire ironique - en partie nerveux aussi. Cette homme faisait semblant d'être mort, faisant pleurer sa peluche, puis il montrait qu'il était vivant, en faisant peur à sa nouvelle amie, et, maintenant, il espérait qu'elle allait l'aider ?
Franchement, c'était idiot de sa part. Elle arrêta rapidement de rire, car Hare lui tapotait l'épaule en marmonnant des choses que même elle n'arrivait pas à comprendre tellement c'était bas et inarticulé.
Elle soupira à nouveau, et regardant le vieil homme et la peluche apeurée, se demandant si elle devait partir.
C'est alors qu'elle remarqua que la peluche, elle, avait décidé d'aller se cacher. N'ayant pas vu où elle était partie, elle ne la repéra pas tout de suite mais finit par entendre des sanglots, et se dirigea alors rapidement vers la cachette improvisée de la créature.
Elle s'agenouilla devant elle, laissant Hare vagabonder un peu partout. Elle releva doucement sa tête, un léger sourire aux lèvres.
Hare lui, s'était éclipsé pour aller voir le vieil homme, les oreilles basses.
« Excusez là... Elle vous a juste pris en grippe... Elle ne sait pas où est la mairie, désolé. »
- Spoiler:
- Herf... Désolée, mais j'ai pas eu trop d'idées, alors voilà ce que ça donne !
Qu'est-ce qui est jaune et qui traverse les murs ?
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Eelis
Mer 12 Sep - 18:49
sacrifice cotonneux
PV. Plushie & Arvalis
Tes iris vadrouillent d’un personnage à l’autre, tandis que tu affiches sur ton visage consterné cet air perplexe. Certes, même toi, tu avais songé à l’éventualité que l’on ne t’indique pas le chemin de la mairie dans ce rêve tordu, surtout pas après t’avoir vu te jeter du haut d’un clocher dix minutes plus tôt. Tu passes pour un fou, mais ne l’es-tu pas déjà, Eelis ? Après avoir entendu des voix dans une forêt, sauté sur des bulles dans un lac et fait exploser des cupcakes dans une ruelle sombre, oui, tu es bien un peu fou.
Et maintenant, tu fais quoi ? Vas-tu remonter jusqu’en haut, et à nouveau te laisser tomber pour en finir une bonne fois pour toutes ? Vas-tu t’en aller, une fois encore ? Si c’est un rêve, peu importe, non ? Cette gigantesque bestiole noire pousse un grognement terrible et court se cacher dans un coin retranché. Tu penses qu’il y a un danger et tu tournes sur toi-même, sans détester la moindre chose suspecte. En même temps, un ogre se serait pointé devant toi en braillant qu’il a faim, armé de sa hache ensanglantée, tu ne te serais pas inquiété le moins du monde.. Alors, là, rien, pas de quoi en faire tout un plat. La petite fille fort agréable va à sa rencontre ; aurait-elle également eu peur de cette force mystérieuse et invisible ? Juste au cas où, tu les suis.
Et parce qu’aucune idée farfelue n’avait germé dans ton esprit depuis trois minutes, il fallait bien que ça arrive maintenant.
« Si vous voulez, je peux le distraire pendant que vous partez » lances-tu alors, très sérieusement, bien que tu n’aies toujours pas ressenti la « menace » en question. Sans réfléchir, tu t’es proposé pour aider tes camarades… quel héros tu fais ! Quel irréfléchi tu es.
Tu avises ensuite la peluche qui traîne à côté de la gamine… Pourquoi ne pas l’offrir en sacrifice à la force inconnue ? Quelle idée géniale ! T’emparant de la pauvre créature – quand même de la taille d’un homme ! – tu t’en vas en la traînant dans la direction opposée à celle de tes compagnons d’infortune. Comme ça, ce sera super.
« Montre toi, je sais que tu es là ! » s’exclame ainsi le pauvre idiot qui parle au vide sans la moindre once d’originalité. Tu brandis le lapin en coton et reprends ; « Je te l’offre en guise de repas si tu promets de nous laisser tranquille ! » provoquant certainement la colère de sa propriétaire. Tant pis, dans la vie il faut savoir que certains sacrifices sont nécessaires afin d’assurer la survie de tout un peuple. Ça vaut sûrement aussi pour les rêves.
