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Canvas - It's so unreal

Alev
Allez râlez pas, racontez-moi plutôt vos complexes !
Personnages : Alev
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Date d'inscription : 22/01/2015
Alev
Mer 11 Avr - 23:31

Canvas




APPELLATION
Tu te prénommais Alexander, mais tu appréciais aussi le réduire à Alex. Lui se nomme Canvas.

ÂGE
25 ans.

NATIONALITÉ
Tu étais roumain. Il dit être esquisséen.

GOÛTS
Tu étais bon vivant, tu appréciais faire la fête, la musique rock, les BDs (parce que les gros pavés, ça te faisait peur), tu étais passionné d’astronomie, et tu n’étais pas difficile en termes de nourriture. Tu aimais passer du temps avec tes amis, l’humour sous toutes ses formes. Tu détestais stresser ou te faire du souci, tu t’écartais bien souvent du travail et des responsabilités quand tu sentais la pression monter.

Canvas aime toujours l’Esquisse, malgré les derniers événements. Son dévouement pour sa Déesse s’est quelque peu terni, mais il continue de chercher le moyen de parvenir à ses fins. Même si le regard qu’il porte sur ce monde a changé, une chose est certaine, c’est qu’il déteste toujours autant les cyantifiques et les dessinateurs.

ARRIVÉE DANS L'ESQUISSE
Jour 6



Caractéristiques



♦️ CONSTITUTION PHYSIQUE : Plutôt élevé. Canvas est bien constitué, et a un corps assez sportif, sans être très musclé. En somme, il se débrouillerait assez pour échapper aux objets ou aux dangers qui lui feraient face.
♦️ HABILETÉ : Plutôt élevé. Il arrive assez facilement à manier les objets dont il se saisit, en comprend rapidement les principes.
♦️ FACULTÉS MENTALES : Plutôt bas. Sa compréhension de l’Esquisse est de l’étrange, voir du paranormal. Sa perception du monde est floue, relèverait du délire pour ceux qui l’ont déjà entendu en parler. Bien qu’il comprenne où est le danger et où est la sécurité, sa façon de vénérer une entité qui semble inexistante est assez inquiétante.

♦️ MÉDECINE : Inconnue. Il est plus doué pour blesser que pour soigner.
♦️ BRICOLAGE : Inconnue. La plupart des objets qu’il utilise sont déjà prêt à l’emploi.
♦️ MAÎTRISE DES ARMES BLANCHES : Adepte. Il s’est assez entraîné au maniement de l'épée pour se battre.
♦️ MAÎTRISE DES ARTS MARTIAUX ET DU COMBAT À MAINS NUES : Adepte. Canvas a quelques notions sur le combat à mains nues, assez pour se défendre.
♦️ MAÎTRISE DES ARMES À DISTANCE (arc, pistolet, lance-pierre...) Inconnue. Il n’y a jamais touché.
♦️ CUISINE : Inconnue. Il ne se soucie pas vraiment de cuisine, et ne cherche pas plus loin que de saisir de quelque chose de comestible pour se nourrir.
♦️ SCIENCES APPLIQUÉES (chimie, biologie, géologie, etc) Inconnue. Canvas ne se souvient de rien de ce que connaissait Alex en ce qui concerne la science, notamment l’astronomie.
♦️ CONDUITE DE VÉHICULES : Inconnue. Il ne saurait pas piloter un engin esquisséen.


♦️ PARTICULARITÉS :
Alexander était brun, avait les yeux marrons, tout ce qu’il y a de plus banal. Une plongée dans une tempête a changé la peau de Canvas, la rendant très blanche, tout comme ses cheveux sont devenus blancs, et ses yeux dorés.

♦️ NIVEAU DE DIFFICULTÉ SOUHAITÉ :
Difficile.

Description




Tu étais né dans une petite ville tranquille, en Roumanie. Tu étais un enfant ordinaire et bien portant. Tes parents te choisirent pour prénom Alexander. Tu avais quelques oncles et tantes, des grands parents, mais tu étais surtout entouré de ton père, de ta mère, et de ta sœur ainée. Tu étais un garçon rêveur, tu souriais beaucoup, tu aimais jouer. Dans ta petite enfance, tu étais passionné par les étoiles, alors tu disais vouloir devenir astronaute. Ta famille souriait, ta sœur en riait, tu ne comprenais pas pourquoi. On t’expliquait que ce n’était pas un métier facile, qu’il fallait peut-être poser les pieds sur terre, pourtant, tu répondais ne pas vouloir abandonner ce rêve, tu étais persuadé que tu allais y arriver, et tu observais les étoiles, à l’œil nu.

