Représentation de la truite-homard ! [PV: Lucius]
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Sam 3 Nov - 20:19
Aujourd'hui s'annonçait en une très belle journée : le soleil n'était pas haut dans le ciel, ce dernier, en revanche, éclatant de mille teintes rosées. Maximilian se baladait gaiement le long de la berge, pinceaux à la main, cherchant un point de vue approprié à sa nouvelle toile : « Le dieu du lac : la truite-homard ». Mettant sa main gantée en visière, il aperçut, fort étonné, un chevalet reposer de l'autre côté du plan d'eau. Éclatant d'un rire pur mais sardonique, il s'y dirigea avec hâte, s'y installa - car, par miracle, sa bonne étoile lui avait également fait don d'un siège - et y disposa toile et pinceaux. Sortant sa palette de couleurs ainsi que ses multiples peintures - des teintes A-B-S-O-L-U-M-E-N-T extraordinaires, dignes du plus grand des Maîtres -, il commença ses recherches longues et minutieuses, dans le but de découvrir la meilleure teinte. Finalement, il opta pour un rose-caca d'oie, ainsi que pour un jaune-écarlate, puis regarda le ciel de ses yeux pétillants d'or.
« Quelle splendide journée ! »
Il avait déjà commencé à peindre, illuminant le monde de son magnifique coup de pinceau, lorsque le sujet tant attendu fit son apparition sur la berge du lac, à une dizaine ne mètres de Maximilian : la truite-homard ! Ébahi, le Maître quitta sa chaise pour le rejoindre, sans cacher son émerveillement pour cette chose de sa propre création - autant dire qu'il fut tout de suite émerveillé par son talent incommensurable.
« Merveilleux ! »
« Quelle splendide journée ! »
Il avait déjà commencé à peindre, illuminant le monde de son magnifique coup de pinceau, lorsque le sujet tant attendu fit son apparition sur la berge du lac, à une dizaine ne mètres de Maximilian : la truite-homard ! Ébahi, le Maître quitta sa chaise pour le rejoindre, sans cacher son émerveillement pour cette chose de sa propre création - autant dire qu'il fut tout de suite émerveillé par son talent incommensurable.
« Merveilleux ! »
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Lun 5 Nov - 1:26
Il faisait beau, et pour une fois la maîtresse des lieux ne semblait pas d'humeur à lui gâcher la journée, Lucius était allongé au bord du lac contemplant le ciel rose, il y regardait défiler lentement les messages, les images et les symboles. Il trouvait tout cela reposant, comme pour faire semblant que ce monde ne tentait pas de les dévorer... Il n'essayait pas forcément de comprendre ce qu'il voyait, il l'admirait simplement, les lettres semblaient venir d'ailleurs... Son ancienne vie lui manquait, ses amis, ses proches, son chien... Étaient-ils à sa recherche là-bas ? Où peut-être était il mort ? Peut être que ce lieu était l'enfer... Une image de l'enfer assez gai et colorée, certes, mais elle restait tout de même une prison... Sans barreaux ni chaînes à briser, sans geôlier à amadouer, sans murs ni barbelés à passer.... Une prison de rêve fou et d'imagination démente. Une table de jeu. Voilà ce qu'était l'esquisse comme il l'appelait, c'était un nom qui lui allait extrêmement bien à ce monde, un dessin non terminé auquel il manquait quelque chose, une chose pourtant si fondamentale pour l'esprit tourmenté des hommes... Il lui manquait la raison... Cette esquisse dessiné par un velléitaire et animée par un fou.
Lucius tendit une main peu convaincue vers l'étendue céleste, elle se referma dans l'air ne saisissant rien. Il regarda sa paume, ses doigts... La question était là. Pouvait-il vivre sans raison ?
Rien de ce qu'il avait vu avant ne semblait vrai ici. Et la vérité elle même semblait devenir fausse à chaque instant. La mort n'était plus si effrayante, elle était souriante, dansante, amusante mais non moins implacable. Elle attendait derrière cet arbre aux formes étranges, sous cette feuille au couleurs flamboyantes, sur ce sol si différent...
Le magicien serra le poing cette fois avec une conviction bien moins branlante que la précédente.
Il sourit. Ce monde était si palpitant, si engageant, si entraînant... Une course infernale, une balade incroyable, sans fin, ni début... Les questions de ce genre n'avaient aucune place ici...
La vie passée n'existait plus que dans les songes, et encore dans les plus étranges, c'était-ici qu'il vivait, dans le présent, sous un ciel rose sans astre...