Tête relevée, sourcils courbés, regard perçant. Tu es persuadé que le « ça » non-identifié acceptera ce marché. Et sinon… tu le terrasseras. (inutile de te demander comment tu comptes te débrouiller pour affronter ce qui n’existe pas, ça te dépasse déjà) Maintenant, tu « le » fixes justement intensément, tu penses que ça le fera plier s’il était indécis.
Sans t’imaginer que tu passes désormais pour un fou idiot auprès de tous les habitants de l’Esquisse.
- HRP:
- Désolée du temps pour un truc si moisi, j'ai préféré faire avancer un peu le truc plutôt que de développer la psychologie du personnage. :3
(et désolée pour Hare)
Invité
Invité
Sam 15 Sep - 15:49
[HRP : un peu court, je sais, mais je me rattraperais sur le prochain]
Il était fou ou quoi ce type ? Voila qu'il psalmodiait. Vraiment, l'esquisse était peuplée de gents vraiment étranges. Il prenait la peluche de la petite et l' agitait dans tous les sens. En fait, il devait devait juste s'amuser a ce payer leurs tête. Par ce qu'elles devaient être drôles, en ce moment. Il allait se retourner d'une seconde a l'autre et hurler « cheese ! Je vous ait bien eu ». Mais il ne se retourna pas. Il était sérieux. Enfin, peux être. Arvalis éclata de rire. Ce type était fou. Enfin, probablement. En tous cas, il lui avait fait oublier tous de suite son chagrin. Puis elle s’éclaircit la gorge
« Monsieur, pouvez vous lâcher ce lapin. Je me sent mal pour lui … il vous plais. »
Puis, elle se rendit compte qu'elle ne connaissait pas leurs noms. Pour le type fou, passe encore, mais pour la petite... elle était trop mignonne pour qu'elle la laisse vagabonder, a la portée de tous les méchants objets. D' une certaine façon, elle voulait l'accompagner, lui fournir une protection supplémentaire. Mais l'enfant n'accepterait certainement pas. Qui voudrait d'un monstre tel qu'elle ? Dommage, cela aurait pu rendre son voyage intéressant. Si seulement elle avait le courage de faire un tel pas. Mais bon, à défaut de l'aider, elle pourrait au moins connaître son nom.
« Je suis Arvalis. Et vous, amis ou futur amis de moi ? »
Elle secoua la tête, s’apprêtant a partir de son coté. A moins que quelque chose la retienne ici ? Huuum.
Il était fou ou quoi ce type ? Voila qu'il psalmodiait. Vraiment, l'esquisse était peuplée de gents vraiment étranges. Il prenait la peluche de la petite et l' agitait dans tous les sens. En fait, il devait devait juste s'amuser a ce payer leurs tête. Par ce qu'elles devaient être drôles, en ce moment. Il allait se retourner d'une seconde a l'autre et hurler « cheese ! Je vous ait bien eu ». Mais il ne se retourna pas. Il était sérieux. Enfin, peux être. Arvalis éclata de rire. Ce type était fou. Enfin, probablement. En tous cas, il lui avait fait oublier tous de suite son chagrin. Puis elle s’éclaircit la gorge
« Monsieur, pouvez vous lâcher ce lapin. Je me sent mal pour lui … il vous plais. »
Puis, elle se rendit compte qu'elle ne connaissait pas leurs noms. Pour le type fou, passe encore, mais pour la petite... elle était trop mignonne pour qu'elle la laisse vagabonder, a la portée de tous les méchants objets. D' une certaine façon, elle voulait l'accompagner, lui fournir une protection supplémentaire. Mais l'enfant n'accepterait certainement pas. Qui voudrait d'un monstre tel qu'elle ? Dommage, cela aurait pu rendre son voyage intéressant. Si seulement elle avait le courage de faire un tel pas. Mais bon, à défaut de l'aider, elle pourrait au moins connaître son nom.
« Je suis Arvalis. Et vous, amis ou futur amis de moi ? »
Elle secoua la tête, s’apprêtant a partir de son coté. A moins que quelque chose la retienne ici ? Huuum.
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Lun 1 Oct - 17:03
C'EST MA PELUCHE ! QU'EST-CE 'T'AS CRU ???!
« Si vous voulez, je peux le distraire pendant que vous partez »
Ce fut cette première tirade qui attira l'attention de Plushie, qui tourna donc la tête vers le vieil homme qui avait dit ça.
Elle avisa également sa peluche qui était aux pieds de l'étranger, et elle décida donc de le faire revenir auprès d'elle - parce qu'on ne parle pas aux inconnus, surtout s'ils font semblant d'être morts pour brailler après, et qu'il raconte n'importe quoi avec sa diversion.
