Deuxième partie ▬ Démence obscure.
Dim 26 Mai - 17:08
« Qui a éteint la lumière ? »
C'est la question que l'on peut se poser, dans cette salle où l'obscurité est devenue reine. Les écrans, presque tous éteints, diffusent par intermittence des images dignes d'un film d'épouvante. Si vous n'aimez pas vous perdre, alors vous deviendrez vite fou, devant ces portes qui apparaissent, disparaissent, reviennent et s'en vont, sans s'arrêter, et ces visages ensanglantés qui surgissent dans votre dos. On ne voit plus où l'on marche, et il semble impossible de deviner d'avance où se situe la sortie..
Mais ce n'est pas tout. On dirait que ces écrans ne servent pas qu'à être vus... Essayez de les toucher, et peut-être que..
Quelque chose arrivera.
Pour cette deuxième partie, l'étage est plongé dans le noir, donc :3 Je vous laisse vous relever un peu, et -comme le dit le message d'intro- vous amuser avec les écrans avant de lancer la suite !
Petit rappel : on résume ses messages en fin de post, et on évite -préférentiellement- d'écrire beaucoup de lignes pour que les autres puissent suivre ♥
Amusez-vous bien /o/
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Dim 26 Mai - 18:17
- Argh ! *entrée en scène*
Pouah, je pense que quelqu'un a dû ouvrir cette porte pendant que j'étais inconscient ! Quelqu'un m'a sauvagement assommé ! Et quand je me suis réveillé, des objets volaient tout autour, c'était juste HORRIBLE ! Bref, je me suis retrouvé dans cet étage avec des trucs de film d'horreur qui apparaissent sur des écrans louches avec des portes qui arrivent et repartent. C'est louche, moi je dis. Mais je suis là pour vous, chers spectateurs ! ♥ J'ai de la chance, mon super tapis volant est sur moi, étalé sur mon ventre. J'ai pas envie de me relever. Alors je reste, et comme j'entends des cris, je ferme les yeux, je me bouche les oreilles et je crie avec eux.
J'ai peur, je crie. Que vas-t-il m'arriver ? Je ne veux pas rester une seconde de plus tout seul dans cet endroit !
- PEUR:
- Septembre se réveille avec son tapis sur lui, il ferme les yeux, se bouche les oreilles, a peur et crie.
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Dim 26 Mai - 19:15
Woh. J'en suis toute retournée après ce tumulte. Volesphëra... Voilà donc le nouveau nom de ce qui était anciennement L'Oeuf. Cette porte était donc interdite ? Nous n'avions pas le droit d'y entrer ? C'est triste, j'avais bien envie de découvrir ce qu'il y avait... Qu'est-ce qui se cache derrière cette porte ? Nous le saurons peut être un jour.
Je fus éjectée au second étage. Ah oui, cet étage là. Il me fait peur, il était trop lumineux et les écrans m’appelaient, j'avais peur. Je me suis frottée les yeux. Cette salle autrefois lumineuse était devenue bien sombre... Je ne comprenais pas ce qu'il se passait, ils devaient se jouer de nous. La plupart des écrans étaient tous éteints, les seuls allumés diffusaient des images de films d'horreur. J'ai peur. Je me suis approchée d'une porte, hop, disparue. Qu'est-ce qu'il se passe ? Je me suis retournée et... J'ai fermé les yeux. Un visage ensanglanté était en face de moi. J'avais peur, très peur. Cette pièce était bien plus horrible que la dernière fois.
Je ne voyais pas où me menaient mes pas. J'avançais, doucement, espérant ne pas retomber sur ces étranges créatures ensanglantée... Je ne savais pas si j'étais seule à cet étage, je n'y voyais pas grand chose. Je me suis approchée vers la seule source lumineuse aux alentours. Un écran. Mais c'est étrange, on dirait qu'il ne diffuse pas d'images horrifiques... Et si... ?
Je l'ai touché. Ma main est comme passée au travers et là... Je l'ai vue. Elle.
Pandoooore. Comme on se retrouve ma petite. Tu vois, tu me vois même là où tu n'en espérais pas tant. Et si j'attrape ta main, et que je la tire vers moi... Qu'est-ce qu'il se passera ? Tu resteras enfermée dans cet écran en ma charmante compagnie ? Hihihi. Cela pourrait être drôle !
J'ai rapidement retiré ma main. Je n'avais pas compris ce qu'il s'était passé. Cette pièce me fait peur.
Je fus éjectée au second étage. Ah oui, cet étage là. Il me fait peur, il était trop lumineux et les écrans m’appelaient, j'avais peur. Je me suis frottée les yeux. Cette salle autrefois lumineuse était devenue bien sombre... Je ne comprenais pas ce qu'il se passait, ils devaient se jouer de nous. La plupart des écrans étaient tous éteints, les seuls allumés diffusaient des images de films d'horreur. J'ai peur. Je me suis approchée d'une porte, hop, disparue. Qu'est-ce qu'il se passe ? Je me suis retournée et... J'ai fermé les yeux. Un visage ensanglanté était en face de moi. J'avais peur, très peur. Cette pièce était bien plus horrible que la dernière fois.
Je ne voyais pas où me menaient mes pas. J'avançais, doucement, espérant ne pas retomber sur ces étranges créatures ensanglantée... Je ne savais pas si j'étais seule à cet étage, je n'y voyais pas grand chose. Je me suis approchée vers la seule source lumineuse aux alentours. Un écran. Mais c'est étrange, on dirait qu'il ne diffuse pas d'images horrifiques... Et si... ?