Et puis il n'était pas si mal que ça. Tout était possible ici, et les opportunités étaient si nombreuses. Manipuler était presque accessoire certaine fois... Peut-être devrait-il former un groupe, une société, mais pour quoi faire ? Survivre ? Peu d'intérêts à en tirer... Combattre la maîtresse des lieux ? Autant se tuer de suite... L'idée de groupe lui plaisait, mais il ne pouvait deviner pourquoi... C'était une chose à repenser plus tard...
Lucius se releva, Jenova dormait dans son jeu, au grand bonheur de ses tympans, et le lac était agréable à l’œil. Il n' y avait qu'ici qu'un lac pouvait être si... étrange. Le lac qui se reflétait en lui même. Dit comme ça... La chose semblait impossible pourtant l'esquisse l'avait fait.
Tout ça était... esquissien, faute de terme plus approprié.
Un peu plus loin, un homme, adulte, taille moyenne, cheveux noirs, pinceau en main colorait une toile. Il semblait absorbé par ce qu'il faisait, il quitta sa toile pour aller observer une créature bien étrange, mi-truite mi-homard. Quoiqu'en soit elle se fondait plutôt dans le paysage, elle ne dénotait pas plus que les autres choses qui peuplaient ces terres de folies. Cependant semblait émerveillé par l'animal.
Lucius approcha lentement et silencieusement, il regarda le tableau, c'était incroyablement bien peint, les couleurs originale certes mais le tableau, ou plutôt le début de tableau était assez splendide...
Le magicien, se sentant artiste sortit son jeu de carte, ce qui à son grand soulagement ne réveilla le Jocker le plus craint du paquet, il s'allongea tranquillement à côté du chevalet, posa son bâton à ses côté puis manipula quelques cartes, il aimait bien leur contact, il n'était pas désagréable, et puis les cartes c'était ses débuts. Avant les grands tours de disparition de divination ou autres, tout ça était rassurant, les cartes, les tours, les petites illusions. Il aimait bien le sourire des gens quand ils observaient ses tours, c'était en partie pour ça qu'il était devenu magicien...
L'art semblait les rapprocher lui et ce peintre. Et le silence était une source d'inspiration après tout. L'endroit en était baigné. Cependant il fallait briser ce voile pour commencer la conversation, après tout c'était de cette façon que le magicien bâtissait l'illusion. En captant l'attention.
Lucius se releva, puis afficha un sourire rassurant avant de prendre la parole d'un ton assuré :
- J'aime bien ce que vous faîtes.
Il avait toujours quatre cartes en main qu'il s'amusait à faire circuler entre ses doigts agiles, quatre as tout à fait étonnants...
Lucius tendit une main peu convaincue vers l'étendue céleste, elle se referma dans l'air ne saisissant rien. Il regarda sa paume, ses doigts... La question était là. Pouvait-il vivre sans raison ?
Rien de ce qu'il avait vu avant ne semblait vrai ici. Et la vérité elle même semblait devenir fausse à chaque instant. La mort n'était plus si effrayante, elle était souriante, dansante, amusante mais non moins implacable. Elle attendait derrière cet arbre aux formes étranges, sous cette feuille au couleurs flamboyantes, sur ce sol si différent...
Le magicien serra le poing cette fois avec une conviction bien moins branlante que la précédente.
Il sourit. Ce monde était si palpitant, si engageant, si entraînant... Une course infernale, une balade incroyable, sans fin, ni début... Les questions de ce genre n'avaient aucune place ici...
La vie passée n'existait plus que dans les songes, et encore dans les plus étranges, c'était-ici qu'il vivait, dans le présent, sous un ciel rose sans astre...
Et puis il n'était pas si mal que ça. Tout était possible ici, et les opportunités étaient si nombreuses. Manipuler était presque accessoire certaine fois... Peut-être devrait-il former un groupe, une société, mais pour quoi faire ? Survivre ? Peu d'intérêts à en tirer... Combattre la maîtresse des lieux ? Autant se tuer de suite... L'idée de groupe lui plaisait, mais il ne pouvait deviner pourquoi... C'était une chose à repenser plus tard...
Lucius se releva, Jenova dormait dans son jeu, au grand bonheur de ses tympans, et le lac était agréable à l’œil. Il n' y avait qu'ici qu'un lac pouvait être si... étrange. Le lac qui se reflétait en lui même. Dit comme ça... La chose semblait impossible pourtant l'esquisse l'avait fait.
Tout ça était... esquissien, faute de terme plus approprié.