« Eh Hare revie... »
La petite fille ne finit même pas sa phrase, bouche-bée par le fait que l'étranger ai osé poser ses mains sur sa peluche... Elle était sous le choc, comme paralysée, et angoissée pour le lapin qui hurlait et se débattait furieusement.
« Montre toi, je sais que tu es là ! Je te l’offre en guise de repas si tu promets de nous laisser tranquille ! »
Le choc de Plushie diminuait progressivement, laissant place à la surprise. Mais que racontait cet espèce de vieux fou ? A qui parlait-il ? Avait-il peur de l'air ? Ou peut-être faisait-il des hallucinations...
La fillette n'en savait trop rien, et sa réflexion avait laissé le temps à la peluche géante de réagir - elle était aller demander la liberté de Hare.
Et là, enfin, elle réagit. Elle ouvrit de grands yeux désespérés, et se jeta vers l'homme qui tenait le lapin qui était son sauveur, son ami et aussi celui qui l'avait baptisée - pour être précis.
Elle prit de l'élan, puis se jeta sur les bras du vieil homme, s'accrochant par le même temps à la peluche et tirant de toutes ses forces dessus.
« HAAAAAAAAAAAAAAAARE !!! REND LE MOI ESPECE DE VIEUX CHNOQUE DEBILE !!! ET PUIS TU PARLES A QUI LA ?! LE SEUL TRUC FLIPPANT ICI C'EST TOI !! REND MOI MA PELUUUUCHE !!!! »
Les larmes perlèrent aux yeux de la gamine désespérée, et elles commencèrent à rouler sur ses joues. Chacun de ses sanglots était bruyant, et elle tirait de plus en plus mollement sur la peluche qui ne pouvait pas se dégager seule, perdant sa détermination.
Elle était si angoissée à l'idée de perdre Hare qu'elle n'entendit même pas la question de l'autre créature, qui venait pourtant de prendre la parole d'un air gentil.
- Spoiler:
- Bon, si tu ne peux pas répondre Eelis, je comprendrais, c'est nul èè. Je peux toujours modifier si tu veux 8D.
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Folie d'Esquisse
Mar 2 Oct - 19:26
La Folie est fâchée. Vous l'avez contrariée, dessinateurs. A ses yeux, vous ne méritez autre que le purgatoire.
Or, bénissez-là : elles vous laisse une seconde chance. Précisons bien que ce sera la dernière. Distrayez-la. Et bien.
La dénommée Arvalis est prise de convulsion. Ses membres, empreints d'affreux tremblements, se détachent peu à peu de son corps ; une autre "elle" se dédouble, apparaît alors face à la petite assemblée. Ses globes oculaires, d'un noir absolu, ne semblent pas être animés par ce que l'on appelle vie. Ce monstre est sanguinaire, prêt à vous anéantir.
Or, la ressemblance est tellement frappante que vous ne faites pratiquement pas de différence entre l'originale et la copie. En revanche, vous vous voyez désormais dans l'obligation de choisir votre camp. Ferez-vous le bon choix, échappant ainsi aux griffes de l'esquisse ? Ou, au contraire, sombrerez-vous dans de profondes abysses, animés par une folie pure ? Cela est à vous seul d'en décider.
Mais faites attention, dessinateurs : pendant le temps qui s'écoule, l'usurpateur cherche à réduire Arvalis au néant. Encore une fois, faites le bon choix...
Or, bénissez-là : elles vous laisse une seconde chance. Précisons bien que ce sera la dernière. Distrayez-la. Et bien.
La dénommée Arvalis est prise de convulsion. Ses membres, empreints d'affreux tremblements, se détachent peu à peu de son corps ; une autre "elle" se dédouble, apparaît alors face à la petite assemblée. Ses globes oculaires, d'un noir absolu, ne semblent pas être animés par ce que l'on appelle vie. Ce monstre est sanguinaire, prêt à vous anéantir.
Or, la ressemblance est tellement frappante que vous ne faites pratiquement pas de différence entre l'originale et la copie. En revanche, vous vous voyez désormais dans l'obligation de choisir votre camp. Ferez-vous le bon choix, échappant ainsi aux griffes de l'esquisse ? Ou, au contraire, sombrerez-vous dans de profondes abysses, animés par une folie pure ? Cela est à vous seul d'en décider.