Je l'ai touché. Ma main est comme passée au travers et là... Je l'ai vue. Elle.
Pandoooore. Comme on se retrouve ma petite. Tu vois, tu me vois même là où tu n'en espérais pas tant. Et si j'attrape ta main, et que je la tire vers moi... Qu'est-ce qu'il se passera ? Tu resteras enfermée dans cet écran en ma charmante compagnie ? Hihihi. Cela pourrait être drôle !
J'ai rapidement retiré ma main. Je n'avais pas compris ce qu'il s'était passé. Cette pièce me fait peur.
- Spoiler:
- Et pof au second étage. Elle essaie de passer une porte qui disparaît et une personne ensanglantée a surgit, elle a eu peur. Elle a été à la seule source lumineuse à sa disposition mais en le touchant, elle a vu son autre elle.
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Lun 27 Mai - 8:56
il le peut !
John Smith eut toutes les peines du monde à se remettre debout : après avoir effectué une lente voltige jusqu'au deuxième étage – il avait reconnu à l'allée cette salle informatique (elle ressemblait beaucoup à celles des établissements scolaires, à ceci près que la nôtre était dépourvue de luminosité) – il fut dans l'incapacité de faire le moindre geste. Effectivement, les quelques courants d'air provenant des informaticiens – du moins, c'est pour cela qu'il les prit – l'avaient transbahuté ci et là sans lui laisser la possibilité de bouger.
Quand enfin tout redevint calme, John se redressa en veillant bien à ne pas se « plier ». Il scruta la salle derrière le dessin de ses lunettes : d'autres personnes se trouvaient être là, mais Johnny ne leur porta pas plus d'attention qu'à sa première pizza. Au lieu de ça, il alla, ébahi, s'asseoir devant l'un des postes informatiques. L'homme n'en croyait pas ses yeux – ni ses oreilles. Quelle aubaine ! Ses yeux bruns baignaient d'émerveillement. Il pouvait enfin… Il le pouvait…
Il inspira profondément. C'était le moment. Ses mains encore tremblante se rapprochaient du clavier de l'ordinateur, comme si ce dernier n'avait jamais été qu'une chose affreusement rare et précieuse.
John suspendit sa phrase. Sans doute la surprise était telle que les mots lui manquaient. Or, il se reprit, alluma l'écran de l'ordinateur et chercha l'icône d'Internet Explorer, qui devait très certainement se trouver sur le bureau. Il n'y connaissait pas grand-chose en informatique, mais était tout de même assez cultivé pour assimiler les bases.
Or, tout cela, naturellement, était bien trop beau pour être vrai. Car sur le moniteur, il n'y avait non pas un bureau, mais une fenêtre. Le genre qui bug souvent ; le genre de fenêtre qu'a notre ami John Smith chez lui, ayant tout juste les moyens de se payer un plombier - alors un informaticien ! Mais aussi le genre très casse tête.
Le genre « eh non ! Tu ne vas pas pouvoir leur envoyer un mail. »
Quand enfin tout redevint calme, John se redressa en veillant bien à ne pas se « plier ». Il scruta la salle derrière le dessin de ses lunettes : d'autres personnes se trouvaient être là, mais Johnny ne leur porta pas plus d'attention qu'à sa première pizza. Au lieu de ça, il alla, ébahi, s'asseoir devant l'un des postes informatiques. L'homme n'en croyait pas ses yeux – ni ses oreilles. Quelle aubaine ! Ses yeux bruns baignaient d'émerveillement. Il pouvait enfin… Il le pouvait…
Il inspira profondément. C'était le moment. Ses mains encore tremblante se rapprochaient du clavier de l'ordinateur, comme si ce dernier n'avait jamais été qu'une chose affreusement rare et précieuse.
- « Je…, se dit-il, je vais enfin pouvoir… »
John suspendit sa phrase. Sans doute la surprise était telle que les mots lui manquaient. Or, il se reprit, alluma l'écran de l'ordinateur et chercha l'icône d'Internet Explorer, qui devait très certainement se trouver sur le bureau. Il n'y connaissait pas grand-chose en informatique, mais était tout de même assez cultivé pour assimiler les bases.
- « Je vais enfin pouvoir leur envoyer un mail ! Leur dire où je suis – enfin, je ne le sais pas vraiment moi-même, mais qu'importe ! Mary, les enfants… »
Or, tout cela, naturellement, était bien trop beau pour être vrai. Car sur le moniteur, il n'y avait non pas un bureau, mais une fenêtre. Le genre qui bug souvent ; le genre de fenêtre qu'a notre ami John Smith chez lui, ayant tout juste les moyens de se payer un plombier - alors un informaticien ! Mais aussi le genre très casse tête.
Le genre « eh non ! Tu ne vas pas pouvoir leur envoyer un mail. »
- Spoiler:
- John est couché dans la salle, il se relève, il voit Septembre et Pandore sans pouvoir mettre un nom sur leurs visages, puis il s'assied devant un ordi en pensant pouvoir envoyer un mail à sa famille. Sauf qu'à la place s'affiche une autre page (qui bug).
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Folie d'Esquisse
Lun 27 Mai - 22:31
Eh non ! Tu ne vas pas pouvoir leur envoyer un mail.