Un peu plus loin, un homme, adulte, taille moyenne, cheveux noirs, pinceau en main colorait une toile. Il semblait absorbé par ce qu'il faisait, il quitta sa toile pour aller observer une créature bien étrange, mi-truite mi-homard. Quoiqu'en soit elle se fondait plutôt dans le paysage, elle ne dénotait pas plus que les autres choses qui peuplaient ces terres de folies. Cependant semblait émerveillé par l'animal.
Lucius approcha lentement et silencieusement, il regarda le tableau, c'était incroyablement bien peint, les couleurs originale certes mais le tableau, ou plutôt le début de tableau était assez splendide...
Le magicien, se sentant artiste sortit son jeu de carte, ce qui à son grand soulagement ne réveilla le Jocker le plus craint du paquet, il s'allongea tranquillement à côté du chevalet, posa son bâton à ses côté puis manipula quelques cartes, il aimait bien leur contact, il n'était pas désagréable, et puis les cartes c'était ses débuts. Avant les grands tours de disparition de divination ou autres, tout ça était rassurant, les cartes, les tours, les petites illusions. Il aimait bien le sourire des gens quand ils observaient ses tours, c'était en partie pour ça qu'il était devenu magicien...
L'art semblait les rapprocher lui et ce peintre. Et le silence était une source d'inspiration après tout. L'endroit en était baigné. Cependant il fallait briser ce voile pour commencer la conversation, après tout c'était de cette façon que le magicien bâtissait l'illusion. En captant l'attention.
Lucius se releva, puis afficha un sourire rassurant avant de prendre la parole d'un ton assuré :
- J'aime bien ce que vous faîtes.
Il avait toujours quatre cartes en main qu'il s'amusait à faire circuler entre ses doigts agiles, quatre as tout à fait étonnants...
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Mar 20 Nov - 10:57
Maximilian, ses mesures faites - oui, il fonctionnait comme Andrea ici... juste au cas où -, retourna prestement à sa toile fabuleuse, empoigna le pinceau magnifique, et se mit à étaler son talent sur ce bout de tissus. C'est alors que lui apparut le jeune homme, assis, ses cheveux blonds ondulant tressés dans son dos. Dès qu'il l'eût vu, Maximilian se mit à le dévisager intensément. Était-il partisan du rustre ? Certainement pas ! Et, même si c'était le cas, le Grand Maître le lui interdirait !
« Oh, mais qui vois-je ? L'un de mes chers et fervents sujets, bien entendu ! »
Le peintre ne bougea pas de la proximité de sa toile, craignant une quelconque attaque ennemie : on ne pouvait se fier à personne, même dans la Création Suprême. Mais l'inconnu se contenta de se lever, installé à quelques pas de Maximilian. Ceci fait, il lui dit, d'une voix plutôt claire et assez franche :
« J'aime bien ce que vous faites. »
Nous connaissons tous le caractère intempestif du Grand Dieu Truite - d'ailleurs, ce surnom lui-même avait réussi à attiser sa colère. Eh bien, le fait est que, s'il l'eut mal prit, il se montra particulièrement indulgent. Allons : l'autre binoclard avait sans doute tenté de corrompre cet homme, alors inutile d'en faire toute une histoire. Mais malgré lui, Max fit quelques pas en direction du blondinet, le surplombant de toute sa grandeur ultime. Dans ses yeux dorés pétillait la rage, si bien qu'il cracha d'un air qui se voulait effrayant :
« Ai-je bien compris, subalterne ? Tu aimes bien ? »
« Oh, mais qui vois-je ? L'un de mes chers et fervents sujets, bien entendu ! »
Le peintre ne bougea pas de la proximité de sa toile, craignant une quelconque attaque ennemie : on ne pouvait se fier à personne, même dans la Création Suprême. Mais l'inconnu se contenta de se lever, installé à quelques pas de Maximilian. Ceci fait, il lui dit, d'une voix plutôt claire et assez franche :
« J'aime bien ce que vous faites. »
Nous connaissons tous le caractère intempestif du Grand Dieu Truite - d'ailleurs, ce surnom lui-même avait réussi à attiser sa colère. Eh bien, le fait est que, s'il l'eut mal prit, il se montra particulièrement indulgent. Allons : l'autre binoclard avait sans doute tenté de corrompre cet homme, alors inutile d'en faire toute une histoire. Mais malgré lui, Max fit quelques pas en direction du blondinet, le surplombant de toute sa grandeur ultime. Dans ses yeux dorés pétillait la rage, si bien qu'il cracha d'un air qui se voulait effrayant :
« Ai-je bien compris, subalterne ? Tu aimes bien ? »
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Sam 15 Déc - 22:54
Le type qui faisait face au magicien était plutôt grand, yeux dorés, cheveux noirs, silhouette élancée, il semblait avoir de lui même une impression plus que positive... Même si ceci ne paraissait, aux yeux du blondinet, n'être qu'une fioritures éphémère sous la grandes fresques rosacée...