Mais faites attention, dessinateurs : pendant le temps qui s'écoule, l'usurpateur cherche à réduire Arvalis au néant. Encore une fois, faites le bon choix...
(Merci à Ara' pour la super signature ♥)
Qu'est-ce qui est jaune et qui traverse les murs ?
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Eelis
Mar 9 Oct - 21:46
c'est nécessaire !
PV. Plushie & Arvalis
En affaires, il y a deux choses à savoir. Premièrement, il faut être capable d’analyser l’expression de la personne avec qui l’on « deal ». Le moindre battement de cil trahit quelque chose, tel qu’un rictus peut annuler un échange, même s’il n’a duré qu’une seconde. Au poker, traquer la sueur qui perle sur le front, c’est pareil. Dans l’Esquisse, ça semble être plus compliqué. Puisqu’il arrive fréquemment de négocier avec l’invisible.
Heureusement, il est possible de compter sur le deuxièmement ! Analyser réactions et mouvements, façon de s’exprimer et habitudes. Sur internet, notamment, on peut s’en servir. Un chiffre noté sur le coin d’une photo peut nous en dire bien plus qu’on ne pourrait le penser, et permet de remonter aux origines de l'histoire...
Seulement, il est compliqué de jouer les analystes quand on ne l’est pas et qu’une créature sombre comme la nuit, accompagné d’une gamine qui – visiblement – ne sait pas que même un adulte débile doit être respecté. Eelis, tu soupires. Avec ces faux airs de peluche adorable, le dragon te donne la nausée. Ne peut-il donc pas comprendre à quel point l'enjeu est important ? Non, au lieu de ça, il dit :
« Monsieur, pouvez-vous lâcher ce lapin ? Je me sens mal pour lui … s’il vous plait. » de ce ton à la fois navrant et rocailleux.
Exaspéré, tu préférerais ne pas leur répondre. La situation est critique, et il semblerait que tu sois le seul être doté de raison à ce moment-là ! Ridicule. Toi aussi tu es fou, tu le sais, peut-être plus. Et ça rit, là-haut, là où tu ne vois plus rien d'autre que le brouillard. Qu'y a-t-il derrière ? Mystère. Et tu n'as plus le temps.
« Mis à part si vous avez quelque chose de mieux pour sauver notre peau, malheureusement ça ne sera pas pos- »
À peine essaies-tu d’expliquer à quel point la perte du lapin est nécessaire, que la petite s’accroche à toi en criant, alors qu’elle semblait parfaitement méchante et insensible juste avant. Bon, tu te doutais bien qu’elle ne ferait pas uniquement "coucou" de la main au lapin, mais ça t’était sorti de l’esprit. Peut-être.
« HAAAAAAAAAAAAAAAARE !!! REND LE MOI ESPECE DE VIEUX CHNOQUE DEBILE !!! ET PUIS TU PARLES A QUI LA ?! LE SEUL TRUC FLIPPANT ICI C'EST TOI !! REND MOI MA PELUUUUCHE !!!! »
Peut-être les jeunes sont-ils plus compréhensibles ? Peut-être elle, qui semble à peu près humaine malgré les oreilles qui coiffent sa tête, peut-être pourra-t-elle saisir ?
« Bon, écoute-moi. Nous sommes cernés par une créature invisible qui tente de nous manger. Parfois certains sacrifices sont nécessaires pour assurer la survie de l’espèce humaine, et je te promets que si tu nous donnes ton doudou tu auras des bonbons à la fraise en récompense. Tu aimes les bonbons à la fraise, n’est-ce pas ? Tu es un- »
Te retournant soudainement vers « Arvalis » qui venait de se nommer, tu remarques qu’il agit anormalement… Peut-être perd-il patience et veut-il lui aussi vous dévorer. Voilà pourquoi il faut toujours écouter les grands ! Certes, tes savants calculs ne prévoyaient pas le dédoublement de la créature. Enfin ! Deux pour le prix d’un, c’est ce qui s’appelle faire une bonne affaire, non ? Nice deal.
Le seul moyen de te sauver – et éventuellement la petite fille si elle coopère, tu aimes les enfants tout de même – étant de rassasier la créature avec ce lapin en peluche, il faudrait réussir à la convaincre que ta cause est juste. Juste, sensée, cohérente, incontournable.