Lorsque John eut la malencontreuse idée d’interagir avec le moniteur, et l'encore plus horrible idée de vouloir accéder à internet, tous les écrans de l'étage s'éteignirent automatiquement.
Un seul, le plus grand, au centre, affichait quelque chose. Trois mots, une ponctuation, qui flottaient là, écrits en rose, et cinq traits, visiblement désireux d'être remplis.
Voilà voilà, n'hésitez pas à tenter tout et n'importe quoi, sachant que l'écran est tactile, donc vous pouvez écrire ou dessiner dessus au doigt, à vos risques et périls...
Invité
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Mar 28 Mai - 8:08
S.O.S.
John Smith observa avec déception le moniteur s'éteindre. Blasé, il poussa un soupir las et scruta la salle à la recherche d'un engin opérationnel. Eh non ! Autour de lui, tous les écrans étaient aussi foncés qu'un ciel par la nuit la plus noir – bien qu'ici, la nuit… ne pouvait pas vraiment être qualifiée de « noire ». Par contre, indigo ou rose bonbon, ça marchait très bien.
Bref. L'homme commençait à perdre patience lorsqu'il aperçut, là, tout au milieu, un poste allumé. Ni une ni deux, le voilà assis devant : les mots « Mots de passe ? » suivis d'un champ d'écriture composé de cinq traits. Cinq lettres. D'un côté il fallait s'y attendre : de nos jours, bien des gens protègent leurs objets électroniques d'un code secret. Dans notre cas, le tout était de trouver lequel.
John aurait bien entré une absurdité telle que « 12345 », ou « ABCDE ». Et puis, il n'y avait pas d'indices, après tout : pas te photo de famille, de nom du chien inscrit sur un coin de l'ordi – en tout cas, c'est ce qu'il aurait fait, lui. N'ayant tout compte fait aucune idée du mot à entrer, et ne souhaitant pas gaspiller de chances, Johnny se retourna vers les deux énergumènes qui l'avaient précédé dans la salle. S'ils étaient informaticiens, ils devaient sûrement connaître le mot de passe – et l'entrer pour qu'un pauvre homme désespéré puisse parler à sa famille n'était vraiment pas grand-chose.
Bref. L'homme commençait à perdre patience lorsqu'il aperçut, là, tout au milieu, un poste allumé. Ni une ni deux, le voilà assis devant : les mots « Mots de passe ? » suivis d'un champ d'écriture composé de cinq traits. Cinq lettres. D'un côté il fallait s'y attendre : de nos jours, bien des gens protègent leurs objets électroniques d'un code secret. Dans notre cas, le tout était de trouver lequel.
John aurait bien entré une absurdité telle que « 12345 », ou « ABCDE ». Et puis, il n'y avait pas d'indices, après tout : pas te photo de famille, de nom du chien inscrit sur un coin de l'ordi – en tout cas, c'est ce qu'il aurait fait, lui. N'ayant tout compte fait aucune idée du mot à entrer, et ne souhaitant pas gaspiller de chances, Johnny se retourna vers les deux énergumènes qui l'avaient précédé dans la salle. S'ils étaient informaticiens, ils devaient sûrement connaître le mot de passe – et l'entrer pour qu'un pauvre homme désespéré puisse parler à sa famille n'était vraiment pas grand-chose.
- « S'cusez-moi, vous ne connaîtriez pas le mot de passe, par hasard ? Vous inquiétez pas, je suis clean, moi – je ne fais certes pas partie de ce groupe de terroristes qui nous pourrit la vie ! Mon nom, c'est John, John Smith, j'ai trente-six ans, et ça doit faire quatre mois que je cherche à parler à ma famille. Un peu d'aide ne serait pas de refus ! », ponctue-t-il avec un sourire qui se voulait convainquant.
Invité
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Lun 3 Juin - 19:27
Les objets t’en avaient parlés. Ils avaient décrit des cris, des pleure, des bruits étranges, le noir, la solitude, les explosions, les morts, la peur. Ils avaient tout décrit trop bien. Tu ne pouvais qu’en être sûr, c’est ça, la colère des personnes, là-haut, dans le ciel. De ces deux “choses” qu’on n'ose pas trop provoquer, parce qu’elles rient de nous quand l’on se fait découper en morceaux et qu’elles prennent plaisir à nous détruire. Elles savent faire des choses que nulle autre ne sait faire. Comme provoquer des tempêtes, partout, nulle part. Dans l’esquisse. Maintenant, tu sais pourquoi ils étaient si inquiets, tes amis les objets. Pourquoi ils voulaient tant te protéger. Ils ne souhaitaient pas que tu fasses partie de ces personnes, étendue par terre, baignant dans leurs sangs, et même celui des autres. Mais au fond, c’est comme si tu étais parmi eux. Parce que tu ne penses plus à rien. Tu es comme absente pendant que tout se déroule près de toi. Tétanisée de la réalité de toutes ses paroles prononcées si sérieusement mais dont tu t’étais amusée.
Pourquoi le monde est-il si méchant ? Il devrait être beau, amusant, emplis de châteaux de princesse, de robes rose, de noeud, de nounours, d’objets gentils, de coquillages et de perles. Chaque jour, en te levant de ton lit, tu devrais pouvoir être sereine. Et tu l’as lair, sereine, mais pourtant tu ne l'es pas, non. Autour de toi, c’est la peur, le chaos. Tu ne peux pas rester bien, là, sur esquisse. Tu devrais rentrer à la maison.