Quelques années plus tard, ton petit frère venait au monde. De ton côté, l’école ne te réussissait pas, l’instituteur te qualifiait d’enfant distrait, peu attentif, et assez bavard. Forcément, tes parents n’en étaient pas contents, et t’incitaient à travailler plus. L’effet recherché ne vint pas, tes notes avaient encore dégringolé, la menace et la pression ne t’étaient pas d’une grande aide. Tes parents avaient aussi tenté le soutien scolaire, mais la vérité semblait être que tu étais un gentil garçon, mais un garçon qui n’était pas doué. On ne t’en demandait pas trop, si ce n’était d’essayer d’être le plus moyen possible.

Tu n’aimais pas l’école, mais tu aimais te balader après les cours. Avec tes camarades, tu allais au magasin de BD, pour en acheter quand tu avais quelques sous, ou alors pour les lire sans les acheter jusqu’à ce que le boutiquier vous demandait plus ou moins poliment de dégager le plancher. Tu n’avais pas perdu tes idées, alors tu allais aussi consulter des livres sur les étoiles et les constellations, parce que tout ça te passionnait toujours autant. Et tu adorais y passer du temps, parfois un peu trop ; tu te fatiguais et cela influençait négativement tes performances à l’école.

En parlant d’école. Le collège était ton pire ennemi. Tu commençais à détester l’école, elle qui te faisait perdre du temps, et le malaise augmentait alors que ton père et ta mère te comparaient à ta sœur qui était partie pour faire de longues études, et ton frère qui était déjà un garçon intelligent. Tu préférais trainer avec tes amis, parfois un peu tard le soir, tu préférais t’amuser plutôt que de te limiter à tes soucis. Cela devenait un défaut de plus en plus grand, surtout quand on constatait à quel point ta situation ne s’améliorait pas. L’été de tes quatorze ans, tu avais trouvé un petit boulot d’été pour te faire ton argent de poche, à aider des voisins. A la fin de l’été, tu avais gagné une certaine somme, et ton père espérait que, comme à son âge, tu allais t’acheter un vélo. L’expression de grande surprise sur les visages des membres de ta famille, quand tu étais revenu avec un télescope flambant neuf, tu ne l’avais pas oublié de sitôt.

Alors que ton petit frère semblait promis à un avenir brillant et que ta grande sœur décrochait un beau diplôme, tu entrais au lycée. Tu n’étais toujours pas brillant, au contraire même, tu semblais être parmi les recalés des cours et des enseignants. L’éducation ne t’intéressait pas, tu préférais attendre que la journée se terminait pour t’amuser ou t’adonner à ce qui t’intéressait le plus. Tes parents semblaient être assez inquiets, déçus, et tentaient de te raisonner, mais tu avais déjà fait tes choix, et contrairement à ce qui était fait pour ta sœur et ton frère, tu ne ferais pas de longues études.

Il y avait bien un élément qui te donnait envie de retourner au lycée, c’était Irina, la jolie fille de ta classe, dont tu essayais de te rapprocher sans succès. Ce fut au bout d’un moment qui fut long que la jeune fille avait décidé de s’intéresser à toi ; au bout de quelques rendez-vous vous étiez en couple. A partir de là, tu te fichais un peu de ton avenir, tu étais heureux tel que c’était. Le temps passait, et la fin des études aussi ; tu n’étais pas doué, alors tu n’en décrochas aucun, tandis que la plupart de tes camarades avaient plus ou moins trouvé de quoi travailler ou prolonger leurs études. Tu te débrouillais entre plusieurs petits boulots, et Irina choisissait de s’inscrire à l’université. Avec les mois qui passaient, vous parveniez tous les deux à joindre les bouts, et finalement vous emménagez ensemble dans un studio.  Tu arrivais enfin à trouver un emploi stable, en tant que taxi.

Mais tout n’était pas aussi rose que tu ne l’avais imaginé. Vos vies respectives étaient remplies, et vous aviez du mal à vous voir dans la journée. Vous aviez tout de même réussi à passer plusieurs années ensemble, à vivre une histoire à deux. Toi, tu restais le même, fidèle à toi-même, tu aimais cette tranquillité, partagée entre ta petite amie et les sorties avec tes amis. Irina changeait, prenait de la maturité, voulait passer à autre chose. Alors elle avait fini par te quitter, pour passer à une autre étape. Tu eus du mal à passer à autre chose, tu tentais d’oublier ta douleur en passant des soirées trop arrosées avec tes amis, tu essayais de te tromper derrière des airs de joie. Depuis lors, tu n’avais pas eu de nouvelles de ton ex petite amie, et tu jongler entre le métier de taxi le jour et les longues nuits de beuveries.