« …brave petite. Si tu veux revoir ton papa, il faut être sage et m’aider à nourrir ces choses qui veulent nous bouffer. »
Tu soupires. Dire que tu voulais juste te suicider, voilà que l’occasion se présente et que tu refuses ?
- HRP:
- Navrée du post laid et mal foutu, mais j'ai trop peur d'oublier et de traîner t_t
Invité
Invité
Sam 13 Oct - 11:54
Ça fessait mal. Arvalis avait un point de coté. Un douleur qui ne cessa d'augmenter pour se figer au extrémités de ses membres. La douleur était insupportable, et bientôt, Arvalis en fut prise de convulsions. Elle s'évanouit juste au moment ou elle commençait à se dédoubler. C'était comme si on lui arrachait une à une, les parties de son corps. Quand elle se réveilla, une autre Arvalis se tenait près d'elle. Passé la phase de la surprise, ce monde était étrange. Elle avait fini par si habituer, à force. Elle remarqua que la nouvelle venue avait un sourire sur les lèvres. Un sourire ? Elle devait être très gentille pour se soucier ainsi d'elle. Une autre bizarrerie de cet endroit. Elle aurait pu très bien être méchante. Mais non, Arvalis ne se doutait pas une seconde de la gentillesse de cette seconde chauve souris transgénique. Avant de se rappeler que sur son corps, les sourires n'existaient pas. Quand ses lèvres fessaient un tel angle, c'était pour croquer dans quelque chose. Malheur ! Arvalis roula dans la poussière, hors de cette bête sauvage au moment ou celle ci plongeait sur elle pour l'attaquer.
Bon sang, c'est vrai qu'elle était effrayante. Avec ses énormes griffes et ses dents disproportionnées. Ses yeux noirs et son attitude sauvage. Cette méchante boule de poils en ferrait presque peur à notre véritable Arvalis. Qu'es que je raconte ! Bien sur qu'elle avait peur d'elle. Elle en était tellement terrifiée qu'elle n'arrivait pas à aligner deux pensées cohérentes. Se relevant prestement, Arvalis décida de s'enfuir. Sans penser à quoi que ce soit d'autre. S'enfuir. Loin des griffes et des crocs de cette Bad-Arvalis. Elle savait à quel point ils pouvaient faire mal. Mais celle ci en décida autrement et lui sauta dessus. Arvalis hurla, son double lui avait mordu la patte avant gauche jusqu'au sang. Et à un croire le craquement qui avait suivit, cette attaque n'était pas sans conséquence.
« je … je t'en supplie. Ne pouvons nous pas trouver un terrain d'entente ? Je … je ne veux pas te combattre ! »
Sans attendre, Bad-Arvalis grogna et tenta de lui sauter dessus. Arvalis l'évita sans problème. Le seul hic, c'est que cette chose velue ( avait t' elle vraiment autant de poils ? OwO ) continuait sur sa lancée et couru jusqu'à ses deux compagnons. Le fou et la petite fille. Arvalis courus après son double, sans toutefois arriver à la dépasser. Allaient t' ils les confondre ? Allait t' ils faire le mauvais choix ?
Bon sang, c'est vrai qu'elle était effrayante. Avec ses énormes griffes et ses dents disproportionnées. Ses yeux noirs et son attitude sauvage. Cette méchante boule de poils en ferrait presque peur à notre véritable Arvalis. Qu'es que je raconte ! Bien sur qu'elle avait peur d'elle. Elle en était tellement terrifiée qu'elle n'arrivait pas à aligner deux pensées cohérentes. Se relevant prestement, Arvalis décida de s'enfuir. Sans penser à quoi que ce soit d'autre. S'enfuir. Loin des griffes et des crocs de cette Bad-Arvalis. Elle savait à quel point ils pouvaient faire mal. Mais celle ci en décida autrement et lui sauta dessus. Arvalis hurla, son double lui avait mordu la patte avant gauche jusqu'au sang. Et à un croire le craquement qui avait suivit, cette attaque n'était pas sans conséquence.
« je … je t'en supplie. Ne pouvons nous pas trouver un terrain d'entente ? Je … je ne veux pas te combattre ! »
Sans attendre, Bad-Arvalis grogna et tenta de lui sauter dessus. Arvalis l'évita sans problème. Le seul hic, c'est que cette chose velue ( avait t' elle vraiment autant de poils ? OwO ) continuait sur sa lancée et couru jusqu'à ses deux compagnons. Le fou et la petite fille. Arvalis courus après son double, sans toutefois arriver à la dépasser. Allaient t' ils les confondre ? Allait t' ils faire le mauvais choix ?