Oh, mais il fait si noir. Tu ne vois rien qui puisse t’indiquer le chemin. Tu vois juste des écrans et des choses bizarres. Comme les autres gens. Ils ne sont pas comme toi. ils ne pensent pas comme toi. Ils pensent et sont si différents qu’ils sont bizarres. Et toi, tu ne pourras jamais les changer. Comme ce monde, comme les objets, comme tout. Le mieux à faire, c’est partir d’ici. Fuir.
En attendant qu’un aimable panneau te donne la direction de la maison, l’autre, celle d’avant, où tu regardais des dessins animés de princesse et où tu jouais à la maman avec ton petit frère, ce petit frère dont tu ne te souviens de presque rien, tu vas vers un monsieur, devant un écran, qui demandait de l’aide. Tu aimerais bien l’aider, en lui disant ce que tu penses, sur ce mot de passe, mais rien ne sort de ta bouche, comme si tu étais muette. Alors, tu viens juste t’asseoir à ses côtés et, prise d’une folie soudaine, tu te mets à tapper sur l’écran, comme pour le casser.
Meurt, oui, meurt écran ! Meurt Esquisse !
Pourquoi le monde est-il si méchant ? Il devrait être beau, amusant, emplis de châteaux de princesse, de robes rose, de noeud, de nounours, d’objets gentils, de coquillages et de perles. Chaque jour, en te levant de ton lit, tu devrais pouvoir être sereine. Et tu l’as lair, sereine, mais pourtant tu ne l'es pas, non. Autour de toi, c’est la peur, le chaos. Tu ne peux pas rester bien, là, sur esquisse. Tu devrais rentrer à la maison.
Oh, mais il fait si noir. Tu ne vois rien qui puisse t’indiquer le chemin. Tu vois juste des écrans et des choses bizarres. Comme les autres gens. Ils ne sont pas comme toi. ils ne pensent pas comme toi. Ils pensent et sont si différents qu’ils sont bizarres. Et toi, tu ne pourras jamais les changer. Comme ce monde, comme les objets, comme tout. Le mieux à faire, c’est partir d’ici. Fuir.
En attendant qu’un aimable panneau te donne la direction de la maison, l’autre, celle d’avant, où tu regardais des dessins animés de princesse et où tu jouais à la maman avec ton petit frère, ce petit frère dont tu ne te souviens de presque rien, tu vas vers un monsieur, devant un écran, qui demandait de l’aide. Tu aimerais bien l’aider, en lui disant ce que tu penses, sur ce mot de passe, mais rien ne sort de ta bouche, comme si tu étais muette. Alors, tu viens juste t’asseoir à ses côtés et, prise d’une folie soudaine, tu te mets à tapper sur l’écran, comme pour le casser.
Meurt, oui, meurt écran ! Meurt Esquisse !
- Spoiler:
- Mimi s'assoit à côté de John et se met à taper contre l'écran devant lui.
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Folie d'Esquisse
Lun 10 Juin - 21:11
Comme ça, ils ne voulaient pas trouver le mot de passe. Ils ne voulaient pas essayer. Non. Ils préféraient taper dessus. Ils voulaient taper dessus. Ils fracassaient même les magnifiques écrans. C'était...
Inconcevable.
L'écran sur lequel s'acharnait le plus Mimi éclata, littéralement. Les fragments transparents se répandirent partout dans la salle, s'attaquant sans la moindre vergogne à tous les dessinateurs. Ils devaient payer le prix fort.
Son prix à Elle.
Une musique sinistre résonna. Elle s'infiltrait dans les oreilles, écrasait les sens, brouillait les perceptions. Une musique de mort, une musique qui vous faisait trembler. Et pourtant... c'était une mélodie connue. Connue, oui, mais étrangement inconnue ; celle-là était plus grave, plus touchante.
Soudain, Il apparut. Sur tous les écrans, sauf celui où était encore demandé le mot de passe, il était là. souriant. Dark Vador et son souffle saccadé vous regardaient. Et ils n'allaient pas vous laisser vous en tirer comme ça. Pas sans avoir joué un peu.
Sur l'écran adjacent à celui qui venait d'être brisé, apparut un plateau. Un damier, composé de cases noires et de cases jaunes. Un pion ébène était déjà avancé, face à vous, et il était écrit....
« À vous de jouer. »
Alors, pour cette suite, le principe est simple :
• En cliquant sur ce lien, vous devrez choisir le premier jeu d'échec de la liste ♥
Ensuite il vous faudra y jouer et... gagner contre l'ordinateur !
• Une fois que vous aurez gagné, il vous faudra screener votre réussite, et écrire un RP pour dire avec quel brio vous parvenez à triompher de Dark vador ! (en ajoutant votre screen)
• Vous pouvez toujours poster pour dire que vous échouez, bien sûr. Vador est patient, alors peu importe le nombre d'échecs, il recommencera à jouer avec vous.
Voilà voilà ♫
Bon jeu !
(Merci à Ara' pour la super signature ♥)
Invité
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Mar 11 Juin - 14:12
échec et mat
- « À vous de jouer. »
John Smith changea de chaise. En fait, il s'était écarté dès que la petite furie s'était mise à frapper l'écran devant lequel il était assis. En même temps, il pouvait comprendre : tout, ici, tout était sujet à la folie ! D'ailleurs, John n'aurait pas dit non au fait de pouvoir se boucher les oreilles ; cette musique était plus qu'éreintante. Cela lui rappelait tant de souvenirs : ses visionnages familiaux de Star Wars, par exemple. Et ce sentiment s'intensifia encore lorsque la silhouette de Dark Vador apparut à l'écran, bientôt rejointe par une fenêtre présentant un jeu d'échecs.