Non, tu n’avais pas totalement perdu de vue tes envies d’astronomie, c’était même l’activité qui te permettait de joindre les deux bouts. Tu semblais bien avoir tout raté, ta vie familiale, ta vie professionnelle, et ta vie sentimentale désormais. Tu allais de temps en temps rendre visite à tes parents, ton frère et ta sœur ; tu évitais de leur parler de tes quelques soucis que tu minimisais en faisant de vagues gestes de la main. Parfois tu préférais tout simplement t’isoler, la solitude t’arrangeait bien.

Durant tout ce temps, tu n’avais pas eu de nouvelles d’Irina. Puis elle était revenue te contacter, pour t’annoncer une nouvelle qui te chamboula, ou chamboula ta vie, c’était entre les deux, peut-être bien les deux. Tu avais une petite fille, âgée de quatre années, qui d’après la mère voulait connaître son père. Ta première réaction fut de tenter une fuite, mais force était de constater que la petite lui ressemblait assez et que son âge portait à croire qu’il en était bien le père. La situation était des plus gênantes, si ce n’était la plus gênante de ta vie, tu ne t’étais jamais imaginé parent, et encore moins que cela te tomberait ainsi sur la tête.

Et plus tu passais du temps avec elle, plus tu trouvais qu’elle te ressemblait, pas seulement physiquement. Elle te regardait, une lumière dans les yeux, elle semblait t’admirer, tu ne comprenais pas pourquoi. Tu n’avais rien d’admirable, tu ne pensais pas que tu le méritais, mais cela te remontait le moral, tu te sentais mieux, et doucement te venait le désir de prendre ton rôle de parent à cœur. Il t’arrivait de la garder des journées entières, parfois plusieurs jours consécutifs quand Irina te laissait, et tu avais préalablement fait en sorte que ton petit appartement puisse accueillir un enfant dans les règles de l’art.

Ta vie semblait retrouver équilibre et couleurs, tu aimais lui expliquer et lui montrer l’astronomie, et la petite s’y intéressait. Puis tout bascula un jour, où au parc, elle avait fait un accident. Les résultats furent une tournée à l’hôpital et un plâtre au bras. Le médecin disait que ça n’était pas grand-chose, mais Irina te répétait que cela aurait pu être pire. Dans son inquiétude, elle avait choisi d’arrêter de te ramener la petite. Tu la voyais rarement, à peine quelques minutes. Tu te sentais raté et bon à rien, et cela te semblait être définitif.



Puis à la suite d’une nuit sans rêve, tu t’étais réveillé dans un monde étrange. Le ciel était violet, les objets étaient vivants, et dangereux qui plus est. Tu n’y comprenais rien, tu pensais que c’était un mauvais rêve, et que tu allais te réveiller. Et pourtant, la journée continuait, comme si de rien était, comme si la Terre n’avait jamais existé. Un groupe de personnes était aussi ici, dans ce qu’ils appelaient l’Esquisse, dans cet endroit qu’ils nommaient la Ville. Ils survivaient avec ce qu’ils avaient, ils réussissaient à vivre malgré tout. Tu ne te sentais pas à ton aise, et tu n’aimais pas tellement le travail, alors tu préférais fuir la tâche plutôt que d’aider. Mais tu te retrouvais bien vite à mettre la main à la pâte avec les autres, parce qu’ils finissaient par te retrouver, tu ne partais jamais très loin.

Tu t’étais persuadé pendant deux bons jours que tout ceci n’était qu’un rêve et que tu te réveillerais bientôt, mais au bout d’un moment, tu t’étais résigné, c’était foutu, il n’y avait aucune issue et jusqu’à preuve du contraire tu continuerais de vivre en cohabitation avec des personnes aussi coincées que toi, et des objets vivants et meurtriers dans un monde qui semblait être sorti de la tête d’un enfant trop imaginatif. Et si c’était foutu, il valait mieux en profiter pour essayer de changer, de se montrer utile, plutôt que fuir. Pour une fois, tu allais faire quelque chose de différent.
Mais ce n’était pas pour tout de suite. Alors que tu allais retourner aider les autres, une tempête venue de nulle part t’emportait dans ses méandres.