Les premiers mots avaient semblé êtres chargés d'une délicieuse surprise tandis que ceux qui suivirent, ne présentaient qu'une rage sans fond. Pourtant rien dans l'attitude du magicien ne pouvait vraisemblablement avoir provoqué ce changement de ton... A moins que...
L'homme manœuvrait maintenant pour provoquer de l'effroi, ce qui malheureusement pour lui était inefficace sur Lucius. En fait ça ne lui donnait envie de rire... Il allait s'amuser... En espérant que Jenova reste quelque peu au pays des songes...
- Excusez moi votre seigneurie ! ( Lucius fit mine de s'abaisser quelque peu) Ma langue a dû ripé pour que je ne puisse transmettre l'idée correcte !
L'homme avait confiance qu'il surjouait, au mieux ça « surcomblerait » son interlocuteur, au pire ça lui rabattrait son caquet et lui mènerait à revoir sa technique d'approche.
- Je voulais exprimer, qu'en voyant votre œuvre, que dis-je, votre merveille, je ne pouvais qu'échouer en m'évertuant à chercher plus fascinante, et plus magnifique chose, dans ce monde ou dans un autre.
Le magicien continua sur le même ton :
- Mon regard ne peut se résoudre à quitter le créateur de cette beauté, et mon cœur ne peut se contenir d'aimer vos progénitures artistiques ! Je ne puis m'empêcher de vous observer, quitte à vous suivre jusqu'aux tréfonds magmatiques des Erèbes, mes yeux sans vous et vos créations pleurent la vue des choses qui ne sont de votre pinceau. Puis-je, illustre artiste, que dis-je illustre maître ! Vous demander votre nom, pour le graver dans ma mémoire ?
Le manège ne durerait pas très longtemps, la chose était sure mais il fallait avouer que Lucius, parlait clairement et affichait un air sincère, quoique décoré d'un sourire peut-être un peu trop grand. Le magicien n'avait ,ici, pas la prétention de faire une illusion parfaite, juste celle de s'amuser.
Les premiers mots avaient semblé êtres chargés d'une délicieuse surprise tandis que ceux qui suivirent, ne présentaient qu'une rage sans fond. Pourtant rien dans l'attitude du magicien ne pouvait vraisemblablement avoir provoqué ce changement de ton... A moins que...
L'homme manœuvrait maintenant pour provoquer de l'effroi, ce qui malheureusement pour lui était inefficace sur Lucius. En fait ça ne lui donnait envie de rire... Il allait s'amuser... En espérant que Jenova reste quelque peu au pays des songes...
- Excusez moi votre seigneurie ! ( Lucius fit mine de s'abaisser quelque peu) Ma langue a dû ripé pour que je ne puisse transmettre l'idée correcte !
L'homme avait confiance qu'il surjouait, au mieux ça « surcomblerait » son interlocuteur, au pire ça lui rabattrait son caquet et lui mènerait à revoir sa technique d'approche.
- Je voulais exprimer, qu'en voyant votre œuvre, que dis-je, votre merveille, je ne pouvais qu'échouer en m'évertuant à chercher plus fascinante, et plus magnifique chose, dans ce monde ou dans un autre.
Le magicien continua sur le même ton :
- Mon regard ne peut se résoudre à quitter le créateur de cette beauté, et mon cœur ne peut se contenir d'aimer vos progénitures artistiques ! Je ne puis m'empêcher de vous observer, quitte à vous suivre jusqu'aux tréfonds magmatiques des Erèbes, mes yeux sans vous et vos créations pleurent la vue des choses qui ne sont de votre pinceau. Puis-je, illustre artiste, que dis-je illustre maître ! Vous demander votre nom, pour le graver dans ma mémoire ?
Le manège ne durerait pas très longtemps, la chose était sure mais il fallait avouer que Lucius, parlait clairement et affichait un air sincère, quoique décoré d'un sourire peut-être un peu trop grand. Le magicien n'avait ,ici, pas la prétention de faire une illusion parfaite, juste celle de s'amuser.
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