Seulement, petit hic. John savait jouer aux dames, au jeu de l'oie, aux petits chevaux même, mais pas aux échecs. Surtout pas aux échecs. John était un homme simple, et ce jeu, trop compliqué pour lui. Mais bon, tant qu'à faire, si c'était là le seul moyen de sortir d'ici, il pouvait toujours essayer. C'est ainsi qu'il mena une partie qui, comme nous l'attendions, se solda d'un superbe échec.
Échec.
Alors il y eut le déclic. L'évidence même. La logique inégalable. Il devait gagner une partie d'échecs, et c'est ce qu'il avait fait, finalement ! C'était comme le calcul des nombres relatifs : 3 + (-2) = 1. Il avait gagné une perte. Un échec. John réalisa que le plus important, c'était son état d'esprit, et non pas les règles du jeu en vigueur. Il éclata d'un rire triomphal avant de s'exclamer :
- « Ahahah ! J'ai réussi, venez voir ! J'ai gagné un « échec » ! C'est trop bien ! Et donc, là, ils sont censés me donner le mot de passe ? »
- Spoiler:
- John s'assied devant le poste sur lequel apparaissant le jeu d'échecs et Dark Vador. Il s'y essaye mais perd une partie, et comme il a eu un "échec" l'homme considère qu'il a réussi, qu'il a "gagné" le jeu. Donc il attend la suite.
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Folie d'Esquisse
Lun 1 Juil - 21:54
Il était déçu. Profondément déçu de voir que seul un pitre s'était prêté à son petit jeu d'échecs, lequel l'avait simplement décrété gagné en un tour de main, sur un jeu de mots qui déplaisait au Sith.
« Fffffff.... Ffffouuus... affffeeezzz..... ffffferrrrfffuuuu..., souffle-t-il, ... ffffouuus..... affffeeezz.... fffoooirr..... fffee... ffueee... ffffouus.... afffeeez.... fffoirrrr..»
Traduction : "Vous avez perdu, souffle-t-il, vous allez voir ce que vous allez voir !
Sa main jaillit de l'écran et s'enroula autour de la gorge de Septembre, avant de l'entraîner impitoyablement de l'autre côté. Le malheureux ne pouvait aucunement résister à cette étreinte, et ne put qu'y succomber malgré lui. Vous ne le reverriez peut-être jamais.. Il jeta également un regard avisé à Mimi, que l'on crut vaguement entendre miauler.
Mais heureusement, dans son effort, il fit tomber de sa manche une lettre de scrabble. Minuscule et blanche, elle semblait indiquer la lettre "E".
Cependant, le mot de passe en indiquait cinq. Ce qui signifiait...
Que la partie allait continuer.
Si le sourire de Dark Vador n'était pas perceptible au vu de son masque, il était probablement possible de le ressentir dans son rire, et dans sa façon de vous narguer. Désormais, sur l'écran, s'affichait un jeu beaucoup plus simple que le précédent, un jeu dont vous connaissiez tous les règles.
Qui savait ce qui pourrait vous arriver, cette fois, si vous échouiez...
Voilàà, alors j'imagine que tout le monde sait jouer au pendu ^^ c'est comme le pendu fou, il y a deux mots, et euh il vous suffira de dire en RP quelle lettre votre personnage propose ♥
Qu'est-ce qui est jaune et qui traverse les murs ?
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Eelis
Lun 1 Juil - 22:55
Double-post en RP, je souis trop forte ♥
Tu ne sais pas ce que tu fais ici. Tu descends les marches, incapable de contrôler tes pas, de reculer, de t'arrêter, d'esquisser le moindre geste. Oui, esquisser, c'est le geste. Car l'Esquisse est là, autour de toi, et tu en distingues presque les fils invisibles, enroulés entour des bras, de tes jambes et de ton torse. Tu as mal, mais c'est un marionnettiste vicieux qui te contrôle ; pour mener à bien son spectacle, il n'aura pas peur de casser ses chères créatures... il peut les remplacer à loisir, et qu'un vieux jouet comme toi, que vaut-il ? Rien, il finira dans la benne avec les autres, mais on continue de s'en servir parce qu'on aime pas le gaspillage. Tu n'es plus de première main, et tu le sais.
Alors tu descends, peu convaincu, dans cet escalier en alambic, jusqu'à ce que tu crois être le deuxième étage. Cet étage que tu ne peux pas regarder, pour éviter de voir des choses trop.. désagréables, quoi que tu aies déjà eu une belle affaire avec ton "fils". Ah, il te fait bien rire, celui-là ! Il est totalement faux, et on veut te faire gober que c'est une personne réelle ! N'empêche que tu aurais voulu l'enlacer, le serrer dans tes bras, et repartir avec lui.. Tu détestes les nuages de fumée.