Quand il ouvrit les yeux, sa première vision fut le ciel violet, au-dessus de lui. Il avait mal au crâne, tout était vide dans son esprit, peu de choses lui revenaient en mémoire. Alors qu’il contemplait le ciel, il se souvenait du nom de ce monde, l’Esquisse. Puis il se rappelait de son nom, son propre nom, Canvas. Il lui suffisait de respirer, de réfléchir, et petit à petit les pièces du puzzle s’assemblaient, comme les coups de pinceau d’un artiste pour compléter le tableau. Oui, tout lui revenait, et cela était une évidence, maintenant qu’il y repensait : sa mère, déesse de ce monde, lui avait demandé de nettoyer ce monde, de le purifier de ceux qui l’avaient ravagé. Les dessinateurs. Les cyantifiques. Il devait se débarrasser d’eux.

La première étape était de se procurer une arme. Il croyait que cela n’allait pas être compliqué, sauf que les objets non animés qui trainaient ça et là n’étaient pas à son goût. Pas assez tranchant, pas assez meurtrier. Il devait s’assurer qu’un coup porté allait porter ses fruits. Où trouver le bon outil ? Les rumeurs disaient que les meilleures armes se trouvaient être dans le repère de ceux qu’il haïssait le plus : la Base, forteresse des envahisseurs, des dessinateurs. Il allait devoir franchir la porte pour se procurer ce qu’il convoitait. A sa grande surprise, la forteresse n’était pas aussi bien gardée qu’elle n’en avait l’air, et il n’avait pas été dur pour lui de la pénétrer.

Les dessinateurs étaient finalement des êtres paresseux et désorganisés, et ce fut assez simple de trouver l’arme, avec l’aide de l’un des leurs, qui lui indiqua l’emplacement des armes sans même se soucier de ce qu’il pouvait advenir des siens, ou même de lui-même. Maintenant qu’il avait une épée, Canvas devait apprendre à la manier. Il avait du temps pour ce faire, peut-être trop selon lui, mais ce qu’il comptait était que, le jour suivant, il était prêt à accomplir sa mission.

Mais il n’enchaînait qu’échec sur échec. C’était comme s’il était incapable de le faire correctement. Combien avait-il croisé de dessinateurs ? Beaucoup, mais ses tentatives ne portaient pas leurs fruits. Comment ces créatures faisaient-elles pour survivre alors qu’elles semblaient inaptes à vivre en communauté, en cohésion ? Peut-être n’en avaient-ils même pas ne serait-ce que la volonté. Il s’était alors isolé dans un coin de la Ville, profitant du calme ambiant pour se remettre en question et réfléchir à une autre stratégie.

Mais sa mère ne désirait pas attendre. Le sol avait été comme secoué, avant que la Ville ne fût ravagée par les objets. Tout était abîme, tout était détruit. Etait-ce ce donc qu’Elle désirait ? Les envahisseurs étaient massacrés, il pouvait apercevoir du sang ça et là, mais il avait comme un sentiment d’insatisfaction, d’incomplétude. Non, il n’avait pas réalisé la mission qui lui était incombée, Elle était même parvenue à le faire seule. Dans le désordre, il avait été blessé par un objet, et dans la contrainte, il avait dû se joindre à ceux qu’il détestait le plus.

Le voyage avait été long. C’était une véritable torture de rester avec ces gens dont il souhaitait la mort, en plus d’avoir cette sensation d’être inutile, d’avoir échoué à son devoir. Ce qui était encore plus déroutant, c’était cette impression de déjà-vu qui lui restait en travers de la gorge, qu’il n’arrivait pas à expliquer et qui le dérangeait. Il ne savait plus comment aborder la question, si sa Déesse désirait encore de son aide, mais tout ce qu’il savait, c’était qu’il avait encore l’occasion de se racheter, de prouver qu’il méritait sa lumière…
Après tout, il restait encore des survivants.



Spoiler:


Dernière édition par Alev le Ven 13 Avr - 18:41, édité 2 fois


Alev cherche vos complexes en #b590db.
Canvas désire vous tuer en #8dbe6b.
Latrodectus tisse sa toile en #e04fc9.
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Kaoren
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Kaoren
Ven 13 Avr - 13:29
Nyah, tu arrives toujours à rendre tes personnages avec une humanité impressionnante, c'est vraiment sympa à lire ! Et remarquable, surtout dans le cas de Canvas, hum...
Juste un petit truc, on pense avec Eelis que s'entraîner quelques jours avec une épée ne suffit pas à prétendre au niveau expert en armes blanches. On le verrait plutôt adepte, ou il lui faudrait une justification plus forte (on rappelle que le niveau adepte est déjà bien supérieur au commun des mortels).
À part ça, pas de souci. Dès que ce détail est réglé, a priori, on te re-valide sans plus de cérémonie (juste quelques autres commentaires sur la fiche si Eelis se sent de le faire).