Invité
Invité
Mar 6 Nov - 18:58
Y en a deux ?!
« Bon, écoute-moi. Nous sommes cernés par une créature invisible qui tente de nous manger. Parfois certains sacrifices sont nécessaires pour assurer la survie de l’espèce humaine, et je te promets que si tu nous donnes ton doudou tu auras des bonbons à la fraise en récompense. Tu aimes les bonbons à la fraise, n’est-ce pas ? Tu es une …brave petite. Si tu veux revoir ton papa, il faut être sage et m’aider à nourrir ces choses qui veulent nous bouffer. »
Plushie ignora superbement le vieil homme avec un poli :
« LA FERME !! REND !! ET TES BONBONS, TU TE LES MET LA OU JE PENSE, OK ?!!! »
Elle continua de tirer férocement sur la peluche qui elle aussi laissait échapper de petits cris de désarroi, d'indignation et d'autres choses encore.
C'est alors qu'elle vit l'autre peluche, et qu'elle daigna se tourner vers elle, les joues mouillées de larmes. Tiens ? Depuis quand est-ce qu'il y en avait deux ?
Surprise, Plushie essuya ses larmes du revers de la main et regarder les deux créatures tour à tour.
Les deux fonçaient vers elle. Les deux se ressemblaient. Qu'allait-elle faire ?
Plushie, ne sachant pas quoi faire, décida de s'en remettre au choix du vieux fou : elle s'accrocha - en tant que gamine - à sa jambe en hurlant et le suppliant de l'aider à fuir.
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Eelis
Mer 26 Déc - 0:07
allons dans le clocher..
PV. Plushie & Arvalis
« LA FERME !! RENDS !! ET TES BONBONS, TU TE LES METS LÀ OÙ JE PENSE, OK ?!!! »
Les enfants manquent de coopération, et cette gamine a été relativement mal élevée semblerait-il. Incapable de comprendre la gravité de la situation, tellement importante qu'il est nécessaire de répéter le mot gravité une seconde fois pour soutenir le propos, et de sacrifier un morceau de coton pour sauver sa propre peau. Cependant, tu n'as pas spécialement envie de la voir pleurer, même si c'est une peste de première. Te mordant la langue, voyant très justement l'une des deux bêtes qui approche, et pas très gentiment, tu as presque envie de sacrifier le doudou ET la gamine.
Mais, revirement de situation, la petite s'accroche à ta jambe et te supplies de l'aider. Bah voyons. C'est toujours dans les situations critiques qu'il faudrait voir arriver un justicier masqué pour sauver l'innocent vieil homme - toi - et son pot-de-colle des deux terribles monstres assoiffés de sang ! Comme s'appelait-il déjà ? Spaderman ? Non... Spadirman ? Non plus.
« SPIDERMAAAAAAAN ! » cries-tu, tel un "Eurêka".
Sauf que les bestioles approchent toujours. Tu te retournes vers le clocher ; c'est votre seule solution. Tu agrippes la petite comme un sac de patate, tu la hisses et tentes de courir tant bien que mal jusqu'au grand bâtiment. Plusieurs fois, tu manques de tomber, parce qu'un brownie se sera glissé en travers de ta route. Plusieurs fois, tu rassembles ton courage pour aller encore plus vite.
La chauve-souris géante n°1 - enfin la plus proche - parvint à se saisir de ton mollet pour te faire durement retomber. (c'est cheveux-roses qui n'a pas dû apprécier) Elle est tout proche, son souffle nauséabonde parvient aisément jusqu'à vos narines, ses yeux brillants te font frissonner. Profitant d'une énergie étrangement et temporairement inépuisable, tu donnes un gros coup de pied dans son poitrail, et continues ta course folle avec ton colis (et son lapin, tu n'as pas envie qu'elle te pique une crise). Plus que deux pas.
La porte s'ouvre dans un fracas assourdissant. Dans la précipitation, tu poses assez brutalement l'enfant sur le sol et repousses les deux battements pour tenir l'ennemi à l'écart. Tentative plus ou moins fructueuse, puisqu'on toque apparemment de façon violente.
« Prête à te farcir quelques escaliers !? » demandes-tu gaiement à ta camarade d'infortune.
Si vous voulez continuer je veux bien, et, humph, encore désolée >.<
Et si ça convient pas, bien sûr, vous diiites !
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