Et tu détestes cet étage. Sombre, effacé, glacial. Légèrement effrayé, tu avances à pas légers jusqu'à la source des quelques bruits que tu crois entendre. Il y a un type qui parle de donner un mot de passe devant un écran et un plateau d'échecs. À côté de lui, le gamin qui s'est fait assommé devant la porte, Mimi, et celle qui s'est faite tacler par la gélatine au même endroit. C'est peut-être une réunion de victimes.. Mais si c'est ça ils ont mal choisi leur endroit, puisque l'enfant se fait kidnapper par le seigneur sith et qu'ils commencent à jouer au pendu. Ben voyons, le pendu ! Tu arrives en courant - qu'il est bon de courir à nouveau ! - jusqu'au petit groupe.
« Hey, salut Darky ! - et les autres - Moi, je propose un E, comme Eelis. »
Sur ces salutations, tu t'assoies dans un coin, parce que la partie va être longue au vu du nombre de lettres...
Perdu
Tu ne sais pas ce que tu fais ici. Tu descends les marches, incapable de contrôler tes pas, de reculer, de t'arrêter, d'esquisser le moindre geste. Oui, esquisser, c'est le geste. Car l'Esquisse est là, autour de toi, et tu en distingues presque les fils invisibles, enroulés entour des bras, de tes jambes et de ton torse. Tu as mal, mais c'est un marionnettiste vicieux qui te contrôle ; pour mener à bien son spectacle, il n'aura pas peur de casser ses chères créatures... il peut les remplacer à loisir, et qu'un vieux jouet comme toi, que vaut-il ? Rien, il finira dans la benne avec les autres, mais on continue de s'en servir parce qu'on aime pas le gaspillage. Tu n'es plus de première main, et tu le sais.
Alors tu descends, peu convaincu, dans cet escalier en alambic, jusqu'à ce que tu crois être le deuxième étage. Cet étage que tu ne peux pas regarder, pour éviter de voir des choses trop.. désagréables, quoi que tu aies déjà eu une belle affaire avec ton "fils". Ah, il te fait bien rire, celui-là ! Il est totalement faux, et on veut te faire gober que c'est une personne réelle ! N'empêche que tu aurais voulu l'enlacer, le serrer dans tes bras, et repartir avec lui.. Tu détestes les nuages de fumée.
Et tu détestes cet étage. Sombre, effacé, glacial. Légèrement effrayé, tu avances à pas légers jusqu'à la source des quelques bruits que tu crois entendre. Il y a un type qui parle de donner un mot de passe devant un écran et un plateau d'échecs. À côté de lui, le gamin qui s'est fait assommé devant la porte, Mimi, et celle qui s'est faite tacler par la gélatine au même endroit. C'est peut-être une réunion de victimes.. Mais si c'est ça ils ont mal choisi leur endroit, puisque l'enfant se fait kidnapper par le seigneur sith et qu'ils commencent à jouer au pendu. Ben voyons, le pendu ! Tu arrives en courant - qu'il est bon de courir à nouveau ! - jusqu'au petit groupe.
« Hey, salut Darky ! - et les autres - Moi, je propose un E, comme Eelis. »
Sur ces salutations, tu t'assoies dans un coin, parce que la partie va être longue au vu du nombre de lettres...
- Résumé:
Eelis arrive malgré lui au 2ème étage. Il arrive à toute allure jusqu'au reste du groupe et propose une lettre à son vieux pote Darky ! (bon ils ne sont pas potes, mais Star Wars quoi!)
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Ven 5 Juil - 15:08
Ah, vraiment ! Ce bonhomme déguisé en Dark Vador – même s'il était sur l'écran, il avait bien fallu quelqu'un pour le filmer – n'était pas fair-play du tout. Comme s'il savait jouer aux échecs, lui ! Non mais. John était tellement en colère qu'il ne remarqua la lettre de scrabble qu'après coup. Un E ! Si sa mémoire était bonne, il manquait quatre lettres. Donc encore quatre parties d'échecs... Il s'empressa de ramasser le petit cube – en pliant sa main au passage – et de le poser devant lui.
C'est ce qu'il crut jusqu'à ce que sur l'écran apparaisse de nouveau les tirets. Sauf que ce n'étaient pas ceux de la dernière fois, non, ils étaient bien plus nombreux. Et alors que le blondinet qui venait d'arriver proposait un « E comme Eelis » (ce qui devait probablement être son nom, son prénom ou sa ville natale), John prit conscience qu'il s'agissait d'un pendu. Comme ceux qu'il faisait avec sa fille pendant que son épouse s'occupait du petit dernier.
Bon joueur, il se prit au jeu.
C'est ce qu'il crut jusqu'à ce que sur l'écran apparaisse de nouveau les tirets. Sauf que ce n'étaient pas ceux de la dernière fois, non, ils étaient bien plus nombreux. Et alors que le blondinet qui venait d'arriver proposait un « E comme Eelis » (ce qui devait probablement être son nom, son prénom ou sa ville natale), John prit conscience qu'il s'agissait d'un pendu. Comme ceux qu'il faisait avec sa fille pendant que son épouse s'occupait du petit dernier.
Bon joueur, il se prit au jeu.
- « Et moi, je propose un S, comme Smith ! »
- Résumé :
- John ramasse la lettre de scrabble (E) qu'a fait tomber Dark Vador et propose une lettre à la suite d'Eelis.
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Folie d'Esquisse
Sam 6 Juil - 2:13
- Spoiler:
Dark Vador, derrière son écran, se frappa la main contre le casque. Si l'incompréhension avait pu votre visage parcourir l'espace d'une seconde, cette émotion aurait vite disparu en voyant le pendu s'actualiser.