Distinctions:
Alev
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Alev
Ven 13 Avr - 18:45
Coucou 8D

C'est modifié !
En passant, petite suggestion, comme j'ai eu aussi des difficultés avec Alev, pourquoi pas ajouter le niveau "Débutant" entre Inconnue et Adepte ? Je trouve qu'il y a un assez grand fossé entre les deux, et débutant pourrait sous entendre que le personnage peut s'améliorer dans le domaine désigné.


Alev cherche vos complexes en #b590db.
Canvas désire vous tuer en #8dbe6b.
Latrodectus tisse sa toile en #e04fc9.
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Castor
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Castor
Ven 13 Avr - 23:42
Aaaaah Canvaaaaas ! Il faut vraiment que je ramène Turner... Mais ça devra attendre encore un peu


Striky parle en #d44242.
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Eelis
Sam 14 Avr - 15:50
Nyuuuh, Canvas ♥️ J'ai beaucoup aimé cette fiche. Comme l'a dit Kaoren, il paraît vachement humain, et c'est cool de pas tomber dans les clichés qui menacent habituellement les personnages "fous" (notamment le fait de surjouer et de rendre le perso "abusé"). Parce que du coup, ça donne envie de voir comment ça va évoluer, et il semble que ça puisse aller dans plein de direction. J'avoue également avoir ri sur la partie Canvas, je me le suis imaginé en méchant de dessin animé pour enfant qui passe son temps à essayer de piéger les méchants mais échoue à cause de quiproquos ou parce qu'il surestime l'intelligence et la prudence des gentils, ce qui rend le personnage attachant aussi en quelque sorte.

Bref, concernant la fiche en elle-même, aucun problème puisque le point mentionné a été corrigé. Donc...


Canvas - It's so unreal 99f4b050c06cc42c9d5b6d7b85edd765ab105192_hq
(Canvas lorsqu'il sera expert en arme blanche)

Félicitations !



Tu es donc validée à nouveau, et rejoint le cercle très fermé de ceux qui ont deux personnages. Pour ton premier, tu peux embêter Médor/Adeline/Dalton qui se dirigent vers l'arrière du labo ou Kaoren et Al qui dépriment à côté des toilettes (tu peux même les aider à vaincre l'araignée de la mort). Ou bien ouvrir un sujet quelque part en espérant que quelqu'un te rejoindra ou pour y installer un piège mortel, voire aller embêter Hertz et Watt en salle de réunion. En cas de problème, n'hésite pas à me MP~

Je te file ton code de transformation maintenant, et je l'ajoute au plus vite dans le registre :
Code:
<transformation perso="Canvas" />

Je ne te représente pas le forum, alors je te souhaite un bon jeu, et j'espère que je croiserai Canvas en jeu un jour ou l'autre ♥️


Concernant le niveau débutant, et les niveaux de compétence en général, nous comprenons bien ta remarque et c'est un point dont nous avons pas mal débattu. En fait, nous avons essayé a) limiter le nombre de niveaux, pour qu'il soit plus simple de "paramétrer"/estimer les dés, sinon ça devenait vite trop compliqué, à la fois pour égaliser les personnages entre eux et pour refléter leurs différences sur leurs chances de réussite, et b) prendre en compte ce qui était significatif dans le cas d'un lancer sur un D20. Dit autrement, y a-t-il une réelle et significative différence (sous-entendu, une différence qui impacterait le lancer) entre quelqu'un qui n'a jamais manié une épée et quelqu'un qui débute ? Entre quelqu'un qui n'a jamais su monter un meuble et quelqu'un qui a fait quelques fois un peu de bricolage ?
Après, peut-être que le terme "inconnu" est mal choisi en revanche, puisqu'il correspond autant à ceux qui n'y ont jamais touché  qu'aux débutants.
(Si tu veux débattre sur le sujet, n'hésite pas à répondre, je donne l'avis du staff mais tout peut être remis en question xD)



(Merci à Ara' pour la super signature ♥)

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