(oui pardon je fais vite mais y'a pas grand chose à dire o/)(les autres, participeeez éè)
Invité
Invité
Lun 29 Juil - 18:13
Tu n’arrêtes pas de miauler. Tu te sens comme un chaton. Tu sens qu’on doit te protéger comme si avant que tu ne retrouves tes amis objets qui sont les plus gentils du monde. Tu as déjà oublié ton idée d’aller sur Terre, t’aime bien ici. T’aime jouer à la dinette avec Raplapla et tu aimes aussi t’occuper des petites gelées parce qu’elles sont très mignonnes. Elles sont à toi, en plus, tu ne peux pas les laisser comme ça parce qu’elles sont fragiles et que les autres personnes ne seront pas quoi leur donner à manger. Après, elles seront malade et tu ne seras pas là pour les guérir. Ce sera vraiment la chose la plus affreuse de tout l’univers, tu les aimes tellement !
Puis, d’un coup, tu sais ce qu’il faut faire ! Tu décides de faire des grands yeux ton doux et tous beau au déguisement dans l’écran, il te donnera peut-être la réponse. Tu t’approches à quatre pattes, tu as trop faim pour marcher et tu penches la tête sur le côté, ouvre un peu ta bouche, le regarde avec un air un peu triste et lui dit, d'un voix toute douce et mignonne:
« S’il te plaît, aide-moi. »
Puis, d’un coup, tu sais ce qu’il faut faire ! Tu décides de faire des grands yeux ton doux et tous beau au déguisement dans l’écran, il te donnera peut-être la réponse. Tu t’approches à quatre pattes, tu as trop faim pour marcher et tu penches la tête sur le côté, ouvre un peu ta bouche, le regarde avec un air un peu triste et lui dit, d'un voix toute douce et mignonne:
« S’il te plaît, aide-moi. »
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Folie d'Esquisse
Mar 30 Juil - 1:21
Face à la supplication de Mimi, Dark Vador n'eut pas la moindre réaction ; il n'était qu'une créature, un pantin articulé créé de Ses mains. Il n'était que la démence obscure des lieux, aucun sentiment ne pourrait jamais l'émouvoir. Une bourrasque secoua violemment la gamine et l'envoya s'écraser contre un autre écran.
Rien ne perturberait le jeu.
Rien.
N'hésitez pas à proposer des lettrrrres ♫ (même les posts d'une ligne vous avez le droit hein je vous taperai pas dessus au contraire ♥)
(Merci à Ara' pour la super signature ♥)
Qu'est-ce qui est jaune et qui traverse les murs ?
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Eelis
Mar 30 Juil - 1:36
Double-post en RP, encore une fois 8D
L'homme en papier propose un S ; tu ne le connais pas mais il te semble sympathique. Quant à Mimi, qui te semble soudainement devenue différente, elle s'approche de l'écran pour implorer Darky de l'aider. Tu voudrais l'arrêter, la prendre par la main et lui dire que même si à la fin du 6ème volet, on découvre qu'il n'est pas si méchant que cela, cela reste un seigneur Sith et...
À force de trop réfléchir, on en oublie le moment présent. Mimi est éjecté, et même si tu ne la connais pas vraiment, tu sais ce que sont les enfants, et encore plus les parents qui se retrouvent sans nouvelle des leurs. Elle a sûrement un papa et une maman qui l'attendent, quelque part, alors elle ne peut pas mourir ici. Pas comme toi qui n'as strictement rien à perdre.
Tu lui tends la main pour l'aider à se relever. Ceci fait, tu la regardes avec bienveillance.
« Ça va, petite ? Je te déconseille d'adresser la parole à ce type, il est méchant et a travaillé pour le chancelier Palpatine.»
Tu te retournes vers Vador.
« Je dis F, comme Finlande ! »
Tu te retournes vers cet homme en deux dimensions.
« Enchanté, moi c'est Eelis. Le papier... c'est de naissance ? Pas pratique ! »
Il faut bien connaître ses partenaires de jeu, après tout, parce que c'est plus amusant que de penser à la pièce sombre, à l'atmosphère inquiétante et au fait que tout le monde ici sait bien qu'il est coincé...
Et qu'il ne ressortira peut-être pas.
Pendu
L'homme en papier propose un S ; tu ne le connais pas mais il te semble sympathique. Quant à Mimi, qui te semble soudainement devenue différente, elle s'approche de l'écran pour implorer Darky de l'aider. Tu voudrais l'arrêter, la prendre par la main et lui dire que même si à la fin du 6ème volet, on découvre qu'il n'est pas si méchant que cela, cela reste un seigneur Sith et...
À force de trop réfléchir, on en oublie le moment présent. Mimi est éjecté, et même si tu ne la connais pas vraiment, tu sais ce que sont les enfants, et encore plus les parents qui se retrouvent sans nouvelle des leurs. Elle a sûrement un papa et une maman qui l'attendent, quelque part, alors elle ne peut pas mourir ici. Pas comme toi qui n'as strictement rien à perdre.
Tu lui tends la main pour l'aider à se relever. Ceci fait, tu la regardes avec bienveillance.
« Ça va, petite ? Je te déconseille d'adresser la parole à ce type, il est méchant et a travaillé pour le chancelier Palpatine.»
Tu te retournes vers Vador.
« Je dis F, comme Finlande ! »
Tu te retournes vers cet homme en deux dimensions.
« Enchanté, moi c'est Eelis. Le papier... c'est de naissance ? Pas pratique ! »
Il faut bien connaître ses partenaires de jeu, après tout, parce que c'est plus amusant que de penser à la pièce sombre, à l'atmosphère inquiétante et au fait que tout le monde ici sait bien qu'il est coincé...
Et qu'il ne ressortira peut-être pas.
- Résumé:
Eelis va aider Mimi qui s'est faite éjecter, propose une lettre et s'adresse à John parce que c'est mieux de s'entendre quand on va peut-être crever bientôt o/
Invité
Invité
Mar 30 Juil - 1:43
Tu voles loin et t'écrases contre un autre écran. Tu te retiens de pleurer, tu dois être forte, pour tes gelées et pour tous tes amis. Alors, tu te relèves courageusement à l'aide du papi gentille qui te met en garde et te plis aux règles. D'une petite voix tremblante, tu souffles quelques mots à l'affreux costume:
« La lettre I »
Parce que, même s'il est méchant, tu dois le faire. Pardon papi.
« La lettre I »
Parce que, même s'il est méchant, tu dois le faire. Pardon papi.
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Folie d'Esquisse
Mar 30 Juil - 1:50
Satisfait que le jeu reprenne, Dark Vador s'empressa d'actualiser l'écran du pendu.
Les choses commençaient enfin, et le mot apparaissait petit à petit.
Irez-vous jusqu'au bout ?
Invité
Invité
Mar 30 Juil - 2:04
Tu souris un peu. Tu es contente d'avoir trouvé une lettre mais tu es quand même en colère, de voir des personnes aussi vides dans leur coeur. Mimi, fais attention. Ne t'aventure pas dans des endroits trop dangereux. N'essaie pas de rendre l'impossible possible parce que tu n'y arrivera pas. N'essaye pas de perdre pour voir ce que ça fait. N'essaie rien, juste de te garder en vie.
« J'aimerais bien la lettre G. »
« J'aimerais bien la lettre G. »
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Eelis
Mar 30 Juil - 2:11
Pendu
Mimi ne te répond pas. Elle ne suit pas tes conseils ; non, elle joue, elle joue au pendu pour ne pas se voir au bout de la corde. Le F et le I sont bons, et quand elle se décide à proposer un G - comme gagner - te décides toi aussi de t'abandonner à ce seul divertissement.
Un mot qui termine en "IF".. Captif, peut-être... Sportif, ce serait amusant aussi, mais ça ne rentrera pas.
« H, comme Hachi parmentier ! »
- Résumé:
Eelis propose un C. Et c'est tout.
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Folie d'Esquisse
Mar 30 Juil - 2:14
Le jeu continuait.
Héhéh en matière de post le plus court de l'histoire j'ai vaincu Joseph ♥ (même si sous un MJ ça compte pas trop..)
(Merci à Ara' pour la super signature ♥)
Invité
Invité
Mar 30 Juil - 12:50
Les lettres s'affichent. Le mot a trouvé risque d'être difficile. Tu demandes la lettre A sans trop d’optimisme. Et finalement, tu te retournes pour parler au papi.
« Toi, ça fait longtemps que tu vis, alors, tu connais plein de mots, même celui qu'il faut trouver, non ? »
« Toi, ça fait longtemps que tu vis, alors, tu connais plein de mots, même celui qu'il faut trouver, non ? »
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Eelis
Mar 30 Juil - 17:47
Pendu
Le H fonctionne, pas le G. Le jeu continue, mais y a-t-il de l'amusement ? Pas vraiment, l'ambiance est morte, pétrifiée, et l'on ne peut que tuer le temps, s'il existe par ici.
« Toi, ça fait longtemps que tu vis, alors, tu connais plein de mots, même celui qu'il faut trouver, non ?
- Encore faudrait-il que le mot à trouver existe. »
C'est vrai, ça, cherche-t-on seulement quelque chose qui existe ? Il ne s'agit peut-être que d'un amalgame de lettres sans le moindre sens. Voilà qui s'annonce plutôt énervant.
« Disons... un L. »
- Résumé:
Eelis répond à Mimi et propose un L.
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Folie d'Esquisse
Mar 30 Juil - 17:51
(Merci à Ara' pour la super signature ♥)
Invité
Invité
Mar 30 Juil - 18:32
C'est vrai. ça se trouve, il n'existe pas, ce mot. Et toi, tu seras toujours coincé, là, tu ne pourras plus jamais jouer avec tes amis et les gelées. Tu ne pourras plus jamais épouser un prince, un vrai, parce qu'ici, il n'y en a pas. Tu seras toujours la Mimi qui est coincée elle ne sait pas trop où. Tu te lèves et marches comme tu peux, oubliant le jeu et abandonnant le papi, vers une porte. Tu la vois, elle semble si réelle. Elle, contrairement aux autres, ne disparaît pas quand on s'approche d'elle, et tu sembles si proche. Tu vas presque la toucher que.
Tu te prends les pieds dans des cheveux d'humains délaissés sur le sol. ça te fait glisser. La porte disparaît. Et toi, tu rentres dans un écran. Sans savoir comment y sortir.
Tu te prends les pieds dans des cheveux d'humains délaissés sur le sol. ça te fait glisser. La porte disparaît. Et toi, tu rentres dans un écran. Sans savoir comment y sortir.
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